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Comment sont répartis les DataCenters en France?

La répartition des data centers en région parisienne

C’est en Île-de-France que la densité de data centers est la plus importante.

En effet, alors que sur l’ensemble du territoire de la France métropolitaine il y a un peu plus de 150 data centers, la région parisienne possède un peu plus du tiers de l’ensemble du parc.

Ceci s’explique par le fait que compte tenu du nombre d’entreprises situées en Île-de-France, la demande de stockage externalisé de données informatiques est plus importante qu’en province.

En outre, les six data centers les plus importants du parc français se trouvent en région parisienne. Le plus important d’entre eux qui appartient la société Telehouse regroupe les stocks de données de plus de 160 entreprises.

La société Equinix possède dans cette région trois data centers dont l’importance occupe les seconde, troisième et quatrième places dans le classement.

Les cinquièmes et sixièmes places sont occupées par deux data centers appartenant à la société Interxion.

La répartition des data centers en province

Les départements du Nord et du Pas-de-Calais occupe la seconde place dans le classement de la densité des parcs de data centers en France. 16 datacenters sont installés sur leurs territoires.

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Ceci résulte du fait que ces deux départements sont cités au centre du marché européen et que la ville de Lille bénéficie de liaisons très rapides avec Bruxelles, Londres et Paris.

En outre, le nouveau quartier Euralille qui occupe la troisième place en France derrière le quartier de la défense à Paris et celui de la Part-Dieu à Lyon a renforcé l’attractivité de cette région.

 

IBM possède deux datacenters dans ce territoire et offre ses services essentiellement aux banques.

Dans le sud-est, un peu plus de 20 datacenters sont répartis entre la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur et les départements de l’ancienne région Rhône-Alpes.

L’ancienne région des Pays de la Loire a le même nombre de datacenters de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur. Le Languedoc est nettement moins pourvu, car, il ne compte que sept data centers. Vient ensuite l’Alsace qui a six centres.

La Bretagne, la Basse-Normandie, la région Midi-Pyrénées et l’Aquitaine ont chacune cinq data centers. L’Auvergne et l’ancienne région du Centre en ont trois chacune. Quatre data centers se trouvent en Champagne.

Les zones géographiques qui possèdent le moins de data centers sont le Poitou-Charentes, la Haute-Normandie, la Lorraine, la Bourgogne, la Franche-Comté et la Picardie. Chacune de ces zones ne possède qu’une infrastructure de ce type.

 

Enfin, aucun data center ne se trouve en Corse ou dans le Limousin.   

Si une société doit absolument recourir aux services d’un hébergeur pour le stockage de ces données informatisées, elle doit tenir compte de la proximité du data center si elle pense qu’elle risque de devoir envoyer souvent l’un de ses collaborateurs dans le centre.

En revanche, une société qui peut se contenter des prestations de l’hébergeur et de la gestion à distance de ses données peut être moins tributaire de cet impératif.

DataCenter : Quelles sont les sécurités à prendre en compte?

Les impératifs de sécurité à exiger de tout hébergeur de données informatiques

Compte tenu de la vulnérabilité des serveurs informatiques confiés à un hébergeur, il faut exiger de celui-ci qu’il fasse en sorte que le centre ait une protection irréprochable contre les incendies et contre tout risque de détérioration des stocks de données.

 

La prévention des risques d’incendie

Avant d’accepter l’offre d’un hébergeur, il faut vérifier s’il inspecte régulièrement ses installations et si celles-ci ont des systèmes d’alerte permettant de détecter toute surchauffe et de neutraliser suffisamment tôt tout foyer d’incendie potentiel.

Il faut également vérifier si des portes coupe-feu et des équipements de confinement permettent d’isoler immédiatement tout endroit où un feu se déclencherait.

Par ailleurs, les systèmes d’extinction des feux doivent utiliser des substances non conductrices du courant électrique telles que l’azote.

 

La sécurité de l’alimentation électrique

Il faut vérifier si le data center a des dispositifs permettant d’empêcher un éventuel incident électrique de provoquer un incendie et de prévenir toute coupure d’alimentation électrique qui risquerait de détériorer les données stockées.

Il est donc raisonnable de choisir un hébergeur qui a pris soin de doubler les circuits électriques de ses locaux et de prévoir des sources d’alimentation électrique indépendantes se trouvant à l’intérieur du datacenter.

Ces sources peuvent être alimentées par des générateurs indépendants.

 

Le contrôle de la présence de la poussière

Compte tenu de la nocivité de la poussière pour les installations informatiques, il faut s’assurer du fait que l’air qui circule dans le datacenter est filtré.

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Le contrôle de la température

Il est vital que la température de l’intérieur du datacenter soit maintenue à un niveau constant. En conséquence, le datacenter doit être équipé d’appareils de climatisation ou de refroidissement de l’air pour éviter tout risque de détérioration des fichiers stockés.

 

La prévention des actes de malveillance

L’accès au datacenter doit être réservé aux personnes habilitées. En outre, il faut que l’intérieur du datacenter fasse l’objet d’un contrôle permanent grâce à une installation de vidéosurveillance et à un gardiennage constant. Les ordinateurs dans lesquels les données sont stockées doivent bien entendu être équipés de systèmes antivirus performants.

 

Les garanties à demander à l’hébergeur

Il ne faut pas oublier de demander à l’hébergeur dont l’offre a été sélectionnée de présenter les attestations concernant les assurances qu’il a souscrites pour garantir sa responsabilité civile professionnelle envers ses clients. En effet, si un sinistre provoque la destruction de données stockées, une lourde perte financière menace les propriétaires de ces données.

Quel est le coût d’une baie en colocation dans un DataCenter ?

Les facteurs dont dépendent le coût d’une colocation dans un datacenter

Tout responsable informatique qui envisage de recourir à une colocation dans un datacenter s’attend à ce que le prix qui sera réclamé par l’hébergeur dépende des éléments suivants :

La capacité nécessaire pour le stockage des données de son entreprise ;

Le volume de la fraction de baie qui sera nécessaire pour ce stockage ;

Les autres prestations qu’il sera conduit à demander à l’hébergeur.

Montant approximatif des tarifs appliqués par les hébergeurs

Pour la location d’une baie entière, un hébergeur répondant à la norme Tier 4 peut demander un montant mensuel de 900 € hors taxes. Pour une demi-baie, il faut souvent prévoir une dépense de 550 € chaque mois.

Pour un quart de baie, la dépense mensuelle peut se situer entre 400 et 450 €. Enfin, s’il n’a besoin que d’un petit volume ne dépassant pas le vingtième d’une baie, la dépense peut être limitée à 100 € hors taxes chaque mois.

Pour louer une fraction de baie ayant un volume compris entre 4 et 6 U, il faut prévoir environ 150 € de loyer mensuel.

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Si la société peut se contenter d’une œuvre conforme à la norme Tier 3, elle peut louer une baie ayant une capacité de 60 U pour 850 € par mois. Si elle a besoin de 45 U, l’hébergeur pourrait lui demander environ 600 € par mois.

Toutefois, il faut vérifier si la fourniture d’électricité sera incluse dans le loyer demandé ou si l’hébergeur demandera un supplément.

 

Comment choisir astucieusement son hébergeur

Il faut commencer par évaluer rigoureusement les besoins de l’entreprise ainsi que leur évolution prévisible.

La démarche suivante doit consister à contacter les hébergeurs proches du siège de l’entreprise et demander à chacun d’eux quelle est la réponse qu’il peut apporter à ces besoins.

Pour évaluer l’adéquation de chacune des offres, il faut tenir compte des services offerts et du loyer demandé, mais il faut aussi calculer le budget global qui devra être consacré à la location.

Il faut en premier lieu de la charge de travail que devront assumer les collaborateurs chargés de la gestion des données qui seront conservées dans le datacenter.

Ainsi, il peut être plus rentable de sélectionner une offre de colocation plus coûteuse si elle permet de réduire cette charge de travail et d’éviter le recrutement d’un ou de plusieurs informaticiens.

Il est par ailleurs capital de demander à chaque hébergeur quelles sont les dispositions qui s’engagent à prendre pour préserver les données contre les risques d’incendie qui ne doivent pas être sous-estimés.

Il faut aussi lui demander quelles sont les garanties qu’il peut apporter pour que les conséquences d’un éventuel sinistre soient limitées.

Enfin, il faut tenir compte  des performances techniques de l’offre de chaque hébergeur et notamment de la rapidité de la connexion sur Internet qui résultera de ses services.

Comment Trouver Une Colocation de Baie en DataCenter ?

Les entreprises concernées par ce type de colocation

Les collocations dans un datacenter s’adressent notamment aux sociétés spécialisées dans les prestations informatiques, dans les ventes sur Internet et dans les services de télécommunications.

En effet, ces sociétés ont souvent besoin de recourir à des réseaux informatiques externalisés.

La colocation dans un datacenter leur permet de rationaliser la gestion de leur budget tout en bénéficiant d’une infrastructure à la fois moderne et sécurisée ainsi que d’une flexibilité accrue.

 

Les principes généraux à suivre pour la recherche d’une colocation dans un datacenter

Un chef d’entreprise ou un responsable informatique qui désire profiter des avantages d’un datacenter en réduisant le plus possible les dépenses à prévoir doit commencer par faire un appel d’offres auprès des hébergeurs spécialisés dans ce type de location.

Il faut faire une première sélection en éliminant les sociétés dont les offres sont trop coûteuses ou manifestement inadaptées aux besoins de l’entreprise.

Ainsi, il faut notamment éliminer toute société qui ne s’engage pas formellement à respecter toutes les normes de sécurité applicable pour la protection des données.

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Il convient de rappeler à ce sujet que le risque d’incendie étant important dans un datacenter, il faut être particulièrement attentif aux engagements pris par chaque hébergeur pour prévenir ce type de risque.

Il faut également étudier avec soin les services proposés pour prévenir les éventuels actes de malveillance.

L’étape suivante doit consister à comparer les services et les tarifs des hébergeurs présélectionnés en vue de choisir celui qui permettra à la société de tirer le meilleur parti du budget qu’elle prévoit de consacrer à sa colocation.

Lors de cette étape, il faut notamment évaluer la facilité avec laquelle les collaborateurs du service d’informatique pourront contrôler la gestion des données conservées dans le datacenter.

Les autres services que chaque société de location de datacenter propose de fournir ainsi que les économies que ces services permettront de réaliser doivent aussi être pris en compte.

 

Indications spécifiques à la recherche d’une colocation de baie.

En choisissant une colocation de baie, l’entreprise peut limiter ses frais en n’occupant que l’espace nécessaire au stockage de ses données.

Les hébergeurs peuvent proposer une baie entière ou une fraction de volume de baie adaptée aux besoins de chaque client.

La recherche doit donc consister à demander à chaque hébergeur contacté quel est le volume de baie qu’il peut proposer compte tenu des besoins de l’entreprise ainsi que le coût annuel de la location de ce volume.

Ensuite, l’entreprise pourra choisir l’hébergeur qui propose l’offre la mieux adaptée à ses besoins, ce qui permettra de réduire le plus possible la dépense en évitant de louer un volume de baie superflu.

Il faut toutefois tenir compte de l’évolution prévisible des besoins de l’entreprise pour ne pas devoir changer d’hébergeur si les capacités du volume de baie proposé risquent d’être dépassées.   

Colocation Baie en DataCenter : Quel Prix ? Quoi Savoir ?

Le datacenter et la baie

Un datacenter est un espace dans lequel un hébergeur propose à ses clients de stocker leurs données informatiques s’ils n’ont pas les moyens nécessaires pour faire un stockage interne.

Une baie est une fraction de cet espace dans laquelle les données informatiques d’un ou de plusieurs clients de l’hébergeur sont stockées.

 

La colocation d’une baie

Il s’agit d’une formule qui est souvent proposée par les hébergeurs et qui permet au client de louer une fraction de baie.

Le volume de cette fraction est calculé en fonction des besoins qui résultent de la quantité de données qu’il doit stocker.

Ainsi, il peut choisir une fraction représentant le 20e, le 10e, le quart ou la moitié de la baie.

Il en résulte que sa dépense est limitée aux loyers qui correspondent à l’espace nécessaire pour le stockage de ses données, ce qui permet souvent de faire une économie importante dans les frais de gestion.

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Les avantages de cette prestation

La colocation d’une baie offre une réponse appropriée aux besoins des PME qui doivent gérer leurs frais généraux avec rigueur.

De plus, les colocataires bénéficient d’une flexibilité supérieure à celle qui résulterait de l’achat d’un serveur informatique interne et ils profitent des autres prestations offertes par l’hébergeur.

Ainsi, celui-ci peut proposer un espace client accessible aux collaborateurs chargés de gérer les données stockées, ce qui leur permet de surveiller ce stockage et de prendre rapidement toutes les dispositions nécessaires si un problème se pose.

 

Les principes à retenir pour le choix de l’hébergeur

Pour profiter pleinement de ces avantages, le dirigeant de PME doit comparer les offres de plusieurs hébergeurs en commençant par éliminer tous ceux dont l’offre ne correspond pas à ses besoins ou qui ne sont pas suffisamment attentifs à la sécurité des données qui leur sont confiées.

En effet, un datacenter présente un risque d’incendie important et il faut exiger de l’hébergeur qu’il prenne toutes les mesures nécessaires pour éliminer ce risque.

Il doit également s’engager à préserver les données contre tous les autres risques qui les menacent et notamment le risque de piratage.

Après avoir effectué ce premier tri, il faut évaluer les offres retenues en examinant leur adéquation par rapport aux besoins de la société.

Chaque offre doit être étudiée en tenant compte de la facilité qu’elle apportera pour la gestion des données stockées et des avantages inclus dans le loyer mensuel.

Il faut aussi demander à chaque hébergeur d’expliquer comment l’espace client qui sera mis à disposition de l’entreprise devra être utilisé et dans quelle mesure il simplifiera la tâche des collaborateurs qui devront gérer les données stockées. Après avoir pris connaissance de cet élément, il faudra évaluer les gains de productivité qui résulteront du choix de tel ou tel hébergeur.     

Il faut enfin demander à chaque hébergeur si le montant qu’il indique incluent la consommation d’électricité ainsi que les éventuelles charges annexes. 

Les Avantages pour une Entreprise d’un Datacenter?

Ce qu’est un datacenter

Un datacenter (autrement appelé centre de données) est un lieu dans lequel se trouvent des ordinateurs groupés en réseau et des espaces de stockage permettant aux entreprises clientes de stocker et de traiter des quantités importantes de données.

Il regroupe l’ensemble des appareils nécessaires au fonctionnement et à l’interconnexion des ordinateurs et des espaces de stockage, à savoir des routeurs, des sous-systèmes de stockage, des commutateurs de réseau, des serveurs ainsi que les équipements nécessaires pour la sécurité de l’installation.

Une puissante connexion au réseau Internet et une installation électrique adaptée à la consommation des appareils sont également mises en place.

En fonction de sa taille et de ses besoins, l’entreprise peut recourir à plusieurs datacenters répartis dans les différents endroits si elle pense que la proximité de ces centres par rapport à ses sites de production améliorera la rentabilité de ceux-ci.

Inversement elle peut regrouper ses datacenters si cela lui permet de réduire ses coûts.

 

Les réductions de coûts que peut procurer un data center

Les ordinateurs contenant des données essentielles pour l’entreprise, celle-ci doit prendre des précautions draconiennes pour préserver ses équipements contre les risques d’incendie d’inondation ou d’actes de malveillance.

En regroupant ses ordinateurs dans un même lieu, elle peut appliquer ses exigences moyennant des dépenses inférieures à celles auxquelles elle doit faire face si ses ordinateurs sont éparpillés.

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L’entreprise peut également réduire ses coûts grâce au logiciel qui permettent de gérer et de contrôler un datacenter.

Les collaborateurs auxquels cette gestion est confiée peuvent notamment évaluer régulièrement les performances du centre et prendre les mesures destinées à remédier aux éventuelles insuffisances sans devoir entrer dans le centre.

Par ailleurs, grâce aux progrès de la virtualisation, il est possible de gérer le centre à partir des bassins de ressources sans être confronté à des problèmes résultant de sa localisation géographique.   

 

Les autres avantages des datacenters

Si la société à laquelle le datacenter est loué offre un service de haut niveau, ses clients peuvent notamment bénéficier d’une connectivité performante et de services personnalisés offerts par un personnel hautement qualifié

En outre, l’entreprise bénéficie d’une connexion Internet performante et d’un gain de place sans devoir effectuer des investissements supplémentaires ou payer des frais d’installation, ce qui constitue un avantage important lorsque sa taille ne justifie pas l’achat d’un parc informatique coûteux.

D’autre part, elle bénéficie d’une sécurité totale pour la protection de ces données.

 

Les avantages spécifiques des data centers régionaux

Les data centers régionaux permettent en premier lieu aux entreprises de bénéficier d’une certaine proximité et d’avoir un interlocuteur direct pour la gestion de leurs parcs informatiques. Cette gestion est donc facilitée.

Par ailleurs, si l’entreprise préfère externaliser la gestion de ses données stratégiques, un datacenter régional lui permet de superviser plus facilement l’hébergement de ces données et de mieux contrôler leur protection.

En ce qui concerne la gestion financière, le recours à un data center régional permet aussi réduire la consommation de courant électrique.

DataCenter Tier 1, 2, 3 et 4 : Quelles Différences ?

Le classement des data centers

L’organisme ayant pour dénomination Uptime Institute qui est un laboratoire d’idées ayant pour but de rechercher les solutions permettant aux d ata centers d’offrir des services performants a classé les niveaux de sécurité offerts par ces structures en quatre tiers différents.

En France, les certifications correspondant à ces niveaux de sécurité sont effectuées depuis le mois de janvier 2014.

 

Le niveau Tier 1

Un data center ayant le niveau Tier 1 ne possède qu’un seul circuit électrique ainsi qu’un circuit de distribution de refroidissement et il n’a pas de composants redondants. Sa disponibilité est de 99,67 % et ses clients doivent prendre en compte une interruption annuelle de 28 heures et huit dixièmes.

 

Le niveau Tier 2

Ce niveau est attribué à un data center ayant un circuit électrique et un circuit de distribution de refroidissement , mais ayant des composants redondants. La disponibilité offerte est de 99,75 % et il faut prévoir 22 heures d’interruption chaque année.

 

Le niveau Tier 3

La classification Tier 3 est accordée à un data center ayant plusieurs circuits d’alimentation en électricité et de distribution de refroidissement. La disponibilité offerte doit s’élever à 99,982% avec une interruption limitée à un peu plus d’une heure et demie chaque année.

La redondance offerte s’élève à N+1. En conséquence, cette redondance n’est ni intégrale ni entièrement distincte. Il en résulte que l’absence totale d’incidents sérieux sur les éléments constituant l’infrastructure n’est pas totalement garantie.

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Le niveau Tier 4

Cette classifications qui correspond au meilleur niveau de garantie d’un data center n’est accordée que si le data center a plusieurs circuits assurant l’alimentation en électricité et la distribution du refroidissement.

La redondance doit atteindre 2N+1 et l’interruption annuelle ne doit pas dépasser 48 minutes.

Les clients qui choisissent un data center ayant ce niveau bénéficient donc d’une garantie totale pour la protection de leurs stocks de données informatisées.

De plus, les serveurs stockés dans un data center ayant le niveau Tier 4 bénéficient d’un bloc d’alimentation doublé, de la disponibilité de deux processeurs et de la possibilité d’un changement de disque en Hot Swap, ce qui permet aux collaborateurs de remplacer un composant défaillant sans qu’il soit nécessaire d’interrompre la disponibilité du serveur concerné.   

 

L’importance du niveau de classification dans le choix du data center

Toute entreprise qui doit externaliser le stockage de ses serveurs informatiques doit choisir un prestataire ayant un niveau de qualification adapté aux conditions exigées par le contenu de ces données.

Si les données stockées on une importance vitale, le choix d’un data center ayant le niveau Tier 4 est indispensable, car l’entreprise ne peut pas prendre le risque de voir ces données effacées à cause d’une panne d’électricité ou d’une défaillance du système de contrôle de la température du data center. 

Un data center ayant une classification inférieure ne peut être choisi que si l’entreprise peut supporter sans dommage la détérioration d’un stock de données.

Hébergement Web : Quel Prix? Ce Qu’il Faut Savoir?

Les critères pris en compte pour le calcul du prix d’un hébergement de site Internet

Le budget que doit prévoir une société qui doit choisir un hébergeur pour son site Internet dépend en premier lieu du type d’hébergement dont elle a besoin.

En effet, si elle n’a pas besoin d’obtenir un très gros trafic, elle peut choisir un hébergement mutualisé qui a l’avantage d’être économique.

Mais si elle doit recourir à un hébergement dédié, elle doit prévoir une dépense nettement supérieure.

Prestations dont le client peut bénéficier pour un budget annuel ne dépassant pas 100 € hors taxes.

Une société qui ne dispose que d’un budget modeste peut obtenir une prestation d’hébergement incluant un espace disque d’une capacité maximale de 200 Mo, un trafic de données limité à 10 Go ainsi que la fourniture des services suivants :

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– Enregistrement de noms de domaine ;

– Service WebFTP permettant de déposer les fichiers souhaités à partir d’un panneau de contrôle sans qu’il soit nécessaire d’utiliser un logiciel FTP ;

– Possibilité d’utiliser un maximum de 50 comptes de taille limitée pour le courrier ainsi qu’un accès POP3/MAP/ et de disposer d’un webmail pouvant être personnalisé ;

– Possibilité de profiter d’un nombre limité de redirections pour l’email ;

– Possibilité de personnaliser les pages d’erreur et de bénéficier de passerelles de paiement pour les TPE ;

– Possibilité de profiter d’un trafic de courrier illimité et de barrières contre les spams ;

– Mise à disposition d’une base de données d’une capacité maximale de 30 Mo ;

– Mise à disposition d’un panneau de contrôle, d’un système de gestion DNS, de statistiques de consommation et éventuellement d’alerte par e-mail ;

– Mise à disposition d’un support technique gratuit.

Prestations accessibles aux entreprises ayant un budget annuel s’élevant approximativement à 160 €

Ces entreprises peuvent bénéficier de l’ensemble des services indiqués ci-dessus.

D’autre part, elles peuvent bénéficier d’un espace disque de 500 Mo et d’un trafic de données de 20 Go. Elles peuvent aussi bénéficier du service PHP-Nuke dans le cadre d’une communauté virtuelle.

Prestations accessibles aux entreprises pouvant consacrer 220 € chaque année à l’hébergement de leur site Internet.

Pour ce budget, il est possible de bénéficier en plus des services suivants  :

– Un espace disque d’une capacité atteignant 1 Go ;

– Un trafic de données atteignant 30 Go ;

– Des domaines additionnels inclus (le coût mensuel d’un domaine additionnel se situe autour de 10 €) ;

– Une base de données d’une capacité de 60 Mo ;

– La possibilité de profiter d’espaces de tchat et de systèmes de foros dans une communauté virtuelle.

Services accessibles à un propriétaire de site Web ayant un budget annuel de 450 €

Une entreprise qui dispose de ce budget peut profiter de tous les services indiqués ci-dessus, d’un espace disque de 2 Go, d’un trafic de données de 50 Go et d’une base de données de 100 Mo.

Hébergement Web : Comment choisir ?

La prestation fournie par un hébergeur de site Internet

Un hébergeur de sites Internet offre à ses clients le savoir-faire technique qui lui permet de faire en sorte que leurs sites Internet puissent être présents sur le Web et que les internautes puissent les consulter à partir des moteurs de recherche.

Certains hébergeurs peuvent fournir des services complémentaires notamment en aidant leurs clients à concevoir des sites à la fois percutants et pouvant bien se positionner grâce à un emploi judicieux de mots-clés.

En outre, les hébergeurs proposent souvent des enregistrements de noms de domaine. Il faut toutefois vérifier si l’offre d’un hébergeur sélectionné inclut cette prestation.

 

Les principales catégories d’hébergement proposées

La nature de l’hébergement nécessaire constitue le premier critère de choix de l’hébergeur. Les hébergeurs proposent en premier lieu des hébergements mutualisés qui consistent à offrir à chaque client une place sur un même serveur.

Le serveur est donc partagé entre plusieurs centaines, voire plusieurs milliers de clients. Cette prestation économique peut convenir aux petites entreprises qui n’ont pas besoin d’obtenir un trafic important sur leurs sites.

La seconde catégorie de services proposés par les hébergeurs est l’hébergement dédié. Dans ce cas, le client achète ou loue un serveur pour lui seul.

Ceci lui permet de faire héberger plusieurs sites et de bénéficier d’un trafic beaucoup plus important. Mais cette solution est nettement plus coûteuse qu’un hébergement partagé.

 

Les autres éléments à prendre en compte pour le choix de l’hébergeur

Il faut tenir compte de la capacité d’hébergement offert par l’espace disque de l’hébergeur. En effet, cette capacité doit être suffisante pour contenir l’ensemble des textes, des images et éventuellement des vidéos présentées sur le site de l’entreprise qui recherche un hébergeur.

Il convient également de prendre en compte le trafic que l’on souhaite atteindre. Ce trafic se calcule en fonction du nombre de visiteurs attendus sur le site.

Il doit être pris en compte pour le choix de la bande passante et du débit qui sera nécessaire pour que la durée de chargement du site Internet soit satisfaisante.

Il faut aussi vérifier s’il sera possible de remettre le site Internet périodiquement à jour grâce à la présence d’une interface de configuration.

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Cette interface évite de devoir solliciter l’intervention de l’hébergeur chaque fois qu’une modification du site est nécessaire.

Il faut s’assurer du fait que l’hébergeur pourra proposer une assistance technique efficace afin de réduire le plus possible les éventuelles périodes d’indisponibilité du site.

En outre, il ne faut pas oublier que le datacenter de l’hébergeur doit offrir une sécurité totale en protégeant le site Internet contre les risques de défaillance de l’alimentation électrique ou de chaleur excessive.

Il est également nécessaire de prendre connaissance des possibilités de sauvegarde périodique du site Web et des protections contre les risques de piratage.

Ainsi, une société de vente par Internet doit demander à l’hébergeur comment il procède pour sécuriser les paiements par carte bancaire.

En effet, les emplois frauduleux de références de cartes bancaires ont connu une inquiétante progression au cours des derniers mois.

Il convient enfin d’examiner les autres prestations proposées par chaque hébergeur ainsi que leur adéquation par rapport aux besoins de l’entreprise.

Hébergement Site Web : Combien ça Coûte ? Que Savoir ?

Les services offerts par un hébergeur de sites Internet

L’intervention d’une société spécialisée dans l’hébergement de sites Internet est indispensable si votre entreprise a créé un site Web pour faire connaître ses produits.

En effet, le rôle de l’hébergeur consiste à faire des opérations nécessaires pour que les personnes qui surfent sur Internet notamment en vue de trouver des produits similaires aux vôtres puissent accéder à votre site.

Les hébergeurs peuvent aussi fournir des prestations complémentaires telles que la création du site ou son référencement.

Si c’est le cas, il faut que les textes contenus dans le site contiennent des mots-clés qui permettront au site d’être bien positionné sur les moteurs de recherche.

Pour atteindre cet objectif, le professionnel doit bien maîtriser les conditions à respecter pour un référencement efficace.

 

Les principales sortes de services d’hébergement de sites Internet

Pour les très petites entreprises qui ne disposent que d’un budget modeste, les hébergeurs peuvent proposer un hébergement partagé ou mutualisé.

Ce type d’hébergement permet à chaque client d’obtenir une place pour son site Internet sur un serveur qui est partagé avec d’autres clients de l’hébergeur.

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Les sociétés qui ont un budget conséquent peuvent choisir l’hébergement dédié. Cette prestation permet à chacune d’elles de disposer de son propre serveur sur lequel elles peuvent placer plusieurs sites.

 

Les éléments à prendre en compte pour choisir l’hébergeur

Vous devez en premier lieu vérifier si le lieu de stockage de données de l’hébergeur offre une sécurité suffisante ainsi que la garantie du fait que votre site sera disponible en permanence.

Pour que ces impératifs soient respectés, il faut que ce lieu de stockage ait des installations redondantes afin que les sites conservés soient protégés contre toute défaillance de l’alimentation électrique et contre toute température excessive.

Vous devez également vérifier si ce centre de stockage est suffisamment préservé contre les risques d’incendie et contre les actes malveillants.

Après avoir procédé à ces contrôles préalables, il faut choisir un hébergeur offrant une prestation adaptée à votre budget et à vos besoins.

Il convient de demander à tout hébergeur dont l’offre est intéressante les précisions suivantes :

  Sa prestation inclut-t-elle l’hébergement de votre nom de domaine ?

– Quelle est la capacité de son espace disque ? En effet, cette capacité devait être suffisante pour que les images et les textes figurant sur votre site puissent être inséré correctement.

– Quelle est la capacité de la bande passante qu’il propose ? Cette capacité doit être adaptée au trafic prévu pour votre site.

– Peut-il mettre à votre disposition une interface qui vous permettra de remettre régulièrement votre site Web à jour sans que vous soyez obligé de lui demander d’intervenir ?

– Si votre site Internet comporte une page qui permettra aux internautes de commander vos produits, quelles sont les garanties qu’il peut offrir pour empêcher tout piratage des références des cartes bancaires de vos futurs clients ?

Ce point particulier est capital, car les délits de piratage des cartes bancaires ne sont pas exceptionnels et un haut niveau de sécurisation des transactions est nécessaire pour rassurer les internautes.

DataCenter Tier 3 : Ce Que Vous Devez Savoir ?

L’évaluation des garanties offertes aux clients des data centers

Ayant été créé en 1993 dans le but d’aider les data centers à offrir un service d’une efficacité maximale à leurs clients? l’Uptime Institute a défini quatre niveaux qui sont attribués en fonction de la conformité de la sécurité offerte par ces centres aux normes qu’il a définies.

Cette classification permet à tout client d’un data center ayant obtenu une certification de savoir si les stocks de données informatisées qu’il envisage de lui confier seront correctement préservés.

Pour évaluer le niveau de sécurité offert par un data center ayant demandé une certification l’Uptime Institute se rend dans ce data center en vue d’examiner notamment les dispositifs suivants :

– Systèmes permettant de repérer les éventuelles fuites d’eau ou de fioul et d’y remédier ;

– Appareils permettant de procéder à un arrêt d’urgence ;

– Installation d’alimentation électrique des ordinateurs dans lesquels les stocks de données confiées par les clients sont conservés. Lors de la visite, il est procédé à un contrôle de la puissance de l’installation, à une inspection des systèmes d’alimentation autonome ainsi qu’un contrôle des disjoncteurs et les tableaux électriques.

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D’autre part, les systèmes de protection contre la foudre et de liaison à la terre sont examinés.

– Disposition des différents circuits ;

– Sécurité offerte par les compartiments destinés à empêcher toute propagation d’un feu ;

– Performances des systèmes de refroidissement des températures.

 

La classification Tier 3

Le niveau Tier 3 correspond à la capacité d’un data center à assurer la maintenance de son installation sans interrompre le fonctionnement du système informatique.

Cette capacité exige que tous les systèmes composant les circuits d’alimentation et de distribution soient redondants.

De plus, les groupes électrogènes destinés à garantir l’autonomie de l’alimentation en électricité doivent pouvoir fonctionner à charge nominale sans que leur durée du fonctionnement doive être limitée.

En outre, aucune vanne de jonction ne doit être mise en place entre deux réseaux d’eau glacée, car la maintenance de cette vanne obligerait à arrêter le fonctionnement du data center.

Toutefois, le fonctionnement du système informatique peut être interrompu en cas d’incident ou de panne.

Le taux de disponibilité doit s’élever à 99,982 % et les éventuels moments d’indisponibilité ne doivent pas dépasser un total de 96 minutes par an.

DataCenter Tier 2 : Ce Qu’il Faut Savoir ?

L’évaluation de la sécurité offerte par les data centers

L’organisme Uptime Institute a été créé en 1993 a pour but d’aider les data centers à atteindre une performance maximale dans les services qu’ils offrent à leurs clients.

Il a mis au point quatre niveaux de classification pour la sécurité garantie aux stocks de données informatisées conservées dans les baies de ces infrastructures.

Le niveau de classification attribué à un data center est fixé après prise en compte des éléments suivants :

– Le risque d’indisponibilité des serveurs conservés dans le data center (plus ce risque est important, plus le niveau attribué est bas)

– L’efficacité des appareils servant à produire du froid. L’évaluation prend en compte les performances des appareils, leurs systèmes de pilotage, le niveau d’inertie thermique et les vannes dont le positionnement ainsi que le nombre sont examinés ;

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– Les circuits électriques qui sont évalués en fonction de la puissance, des possibilités d’alimentation autonome, des protections contre la foudre ainsi que contre les autres risques et des possibilités de maintien d’une alimentation constante en cas de panne ;

– Les dispositifs d’arrêt en cas d’urgence et les possibilités de maintenance parallèle ;

– La présence de divisions coupe-feu ;

– Les systèmes de détection des fuites ;

– Les systèmes de pilotage automatique et de supervision ;

– Les canalisations de fioul.

 

La classification Tier 2

Ce niveau est attribué à un data center offrant une redondance partielle et garantissant une disponibilité de 99,749 % ainsi qu’un risque statistique d’indisponibilité de 22 heures chaque année.

Des redondances doivent être installées pour les systèmes de production de froid, les groupes électrogènes, les onduleurs et les réservoirs de fioul.

Toutefois, des garanties de maintenance à chaud et de tolérance aux pannes ne sont pas exigées. En outre, aucune contrainte concernant le nombre de fournisseurs externes d’électricité ou le nombre de circuits électriques n’est imposée.

En outre, un data center ayant cette classification ne doit pas faire l’objet de plis d’un arrêt par an pour sa maintenance.

En conséquence, une société qui souhaite externaliser le stockage de ses données informatiques ne doit les confier à un prestataire ayant obtenu la classification Tier 2 que si ces données ne risquent rien en cas de défaillance électrique ou d’arrêt du fonctionnement du data center.

Par ailleurs, elle doit pouvoir remédier facilement à une éventuelle indisponibilité de ses serveurs.

Un datacenter doit-il être à proximité ? Ce Qu’il Faut Savoir ?

Les points à examiner pour le choix d’un data center

Un data center étant un lieu où l’entreprise peut externaliser le stockage de ses serveurs informatiques, il faut choisir le prestataire qui offrira le service le mieux adapté aux besoins de l’entreprise demanderesse.

Les éléments à prendre en compte pour ce choix sont les suivants :

– Le niveau de sensibilité des fichiers dont l’entreprise souhaite externaliser le stockage. En effet, plus ces données sont importantes pour l’entreprise, plus celle-ci doit être exigeante au sujet des conditions dans lesquelles elles sont conservées.

– Les garanties offertes par le prestataire pour la protection de ces données : prévention des risques d’incendie ou d’inondation du local de stockage, prévention des risques de coupure d’alimentation électrique, prévention des risques d’intrusion par des personnes malveillantes, gardiennage et vidéosurveillance des locaux ;

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– Les services qui seront offerts par le prestataire pour la gestion des stocks de données et la facilité avec laquelle les collaborateurs de l’entreprise pourront gérer ces stocks à distance au moyen de l’espace client du prestataire ;

– Les tarifs demandés par le prestataire ;

– Les conditions dans lesquelles les salariés de ces liens peuvent accéder dans le local de stockage pour procéder à des interventions sur place.

 

La question de la proximité du data center

Lorsque le data center est proche des locaux de l’entreprise, cette proximité a l’avantage de faciliter le contact avec le responsable du centre et de permettre à ses collaborateurs de se rendre rapidement dans ce centre pour y effectuer des tâches devant être faites sur place.

Toutefois, pour évaluer la pertinence du choix d’un data center proche du siège de la société ou de son site de production, il faut tenir compte du coût de cette proximité.

En effet, si le responsable du data center le plus proche de la société demande un tarif plus élevé que celui qui exploite un data center plus éloigné, la société doit évaluer la rentabilité de la dépense supplémentaire qu’elle devra assumer.

Il faut donc vérifier si la différence de prix sera compensée par le gain de temps dont vont bénéficier les collaborateurs de la société cliente.

En conséquence, il faut prendre en compte la périodicité avec laquelle ses collaborateurs devront se rendre au data center compte tenu des tâches qui pourront être déléguées aux collaborateurs du prestataire.

Ainsi, il peut être opportun de choisir un data center moins proche si les techniciens de la société ne doivent se rendre que rarement au lieu de stockage et si le tarif à payer pour bénéficier de ce data center est nettement plus bas que celui qu’il faudrait payer pour bénéficier d’un data center plus proche.

En revanche, si les techniciens de la société doivent intervenir fréquemment dans le data center, car ils possèdent des compétences indispensables pour la gestion des données stockées la sélection d’un data center proche peut s’imposer.

Comment trouver un datacenter ?

Les recherches préalables à effectuer

Un responsable de société qui souhaite externaliser le stockage des serveurs informatiques de son entreprise peut commencer par se connecter sur Internet et par taper les mots clés “data center” éventuellement suivis du nom de la ville ou du département où se trouve le siège de la société.

Cette première démarche lui permettra d’accéder aux sites des hébergeurs les plus proches de son entreprise et de prendre connaissance des prestations qu’ils offrent.

Il peut par conséquent vérifier si ces sites indiquent les dispositions prises par chaque hébergeur pour assurer la sécurité des stocks de données informatisées dont  il a la responsabilité.

Si les informations contenues sur des sites Internet de certains hébergeurs sont imprécises ou incomplètes, il doit contacter ces hébergeurs et leur indiquer le niveau de sécurité qui doit être garanti pour que les stocks de données ne courent aucun risque.

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Il faut notamment demander à chaque hébergeur s’il a obtenu une certification délivrée par l’organisme Uptime Institute. Si c’est le cas et si les données devant être stockées ont une importance capitale, il faut exiger une certification correspondant au niveau Tier 4.

Si ce n’est pas le cas, il faut demander à l’hébergeur de justifier les caractéristiques techniques de son data center en vue de vérifier si les systèmes de production et de distribution d’électricité et d’air froid peuvent fonctionner en permanence.

Ceci exige notamment que ces systèmes soient redondants et que des groupes électrogènes puissent fournir de l’électricité en permanence en cas de défaillance du fournisseur d’énergie électrique du prestataire.

Il faut aussi vérifier si le data center est suffisamment protégé contre les risques d’incendie et si une surveillance régulière est effectuée dans ses locaux.

 

Le choix du prestataire

Après avoir procédé à une présélection, la société doit évaluer la réponse apportée par chaque prestataire à ses besoins.

Il convient notamment de vérifier si ses collaborateurs pourront gérer facilement les stocks de données au moyen de l’espace client mis à la disposition par le prestataire et si la connexion Internet permettant cette gestion sera suffisamment rapide.

Si les stocks de données nécessitent des interventions devant être faites sur place et si les collaborateurs de l’hébergeur n’ont pas la compétence nécessaire pour les effectuer, il faut choisir un data center proche du site de la société. 

Comment gérer un datacenter ? Dossier complet

L’externalisation du stockage des serveurs informatiques

Lorsqu’une société considère que l’achat d’un espace de stockage de données informatisées serait trop coûteux par rapport à ses besoins, elle peut recourir à l’externalisation de ce stockage.

Cette démarche consiste à demander à un hébergeur d’attribuer un espace de stockage contenu dans un data center en veillant notamment à ce que l’hébergeur offre un espace client permettant la gestion à distance des stocks de données et à ce que le  data center offre une sécurité suffisante.

Après avoir pris cette décision, la société a le plaisir de constater une baisse de ses frais, car le niveau de ses dépenses de recours à l’informatique est adapté à ses besoins réels.

Les économies sont notamment constituées par le fait qu’il n’est pas nécessaire de comptabiliser l’amortissement d’une infrastructure et par la mutualisation des dépenses nécessaires pour assurer la sécurité des données informatisées.

Toutefois, si la société désire utiliser des appareils offrant une importante puissance de calcul, elle doit recourir au cloud computing.   

 

Les éléments à prendre en compte pour le choix du data center

Le premier critère à prendre en compte est le niveau de sécurité qui doit correspondre à l’importance stratégique des fichiers que l’entreprise envisage de confier à un datacenter.

En effet, si elle ne peut prendre aucun risque pour la conservation de ces fichiers, elle doit choisir un datacenter ayant le niveau Tier 4 de la classification mise au point par l’organisme Uptime Institute.

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Ce niveau offre les garanties suivantes :

– Une protection totale des fichiers conservés dans les baies de stockage contre toute défaillance de l’alimentation électrique, contre les variations de température, contre les risques d’incendie et contre les actes malveillants. Cette protection est assurée notamment par des redondances des appareils de production et des circuits de distribution d’électricité et d’air froid.

– Une alimentation électrique constante pouvant être assurée par des groupes électrogènes capables de fonctionner sans limites de durée ;

– Un fonctionnement ininterrompu du local de stockage, même s’il doit faire l’objet d’une maintenance ;

– Un taux de disponibilité de 99,995 %.

Une société qui envisage d’externaliser le stockage de ses serveurs informatiques risque de devoir contacter plusieurs prestataires.

En effet, une importante proportion de data centers pourraient n’obtenir qu’un niveau Tier 2 en raison des caractéristiques de leurs installations.

Or, un data center ayant ce niveau n’apporte aucune garantie en cas de panne et le fonctionnement de son service informatique doit être interrompu lorsqu’il fait l’objet d’une maintenance.

D’autre part, il faut prendre en compte les conditions dans lesquelles les stocks de données pourront être gérés à distance ainsi que la proximité du data center.

Comment fonctionne un datacenter ?

Les services fournis par un data center

Un data center est un site dans lequel sont regroupés les systèmes informatiques appartenant à l’entreprise elle-même ou éventuellement à ses clients  si elle fournit des services de gestion de stocks de données informatisées.

Lorsque ce service particulier est fourni, les clients bénéficient d’une baisse de leurs dépenses, car ils n’ont pas besoin d’acheter une infrastructure de stockage et ils profitent d’une offre de services ajustée en fonction de leurs besoins réels.

Mais le prestataire doit s’engager à offrir un niveau de sécurité adapté à l’importance stratégique des données stockées.

Les prestations d’externalisation des données informatiques sont appréciées notamment par les banques et par les sociétés de services informatiques.

 

Les caractéristiques techniques des installations d’un data center

Tout data center ayant la responsabilité de la protection des stocks de données qui lui sont confiés, il doit préserver ces stocks contre tout risque de détérioration et faire en sorte qu’ils soient disponibles en permanence.

Les installations techniques du data center doivent donc répondre à ces exigences.

Compte tenu de la chaleur dégagée par le fonctionnement des appareils électroniques, le data center doit avoir un système de climatisation permettant de maintenir une température stable, car une chaleur excessive risque de détériorer les données stockées.

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Le data center est donc équipé de systèmes de production et de distribution d’air froid qui doivent avoir des redondants si un haut niveau de sécurité est exigé.

D’autre part, l’air doit être filtré en vue de réduire la présence de poussière et un système permettant l’extinction automatique de tout début d’incendie doit avoir été mis en place.

Les substances diffusées par ce système ne doivent pas être conductrices de l’électricité.

Ce système peut par conséquent utiliser de l’azote ou des particules d’eau très fines et parfaitement pures. En effet, une eau diffusée sous forme de particules ne conduit pas le courant électrique.

En outre, les circuits électriques doivent pouvoir fonctionner constamment si les données stockées ne doivent pas être exposées à un risque de défaillance de l’alimentation.

En conséquence, si des données ayant une importance vitale sont stockées dans le data center, celui-ci doit être équipé de générateurs d’électricité pouvant assurer une alimentation constante.

En outre, les circuits de distribution de courant doivent être redondants pour éliminer tout risque résultant d’une défaillance d’un conducteur électrique.

Enfin, il faut que l’intérieur du data center fasse l’objet d’une surveillance constante.

Datacenter et Cloud : Quelles différences ?

La prestation offerte dans un datacenter

Un hébergeur qui gère un ou plusieurs datacenters offre à ses clients une prestation de location d’espaces de stockage de données informatisées. Ces espaces sont appelés baies.

En fonction de ses besoins, le client peut louer une baie entière ou une fraction de baie. Dans ce cas, il le statut de colocataire d’un espace qui peut lui être dédié ou être partagé avec d’autres colocataires.

Ces prestations permettent notamment aux clients de réduire leurs frais tout en bénéficiant le plus souvent d’un espace client qui leur permet notamment de gérer leurs stocks de données à distance en profitant d’une connexion Internet performante.

Par ailleurs, l’hébergeur fait en sorte que les stocks de données qui lui sont confiés soient suffisamment protégés contre les risques d’incendie qui ne sont pas négligeables compte tenu de la chaleur dégagée par les appareils.

En outre, une installation de climatisation permet de maintenir une température appropriée et la présence de poussière contrôlée grâce à un filtrage de l’air.

Enfin, la prévention des actes de malveillance avec assurée par une surveillance permanente des locaux.

 

Le service de cloud computing

Il s’agit d’une offre de services plus importante que la simple externalisation du stockage des données informatisées, car le prestataire met également à disposition de ses clients une puissance de calcul qui peut être utilisé à distance par le réseau Internet.

Les clients peuvent louer des serveurs offrant cette puissance en fonction de leurs besoins.

De plus, les offres dont ils bénéficient sont très souples, car en fonction de ses compétences en informatique, l’utilisateur peut gérer lui-même son serveur ou se contenter de l’utiliser à distance en libre-service.

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Il en résulte qu’il bénéficie de cette puissance de calcul sans avoir besoin d’acheter un nouvel ordinateur ou des logiciels.

En conséquence, le cloud computing permet aux petites sociétés de faire des économies importantes, car elles peuvent ajuster leurs dépenses d’utilisation de l’informatique en fonction de leurs besoins réels.

Elles peuvent donc améliorer leur rentabilité grâce à ce service original.

Par ailleurs, la possibilité d’accéder à ce service au moyen d’une tablette ou d’un smarttphone facilite le travail de la clientèle qui peut utiliser la puissance de calcul même si elle est en déplacement.

De plus, les clients profitent d’une mutualisation qui contribue à la baisse du coût du service.

Les fournisseurs de cloud computing peuvent proposer trois catégories de prestations.

La plus économique d’entre elles est appelée infrastructure en tant que service et elle permet aux clients d’accéder à un réseau informatique sur lequel ils peuvent installer un système d’exploitation ainsi que des applications.

Le principal avantage de cette prestation est constitué par le fait qu’il évite au client d’investir dans du matériel informatique.

Un client qui souhaite une prestation de niveau supérieur peut choisir la location d’une plate-forme en tant que service.

Dans ce cas, le prestataire fournit le système d’exploitation et les instruments d’infrastructure, ce qui permet au client d’ajouter ses propres instruments et de contrôler les applications.

Ce service peut être comparé à l’hébergement d’un site Internet.

Enfin, la troisième catégorie qui est appelée logiciel en tant que service inclut la fourniture des applications aux clients.

DataCenter Tier 1: Ce que vous devez savoir ? Quel Prix ?

La classification d’un data center

Tout data center  peut faire l’objet d’une certification en fonction du niveau de sécurité offert aux serveurs informatiques qu’il contient dans ses baies de stockage.

Cette certification qui ne peut être délivrée que par l’Uptime Institute est attribuée en fonction de la réponse aux exigences de sécurité.

Elle prend notamment en compte les éléments suivants :

– La capacité des systèmes de production de froid installés dans le data center en vue de maintenir une température adaptée aux exigences de la conservation des stocks de données informatisées. Lors de l’examen de la demande de certification, l’Uptime Institute calcule la puissance de ces dispositifs  et elle défie le positionnement des vannes ainsi que leur quantité.

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– Le circuit d’alimentation électrique ;

– Les canalisations de fioul, les systèmes permettant de détecter les fuites et de les réparer ainsi que la localisation des vannes ;

– Les systèmes d’arrêt d’urgence.

Toutefois, cette certification ne prend pas en compte les systèmes de détection et de neutralisation des risques d’incendie ainsi que les mesures de sécurité prise pour l’accès aux salles de stockage.

 

Le classement Tier 1

Ce classement correspond au niveau de sécurité le plus bas. Un data center ayant ce niveau risque d’être indisponible 28 heures et 40 minutes chaque année.

Le taux de disponibilité s’élève à 99,671 % et aucune redondance n’est exigée. Il en résulte que la maintenance à chaud et la tolérance aux pannes ne peuvent pas être garanties.

Une société qui souhaite externaliser le stockage de ses données informatisées ne peut donc accepter de confisquer ces stocks à un data center ayant le niveau Tier 1 que si l’éventuelle détérioration de l’un d’eux ne risque d’avoir que des conséquences minimes.

Comment choisir un datacenter ?

Les services offerts par un data center

Un data center est un lieu dans lequel les entreprises clientes du prestataire auquel il appartient peuvent stocker leurs données informatisées en étant locataires ou colocataires d’une baie de stockage.

Cette prestation peut permettre à ces entreprises de stocker leurs données moyennant un coût raisonnable si l’achat d’un espace de stockage se révèle trop coûteux pour elles.

 

Les critères éliminatoires

La sécurité offerte par le data center pour la conservation des stocks de données informatisées étant vitale pour l’entreprise, il faut éliminer tout prestataire qui ne s’engage pas à prendre toutes les précautions nécessaires.

Il y a lieu d’être particulièrement attentif aux mesures que le prestataire s’engage à prendre dans les domaines suivants :    

– La prévention des risques d’incendie : il est souhaitable de se rendre dans le local de stockage en compagnie d’un collaborateur du prestataire pour vérifier si ce local est équipé de systèmes permettant de détecter et de neutraliser immédiatement tout risque de début d’incendie. Il faut également vérifier si le local a des portes coupe-feu permettant d’isoler immédiatement un lieu où un incendie se déclarerait et si les extincteurs diffusent des substances qui ne conduisent pas l’électricité.

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– La protection des données stockées contre tout risque de perturbation de l’alimentation électrique : il est conseillé de vérifier si les réseaux électriques sont doublés et si une source d’alimentation électrique indépendante permet de remédier à une éventuelle panne de réseau local ;

– Le contrôle d’accès du local de stockage et la présence de caméras de vidéosurveillance ;

– Le contrôle de la température et la prévention de la présence de poussière dans ce local.

 

Les autres critères de sélection

Après avoir procédé à l’élimination des prestataires qui ne répondent pas aux exigences rappelées ci-dessus, il faut comparer les offres des prestataires en tenant compte des tarifs demandés et des avantages que chacune de ces offres pourra procurer.

Pour évaluer chacune de ces offres, il faut tenir compte des besoins spécifiques de l’entreprise et de l’adéquation de chaque offre par rapport à ces besoins.

Ainsi, si les données conservées nécessitent de fréquentes interventions sur place et s’il n’est pas possible de confier ces interventions au prestataire, il est préférable de choisir un data center proche de la société pour éviter des déplacements trop longs à ses collaborateurs.

D’autre part, il faut tenir compte des éléments suivants :

– La superficie qui est disponible et celle dont l’entreprise pourra bénéficier si ses besoins s’accroissent. Il faut en effet anticiper le fait que ces besoins risquent d’augmenter chaque année dans une proportion comprise entre 15 et 20 %.

– La qualité de la maintenance du data center et de la collectivité ainsi que les conditions dans lesquelles les collaborateurs chargés de gérer les stocks de données pourront intervenir à distance .

– La puissance de l’installation électrique ;

– L’engagement de durée éventuellement exigé par un prestataire.

Data Center Tier 4 : Quel Prix ? Quoi Savoir ?

Le rôle de l’Uptime Institute dans l’évaluation des data centers

Cet organisme qui a été créé en 1993 en vue de faire progresser la qualité des services offerts par les data centers a défini quatre niveaux de sécurité offerts par ces infrastructures.

Depuis 2014, les data centers situés en France peuvent demander à cet organisme de leur attribuer une certification destinée à attester la fiabilité des services qu’ils peuvent proposer aux clients souhaitant externaliser le stockage de leurs données informatisées.

Pour obtenir cette certification, le responsable du data center doit démontrer que son installation répond à toutes les conditions exigées.

Il doit notamment établir que le risque d’indisponibilité de son installation ne pas dépassait la norme prévue pour la classification qu’il désire obtenir.

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En outre, il doit avoir fait en sorte que les systèmes de création de froid, d’alimentation en électricité, de repérage des fuites de fioul ou d’eau ainsi que les systèmes de pilotage ou de supervision garantissent un niveau de sécurité satisfaisant.

Il en est de même en ce qui concerne les dispositifs d’arrêt d’urgence, les canalisations, les compartiments destinés à bloquer le feu ou les installations de télécommunications.

 

Le niveau de classification Tier 4

Cette classifications est accordée aux data centers qui offrent une sécurité maximale.

Elle n’est accordée que si l’installation du data center peut garantir que les serveurs informatiques des clients ne risquent absolument rien en cas de panne et si la maintenance peut être assurée sans arrêt du système informatique.

Le taux de disponibilité doit être au moins égal à 99,995 % et le risque d’indisponibilité  ne doit pas dépasser environ 25 minutes pour une année.

L’alimentation en électricité doit pouvoir être entièrement assurée par des groupes électrogènes autonomes pour éviter au data center concerné d’être tributaire des réseaux de distribution nationaux si ceux-ci sont défaillants.

Une réponse doit pouvoir être donnée automatiquement à toute panne unique et le refroidissement doit pouvoir être assuré même en cas d’absence de courant électrique.

Les groupes électrogènes doit pouvoir fonctionner en permanence sans interruption.

D’autre part, toutes les installations du data center doivent répondre aux conditions exigées pour le niveau Tier 4.

En conséquence, ce niveau ne pourra pas être accordé à un data center dont la climatisation n’est pas entièrement conforme, même si l’installation électrique respecte totalement les normes.    

Blanchiment Dentaire au Charbon : Quel Prix ? Quoi Savoir ?

Le blanchiment au charbon : une méthode naturelle

Les personnes qui souhaitent rajeunir leur sourire et qui pensent qu’une méthode naturelle est préférable à un traitement dentaire qui semble trop agressif peuvent utiliser le charbon végétal.

Cette substance est une poudre noire résultant de la carbonisation des matières organiques présentes dans la nature.

Elle a notamment la capacité d’éliminer toutes les substances indésirables qui se trouvent sur sa surface. Les médecins l’utilisent volontiers pour traiter des cas d’empoisonnement involontaire ou des ballonnements du ventre .

En ce qui concerne les soins dentaires, ses vertus blanchissantes qui sont voisines de celles du bicarbonate de soude résultent notamment de sa capacité d’absorber toutes les substances qui décolorent les dents (notamment le tabac, le thé ou le café).

 

La préparation du charbon végétal utilisable pour les dents

Les charbons végétaux pouvant être utilisés pour redonner de l’éclat à un sourire peuvent provenir des noyaux d’olives, des coquilles de cacahouètes ou de noix de coco, du bois ou de l’écorce des arbres.

Ces substances font l’objet de deux carbonisations, la seconde étant effectuée en vue d’activer la capacité d’absorption du charbon végétal.

Le charbon préparé à partir des coques de noix de coco est très apprécié pour la préparation des produits de blanchiment dentaire en raison de la finesse de ses pores qui accroissent ses capacités d’absorption.

Celles-ci sont plus de vingt fois supérieures à celles du charbon qui provient de certains arbres.

 

L’utilisation du charbon végétal pour le blanchiment des dents

Comme c’est le cas avant tout traitement de blanchiment, il est recommandé de consulter son dentiste pour que celui-ci vérifie si l’état des mâchoires permet l’utilisation de ce produit.

Même s’il s’agit d’un produit naturel, il faut demander au dentiste si son emploi n’est pas contre-indiqué par d’éventuelles lésions dentaires.

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En outre, le dentiste peut dire si le charbon est bien le produit naturel qui conviendra le mieux à son patient ou si un autre produit tel que le bicarbonate de soude ou l’huile de coco serait plus approprié.

Pour l’utiliser, il faut se brosser les dents une fois par semaine. Ce brossage a pour rôle de compléter le brossage habituel fait avec du dentifrice.

Il faut simplement tremper la tête de la brosse à dents dans le récipient qui contient le charbon actif et se brosser les dents pendant deux minutes comme on le fait d’habitude.

Il est cependant recommandé d’utiliser une brosse différente de celle dont on se sert habituellement et de se rincer la bouche avec le plus grand soin après le brossage.

 

Les éléments à prendre en compte

Il faut éviter d’utiliser ce charbon plus d’une fois ou deux par semaine, car il peut être abrasif pour l’émail dans la mesure où il complète le brossage biquotidien.

Par ailleurs, les personnes qui prennent des antibiotiques doivent prendre en compte la nécessité de respecter un délai de plusieurs heures entre le brossage effectué avec le charbon et la prise de leur médicament.

Les femmes qui prennent des pilules contraceptives doivent faire de même. En outre, l’utilisation du charbon végétal sans avis médical n’est pas conseillée aux enfants ayant moins de six ans et aux femmes enceintes.

 

Les lieux où l’on peut acheter du charbon végétal

Le charbon végétal peut être acheté dans les pharmacies, dans les magasins de produits cosmétiques naturels ou dans les parapharmacies.

Il est le plus souvent vendu sous forme de poudre en gélules ou en granules, ou sous forme de poudre libre. Cette dernière présentation est la plus pratique pour le blanchiment des dents.

 

Les prix approximatifs du charbon

Pour boîte de 100 gélules de charbon végétal, le prix peut varier entre 8 et 18 €. Les gélules peuvent être facilement ouvertes pour permettre la pose de la poudre sur la brosse à dents. De plus, la présentation en gélules facilite le dosage, car il suffit d’employer une gélule par brossage.

Les boîtes de charbon en comprimés sont vendues en général entre 7 et 13 € pour une centaine de comprimés, mais cette présentation est inadaptée pour le brossage des dents. Il en est de même en ce qui concerne les granulés.

La présentation en boîte de poudre est plus économique, car une boîte de 200 g est vendue au prix moyen de 9 €. De plus, son utilisation pourra brossage effectué en vue de blanchir les dents est très facile.

Toutefois, le dosage est moins précis que celui qui peut être effectué avec une gélule.

Il faut par ailleurs vérifier si le produit proposé par le commerçant ne contient aucun additif ni aucun produit chimique quelconque.

En effet, il n’est pas prouvé qu’un éventuel produit chimique ne serait pas nocif pour les gencives ou pour les dents.

Blanchiment dentaire Pas Cher : Comment faire ?

Le cas des cabinets dentaires étrangers

Une personne qui pense que son sourire doit être rajeuni peut être tentée de recourir à un dentiste étranger pour faire blanchir ses dents.

Dans ce cas, elle doit commencer par contacter l’ordre professionnel des dentistes du pays où se trouve le cabinet dentaire qui présente une offre alléchante pour vérifier si ce cabinet est habilité à faire des soins qu’elle recherche compte tenu des lois applicables dans le pays.

En effet, il faut se méfier des personnes qui prétendent avoir les qualifications exigées pour exercer à profession de chirurgien-dentiste alors qu’elles n’ont jamais suivi les formations indispensables.

Ainsi, au Maroc des individus particulièrement indélicats se déclarent dentistes et réalisent des soins dentaires en toute illégalité.

Ces soins sont souvent d’une qualité lamentable et ils peuvent être à l’origine de complications mortelles pour les patients.

Les autorités marocaines sont conscientes de ce phénomène, mais il semble qu’elles ne prennent pas les mesures qui s’imposent pour le réprimer.

D’autre part, après avoir vérifié les compétences du praticien qui propose ses services, il faut vérifier si son intervention sera rentable compte tenu des frais de voyage et de séjour à prévoir.

Étant donné que plusieurs voyages risquent d’être nécessaires pour le suivi du traitement, il faut que le dentiste offre une prestation ayant un excellent rapport qualité-prix pour que son intervention soit plus avantageuse que celle d’un dentiste français.

 

Les “bars à sourire” : des établissements dont il faut se méfier

Les “bars à sourire” sont en fait des centres de soins esthétiques qui proposent des traitements de blanchiment dentaire à leurs clients.

Or, malheureusement, ils peuvent en premier lieu manquaient totalement d’honnêteté en promettant des résultats qui sont scientifiquement impossibles à atteindre.

Un tel comportement constitue une pratique commerciale trompeuse pour laquelle le code de la consommation prévoit des peines d’amendes ou d’emprisonnement.

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Mais lorsque la victime a découvert la supercherie, elle ne peut obtenir la réparation de son préjudice qu’après un long et pénible parcours du combattant.

De plus, un “bar à sourire” n’a le droit de pratiquer des soins de blanchiment dentaire que s’il utilise des produits qui ne doivent pas être prescrits expressément par un dentiste.

Or, les autorités ont constaté que le produit utilisé par les centres se transforme en eau oxygénée sans que le consommateur puisse vérifier si la concentration autorisée par la loi n’est pas dépassée.

Il en résulte que s’il a des dents cariées ou des rations pas assez étanches, ce produit peut pénétrer dans l’ivoire de ces dents et provoquer de graves  lésions.

Le dentiste risque de devoir dévitaliser les dents ainsi endommagées et de n’avoir aucune autre solution que de proposer au patient la confection d’une coûteuse prothèse.

En outre, l’emploi inapproprié d’un gel de blanchiment non autorisé risque de provoquer des lésions irréversibles (notamment une hypersensibilité des dents) ainsi que de douloureuses irritations aux gencives et aux muqueuses.

L’ordre national des chirurgiens-dentistes a notamment accusé de nombreux “bars à sourire” d’utiliser du perborate de sodium qui se transformerait en eau oxygénée dont la concentration peut dépasser 30 fois la norme autorisée.

En conséquence, avant de se rendre dans un bar à sourire, est capital de consulter son dentiste pour que celui-ci puisse dire quels sont les traitements qui peuvent être aménagés et pour qu’ils puissent indiquer les coordonnées d’un établissement totalement digne de confiance.

 

Les contre-indications à prendre en compte

Les personnes qui doivent le plus se méfier sur les personnes qui suivent une chimiothérapie à cause d’un cancer, les femmes enceintes et les jeunes mères qui allaitent leur bébé.

Toutes ces personnes doivent impérativement consulter leur dentiste avant d’envisager un blanchiment dentaire, car les effets des gels de blanchiment notamment sur la santé du bébé ne sont pas forcément bien maîtrisés.

 

Les kits de blanchiment dentaire en vente libre

Ces kits ne doivent être achetés que dans des pharmacies. En effet, seul un pharmacien est habilité à dire à son client dans quelle mesure il peut les utiliser sans danger.

Le pharmacien peut notamment signaler au consommateur la nécessité d’un examen dentaire préalable pour écarter tout risque de réaction désagréable.

Il convient par conséquent d’éviter d’acheter ces produits à des personnes qui les vendent par correspondances et qui n’ont pas forcément la qualification nécessaire pour conseiller leurs clients de manière adéquate.

Toutefois, ces kits peuvent constituer une solution à la  fois économique et correcte pour une personne qui n’a pas les moyens de se faire faire un bâtiment par son dentiste. De plus, ils sont souvent très simples à utiliser.

Blanchiment dentaire et femme enceinte : Ce qu’il faut savoir ?

La nécessité d’un examen dentaire avant des soins de blanchiment

Toute personne qui a envie de blanchir ses dents a intérêt à commencer par consulter son dentiste et cette démarche est indispensable si l’on est une femme enceinte.

En effet, seul le dentiste peut dire s’il existe des solutions qui pourraient convenir à la femme sans présenter de risque pour elle-même ou pour le bébé qu’elle attend.

D’autre part, il peut dire si des précautions d’ordre médical doivent être prises et notamment si la femme a intérêt à demander l’avis de son gynécologue.

Ces précautions doivent être prises même si la femme enceinte envisage de faire elle-même ses soins de blanchiment en utilisant des kits spéciaux prévus à cet effet.

En effet, il peut être nécessaire de prendre des remèdes pour prévenir les éventuelles douleurs ou les irritations que ces soins pourraient causer.

Or, ces remèdes ne sont pas forcément indiqués pour une femme enceinte ou pour le futur bébé.

Par ailleurs, les recherches médicales effectuées en vue de mieux évaluer la pertinence des soins de blanchiment dentaire pour une femme enceinte n’ont pas encore donné de résultats permettant de garantir l’innocuité de ces soins pour cette catégorie de patientes.

 

Les “bars à sourire”

Cette expression désigne les centres de soins esthétiques réalisant du blanchiment de dents.

Une femme enceinte doit à tout prix éviter de s’y rendre, car il y a de fortes chances que le personnel n’ait pas les compétences nécessaires pour identifier les éventuelles contre-indications aux soins qu’il propose à une cliente enceinte, surtout si elle a eu des problèmes de santé.

En outre, la qualité des prestations de ces centres n’est pas forcément à la hauteur de leurs prix qui peuvent atteindre 500 € pour une séance. 

 

Les solutions possibles

Si le dentiste considère que sa patiente enceinte n’a pas intérêt à faire des soins de blanchiment des dents, il peut en premier lieu lui proposer un détartrage et éventuellement un polissage qui donnera de l’éclat à son sourire.

En outre, il peut lui prescrire un dentifrice blanchissant dont la concentration en produits chimiques est moins forte que celle des produits blanchissants. Les risques sont par conséquent nettement diminués.

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Une autre solution peut consister à utiliser des bandes blanchissantes si cette méthode n’est pas contre-indiquée.

Dans tous les cas, un brossage régulier des dents doit être fait si possible après chaque repas. La femme enceinte a aussi intérêt à éviter les substances qui altèrent l’éclat des dents.

Elle doit donc éviter de fumer et se rincer la bouche après avoir bu du café ou du thé. Il faut également qu’elle évite de boire du vin ou d’autres boissons alcoolisées.

 

Les démarches possibles après la naissance du bébé

Si la jeune mère n’envisage pas d’allaiter son bébé, elle peut demander à son dentiste dans quelles conditions un traitement de blanchiment dentaire peut être entrepris en l’absence de contre-indication.

En effet, les produits de blanchiment ne peuvent plus présenter de risque pour le nouveau-né si sa mère se contente de lui donner des biberons.

Mais si elle souhaite pratiquer l’allaitement, il faut attendre que le bébé n’ait plus besoin d’être allaité pour réaliser ce type de soin sauf si le dentiste peut affirmer formellement qu’elle peut s’en dispenser.

Il peut être nécessaire de demander l’avis du pédiatre. Celui-ci pourra peut-être suggérer l’utilisation de produits de blanchiment modérément concentrés en accord avec le dentiste.

Blanchiment dentaire sans peroxyde : Ce qu’il faut savoir ?

Les caractéristiques des traitements déclarés “sans peroxyde”

Le peroxyde d’hydrogène qui est communément appelé eau oxygénée est le produit qui est le plus souvent utilisé pour le blanchiment des dents.

Sa concentration en principes actifs lui permet de donner de bons résultats, mais il ne peut être utilisé que sous le contrôle d’un dentiste si cette concentration dépasse un certain niveau.

En France, la vente libre de gel de blanchiment contenant plus de 6 % de peroxyde est interdite, car si un gel contenant une concentration supérieure est utilisé sans contrôle du dentiste, l’utilisateur risque de fragiliser l’email de ses dents, de les user prématurément et d’irriter ses gencives.

Certains centres de soins esthétiques proposent des protocoles de blanchiment en utilisant des produits pouvant contenir d’autres substances oxydantes.

Or, ces substances risquent de se transformer en peroxyde d’hydrogène qui peut s’introduire dans les dents de l’utilisateur sans que celui-ci puisse vérifier si la limite permise n’est pas dépassée.

Il en résulte que les personnes qui recherchent un moyen économique pour blanchir leurs dents doivent au moins demander à leur dentiste si celui-ci connaît des centres d’esthétique utilisant des produits dont il est certain qu’ils ne contiennent pas de produits présentant des risques.

 

Les risques qui peuvent résulter de cette méthode

En France, l’ordre professionnel des chirurgiens-dentistes a publié plusieurs mises en garde contre certains centres qui proposent des soins de blanchiment dentaire au moyen de produits qui ne contiendraient pas de peroxyde d’hydrogène.

Or, cette affirmation risque d’être fausse et de constituer une pratique commerciale trompeuse interdite par le code de la consommation.

Par ailleurs, le perborate de sodium qui est souvent contenu dans les produits proposés par ces centres est jugé nuisible pour la fertilité.

Il convient de rappeler que le blanchiment des dents est considéré comme un acte médical.

En conséquence, il ne devrait en principe pratiqué que par un chirurgien-dentiste qui doit examiner les mâchoires et faire un polissage avant le blanchiment et après.

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De plus, la personne qui fait du blanchiment dans un centre d’esthétique ne sait pas forcément que le traitement sera inefficace si le client est soigné avec des antibiotiques, car ces médicaments jaunissent les dents.

Il faut par conséquent attendre la fin du traitement pour essayer de blanchir ses dents.

En outre, une personne qui dirige un centre d’esthétique et qui propose un blanchiment des dents n’est pas forcément honnête.

Ainsi, si elle affirme qu’en utilisant du produit contenant une concentration de 0,1% de peroxyde d’oxygène, le client gagne entre deux et sept teintes en 20 minutes, il s’agit incontestablement d’une pratique commerciale trompeuse passible de sanctions pénales en vertu du Code de la consommation.

 

Les précautions à prendre

Les personnes qui recherchent un moyen économique pour blanchir leurs dents doivent au moins demander à leur dentiste si celui-ci connaît des centres d’esthétique utilisant des produits dont il est certain qu’ils ne contiennent pas de peroxyde.

Cette démarche permet aussi de demander au dentiste d’examiner les dents pour vérifier  notamment si le gel blanchissant ne risque pas de léser l’ivoire d’une dent cariée ou dont l’obturation n’est pas assez étanche.

Par ailleurs, un détartrage doit toujours être effectué.

Cependant, ces personnes peuvent aussi utiliser un dentifrice contenant des substances qui améliorent la couleur des dents, ce qui constitue un moyen économique d’accroître l’éclat de ses mâchoires.

Il est également possible d’utiliser du bicarbonate de sodium qui est bon marché et qui ne présente pas de risque.

Blanchiment dentaire chez un dentiste : Tout comprendre en 5 min

L’examen préalable des mâchoires du patient

Lorsqu’un patient consulte son dentiste, car il souhaite donner un nouvel éclat son sourire, le dentiste commence toujours par procéder à un examen approfondi de sa dentition.

En effet, avant d’entreprendre ce type de soins il est capital de soigner toute carie et de remédier aux éventuelles insuffisances des obturations que le patient a déjà subies dans le passé.

Cette première étape évite au patient de souffrir des désagréments des caries et le préserve des dégâts que risqueraient de subir des dents cariées ou mal obturées à cause d’une pénétration du gel de blanchiment.

D’autre part, le dentiste peut constater la présence de prothèses et signaler à son patient que le choix du produit de blanchiment devra tenir compte de la couleur des prothèses qui ne peuvent pas être blanchies.

Ensuite, il évalue la sensibilité des dents et des gencives avant d’effectuer un détartrage et de dire à son patient quelles sont les techniques qui permettront d’aboutir au meilleur résultat.

Le patient peut donc comparer les avantages et les inconvénients de chacune de ces techniques et choisir celle qui lui semble la plus appropriée.

Enfin, si la patiente est une femme enceinte ou une jeune mère qui souhaite allaiter son bébé, l’intervention du dentiste est indispensable pour éviter tout risque pour le bébé.

 

Les cas dans lesquels un blanchiment dentaire est utile

La première raison pour laquelle une personne peut souhaiter blanchir ses dents est son âge. En effet, plus une personne vieillit, plus l’épaisseur de l’émail de ses dents diminue, ce qui explique que les dents aient tendance à jaunir.

En outre, une accumulation de plaque dentaire ou de tartre accentue ce jaunissement, même si le patient se brosse régulièrement les dents.

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D’autres circonstances peuvent justifier un traitement de blanchiment. Ainsi, des causes génétiques ou certains traitements médicaux peuvent provoquer une décoloration des dents.

Il en est de même en ce qui concerne la consommation de tabac ainsi que certains aliments tels que les fruits rouges, le thé, le café ou le vin.   

En conséquence, si le patient est fumeur, le dentiste lui recommande de suivre un traitement de sevrage tabagique.

D’autre part, il proposera une modification de l’hygiène dentaire du patient pour régler les problèmes des taches  que font les aliments sur l’émail.

 

Le blanchiment effectué au laser

Il s’agit d’une technique consistant en une application de gel blanchissant sur les dents et en une activation de ce gel au moyen d’une lampe à laser. Le dentiste commence par appliquer une crème pour protéger les lèvres du patient et par placer des protections sur ses muqueuses ainsi que sur ses gencives.

Ensuite, il applique le gel blanchissant sur les dents et il renforce l’action de ce gel en dirigeant le faisceau laser dessus. Le patient bénéficie de la capacité du laser à faciliter la pénétration du gel en élargissant les pores de l’émail.

Les résultats peuvent être visibles au bout d’une heure. Le patient a alors le plaisir de découvrir la nouvelle jeunesse de ses dents. Toutefois, s’il a des dents grises, des soins sont nécessaires pour compléter le traitement.

Mais pour les autres patients, cette formule a surtout l’avantage de procurer des résultats rapides. En conséquence, elle répond bien aux attentes de ceux qui doivent se préparer à une rencontre importante pour eux.

 

Le blanchiment effectué par le patient à son domicile

Dans ce cas, le dentiste prend une empreinte des mâchoires du patient et confectionne des gouttières qui seront parfaitement adaptées à la forme de ses dents.

Il lui indique la marque du gel blanchissant qui devra être placé dans ces gouttières pour rajeunir l’éclat des dents et il lui remet le matériel nécessaire pour la préparation du produit.

Ensuite, le patient réalise lui-même les soins à son domicile. Il doit mettre le gel dans les gouttières avec une seringue et appliquer les gouttières sur ses dents.

Ensuite, il faut garder les gouttières dans la bouche pendant une durée qui peut atteindre quatre heures et répéter le soin pendant plusieurs jours pour atteindre un bon résultat.

En conséquence, le patient a plutôt intérêt à placer les gouttières aux moments où il se couche et aller retirer le lendemain matin à son réveil, car il faut éviter de parler ou de se nourrir lorsque les gouttières sont dans la bouche.

 

La période postérieure au traitement

Il faut savoir que les résultats d’un blanchiment ne sont pas définitifs et que les soins doivent être renouvelées régulièrement. Le plus souvent, le blanchiment doit être répété tous les deux ans.

Le dentiste peut aussi proposer la pose de facettes dentaires dont la taille et la couleur sont personnalisés pour réduire le nombre de séances de blanchiment.

Par ailleurs, il est capital d’adopter une hygiène dentaire rigoureuse pour continuer à avoir un sourire harmonieux.

Blanchiment dentaire et opalescence : Tout comprendre en 5 min.

Les conditions d’utilisation et les caractéristiques du produit Opalescence

Un traitement de blanchiment dentaire avec un produit Opalescence ne peut être entrepris que par un chirurgien-dentiste après un examen de la dentition du patient.

Ceci permet à celui-ci de bénéficier d’un blanchiment adapté à son état de santé et à ses attentes.

En outre, le dentiste peut surveiller les effets du traitement et proposer rapidement une solution si le traitement provoque des douleurs ou d’autres effets indésirables.

Le gel blanchissant Opalescence contient du fluorure et du nitrate de potassium. Ces deux composants renforcent l’émail des dents tout en prévenant toute déshydratation. De plus, grâce à sa viscosité, ce gel ne risque pas d’irriter la gencive.

Par ailleurs, grâce au peroxyde d’hydrogène ou de carbamide qu’il contient, il peut agir sur les décolorations intrinsèques qui sont situées sous l’émail au lieu de se trouver sur sa surface.

Or, un dentifrice blanchissant ne peut agir que les taches extrinsèques (il s’agit notamment de celles qui sont provoquées par le tabac et par certaines boissons).

Les molécules d’oxygène du gel agissent sur celles qui ont décoloré les dents en les séparant. Il en résulte un blanchiment total.

 

Le traitement standardisé

Ce traitement qui est réalisé avec le produit Opalescence Go est exécuté au moyen d’une gouttière déjà préparée et ne servant qu’une seule fois.

Elle contient une substance thermoformable grâce à laquelle sa surface s’adapte en quelques instants à l’anatomie des dents, ce qui optimise le confort du soin.

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Le traitement dure entre 10 et 20 jours, mais il faut lui consacrer entre une heure et une heure et demie chaque jour. Les résultats peuvent être constatés au bout des cinq premiers jours.

Par ailleurs, il peut être parfumé à la menthe ou au melon, selon la préférence du patient.

 

Le procédé de soin “sur-mesure”

Il s’agit d’un traitement réalisé avec des gouttières réalisées exclusivement au cabinet du dentiste, ce qui améliore la personnalisation.

L’adaptation du soin aux attentes du patient est accrue grâce à la possibilité de choisir entre deux niveaux de concentration.

 

Les étapes du traitement.

Après avoir procédé à un détartrage, le dentiste réalise une empreinte des dents puis un moulage pour que les gouttières soient parfaitement adaptées à l’anatomie des mâchoires du patient.

Ensuite, celui-ci réalise les soins chez lui. Il apprécie la simplicité d’utilisation du produit, mais il doit aussi prendre les remèdes prescrits par son dentiste et éventuellement par son, médecin pour éviter toute douleur et toute irritation.

 

Les soins à effectuer après le traitement

Le fabricant des produits Opalescence a conçu un dentifrice à utiliser après l’achèvement du blanchiment afin de continuer à bénéficier de ses effets.

Ce dentifrice a un goût de menthe fraîche et une version adaptée aux dents sensibles est proposée.

Le patient conserve l’éclat de son sourire en se brossant les dents avec ce dentifrice et en renouvelant le soin de blanchiment pendant quatre jours chaque année. 

 

Les possibilités et les limites du blanchiment dentaire

En principe, toute personne peut bénéficier d’un blanchiment dentaire dans la mesure où le dentiste a fait en sorte que les produits blanchissants ne puissent pas pénétrer trop loin à l’intérieur des dents.

En conséquence, toute carie ou toute insuffisance d’étanchéité d’une obturation doit être traitée avant le début du blanchiment. En outre, les couronnes, les facettes et les bridges ne peuvent pas être blanchis.

En conséquence, si le patient a des prothèses, le blanchiment doit être adapté à leur couleur.

Blanchiment dentaire et LED: Ce que vous devez savoir ?

Les spécificités générales du blanchiment dentaire

Le blanchiment des dents a pour but de rendre la teinte des dents plus claire en vue d’améliorer leur esthétique et de donner plus d’éclat au sourire du patient.

Les dentistes disposent de plusieurs techniques qui peuvent permettre d’obtenir de bons résultats notamment en corrigeant des colorations défectueuses ou en remédiant aux effets secondaires de certains traitements tels que les radiothérapies ou les chimiothérapies qui sont proposées aux patients souffrant de cancer.

Ce type de soin répond à une demande forte, car les patients sont conscients de l’importance d’un beau sourire dans la vie sociale et notamment dans la vie professionnelle ou sentimentale.

 

Le processus de blanchiment dentaire avec une lampe LED

Il s’agit d’une technique qui consiste à blanchir les dents au moyen d’une lampe électrique utilisant des diodes électroluminescentes et en appliquant éventuellement un produit spécial sur l’émail des dents.

Ce procédé est souvent proposé dans des “bars à sourire” qui sont des centres de soins esthétiques dont le personnel ne maîtrise pas forcément les techniques devant être utilisées pour que le résultat soit satisfaisant et pour que le patient ne coure aucun risque.

De plus, le résultat risque de ne pas être durable et des séances répétées au “bar à sourire” peuvent être dangereuses.

En conséquence, il est nettement préférable de consulter un chirurgien- dentiste qui commence par procéder à un examen approfondi des mâchoires du patient et qui peut ensuite lui proposer les solutions qui conviendront le mieux.

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Il est par ailleurs capital de vérifier si aucune dent n’est cariée et si les gencives ne sont pas trop sensibles, car un blanchissement effectué avec une lampe LED peut présenter des risques.

En effet, même si le produit utilisé par les personnes travaillant dans un centre esthétique n’est donné que faiblement, il peut provoquer la mortification d’une dent cariée en pénétrant dans l’ivoire.

Or, une mortification de la dent risque de nécessiter une dévitalisation et la pose d’une prothèse. La facture risque donc de s’élever à quelques centaines d’euros, surtout si le dentiste risque de devoir mettre un bridge.

Si des dents ont été plombées, il est tout à fait capital de vérifier si les obturations sont suffisamment étanches pour empêcher toute pénétration du produit à l’intérieur de la dent.

Toutefois, si la personne tient absolument à recourir à un “bar à sourire”, elle peut à la rigueur le faire après avoir demandé à son dentiste quelles sont les techniques qu’elle peut accepter.

Le dentiste peut par ailleurs indiquer les coordonnées d’un centre offrant de sérieuses garanties.

 

L’entretien des dents blanchies

Après avoir bénéficié d’une séance de blanchiment effectuée avec une lampe à diodes électroluminescentes ou d’un autre traitement que le dentiste aurait jugé plus approprié, il faut en premier lieu prendre des précautions pour éviter de compromettre le résultat.

Ces précautions sont les suivantes :

– Cesser de fumer si l’on est fumeur. Le recours à un médecin spécialisé dans le sevrage tabagique offre souvent une aide précieuse.

– Pendant les 48 heures qui suivent la séance de blanchiment, il faut éviter de consommer toute substance qui risque de tacher l’émail. Il est donc conseillé d’éviter les fruits rouges, le vin, le thé ou le café. Après ce délai de 48 heures, il est recommandé de se rincer la bouche avec soin après avoir ingéré l’une de ces substances.

– Il faut par ailleurs se brosser les dents avec soin si possible après chaque repas. Si on est tenté par l’utilisation d’une brosse à dents électrique, il est conseillé de demander au dentiste si les gencives la supporteront bien.

Blanchiment dentaire et douleur : ce qu’il faut savoir ?

Comment réussir un blanchiment dentaire sans souffrir

Toute personne qui souhaite donner une allure nouvelle à ses dents doit commencer par prendre rendez-vous avec son dentiste. En effet, un examen approfondi des mâchoires doit être effectué pour que le traitement de blanchiment dentaire puisse se dérouler dans de bonnes conditions.

Il faut notamment que le dentiste soigne les éventuelles caries et qu’il remédie aux insuffisances d’étanchéité des obturations présentes dans la bouche du patient.

Ces précautions éviteront à celui-ci les ennuis qui résulteraient d’une pénétration des produits de blanchiment dans l’ivoire de  ses dents.

En outre, le dentiste sera à même d’indiquer les techniques de blanchiment qui conviendront le mieux au patient ainsi que les précautions que celui-ci doit prendre pour que le traitement ne soit pas douloureux.

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Les solutions préventives pouvant être adoptées avant les soins

Après l’examen préalable aux soins de blanchiment, le dentiste peut proposer un traitement préventif consistant à appliquer un produit à base de nitrate de potassium.

Ce produit a la propriété de diminuer la sensibilité du réseau nerveux des dents. Il doit être utilisé conformément aux indications du dentiste avant les soins ou après.

Il doit être appliqué sur les dents au moyen d’un coton-tige. Ensuite, il faut le laisser agir dans la bouche pendant le temps indiqué sur la notice avant de se rincer la bouche avec soin.    

D’autre part, le dentiste peut proposer l’utilisation d’un gel désensibilisant à mettre dans la gouttière livrée avec les autres accessoires à utiliser pour le blanchiment.

Dans ce cas, il faut verser le gel dans la gouttière en faisant en sorte que le produit recouvre bien toutes les dents et laisser agir pendant une demi-heure.

Après ce soin préalable, le produit blanchissant peut être appliqué, mais il faut éviter de le mettre en contact avec les gencives, car ceci pourrait provoquer de désagréables picotements.

Enfin, si cela est nécessaire, le dentiste ou le médecin traitant peut prescrire un médicament antalgique qui devra être pris suffisamment longtemps avant le traitement de blanchiment pour qu’il ait le temps d’agir.

Cependant, si le patient prend un remède anti-inflammatoire proposé par son médecin, ce remède peut également être efficace pour la prévention de la douleur.

 

Ce qu’il faut faire pendant le traitement

Lorsqu’il exécute les soins de blanchiment suggérés par le dentiste, le patient doit avant tout résister à la tentation de dépasser la dose indiquée.

En effet, un dépassement de cette dose ne peut pas accélérer le résultat du traitement ni accroître son efficacité. En revanche, il risque de fragiliser les dents et les gencives.

Il est de même en ce qui concerne la durée pendant laquelle il faut laisser agir le produit. Un dépassement de cette durée ne pourrait avoir que des conséquences désagréables notamment en accroissant la sensibilité des dents.

En outre, il est conseillé d’éviter de prendre des boissons trop chaudes ou trop froides pendant deux jours.

 

Les solutions qui peuvent être adoptées en cas de douleur après le traitement

Si le patient souffre après le traitement, le dentiste peut lui proposer d’appliquer un gel dentaire deux ou trois fois par jour et de se brosser les dents avec du dentifrice Sensodyne qu’est un produit adapté aux dents sensibles.

Enfin, si les douleurs résultant des soins persistent malgré ces précautions, une nouvelle consultation chez le dentiste est nécessaire.

En effet, le dentiste sera à même de diagnostiquer les causes de l’intolérance au traitement et de prescrire les solutions appropriées. Un arrêt temporaire du traitement de blanchiment peut être nécessaire.

Blanchiment dentaire et Bicarbonate : Tout comprendre en 5 min.

L’utilisation du bicarbonate de sodium pour le blanchiment des dents

Pour les personnes qui n’ont pas assez de ressources pour payer des traitements coûteux ou qui risqueraient de mal tolérer ces traitements, le bicarbonate peut constituer une alternative intéressante.

En effet, il s’agit d’un produit à la fois économique et non toxique s’il est utilisé d’une manière appropriée.

Toutefois, il faut commencer par consulter son dentiste pour que celui-ci puisse affirmer que l’emploi du bicarbonate ne présente aucun risque compte tenu de l’état des mâchoires du patient et de ses éventuels antécédents médicaux.

Pour utiliser ce produit, la première méthode consiste à brosser les dents deux ou trois fois chaque semaine après avoir mis du bicarbonate mélangé avec un peu d’eau sur sa brosse à dents.

Ce procédé procure un blanchiment progressif.

La seconde méthode consiste à laisser agir la pâte de bicarbonate environ dix minutes avant de se rincer la bouche. Elle permet à une personne qui souhaite embellir son sourire avant un rendez-vous important d’obtenir un résultat rapide.

Pour atténuer le goût du bicarbonate qui peut sembler désagréable à certaines personnes, il est possible d’y ajouter du dentifrice.

Ensuite, la bouche doit être rincée avec soin avec de l’eau.

 

Les effets mécaniques du bicarbonate sur l’émail des dents

Ces effets résultent de la dureté du bicarbonate par rapport à celle de l’émail des dents de l’être humain.

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Les tests ont révélé que compte tenu du niveau de dureté du bicarbonate, il ne présente aucun risque pour les dents s’il est utilisé sans excès.

En revanche, son action légèrement abrasive permet à l’utilisateur de se débarrasser des débris alimentaires coincés entre ses dents.

Il a la propriété de se dissoudre dans l’eau, ce qui fait naître des particules de taille microscopique qui peuvent pénétrer dans l’émail, ce qui n’est pas possible pour un dentifrice classique.

Tous ces effets entraînent une action de polissage des dents.

 

Les effets chimiques du bicarbonate

L’efficacité de cette substance s’explique par le fait qu’elle rend le tartre soluble dans l’eau. Il en résulte que son application sur les dents permet de débarrasser celles-ci du tartre, ce qui améliore leur allure.

En outre, le bicarbonate combat l’acidité présente dans la bouche et il renforce l’action du calcium sur l’émail. Il aide aussi à éliminer la décoloration des dents qui est provoquée par le café, par le thé, par le vin rouge ou par le tabac.

Enfin, il favorise la prévention des caries et des autres maladies de la bouche en neutralisant le tartre ainsi que l’excès d’acidité qui résulte de la transformation des substances sucrées.

 

Les effets du bicarbonate sur les gencives et sur l’haleine

Le bicarbonate est non seulement sans danger pour les gencives, mais il peut contribuer au traitement d’une gingivite grâce à son action contre le tartre.

De plus, il permet de traiter des aphtes ou des petites lésions gingivales tout en rendant l’haleine plus fraîche.

 

Le prix du bicarbonate

Ce produit est habituellement vendu au prix approximatif de 4 € par kilo, ce qui le rend particulièrement économique. Il en résulte qu’il est nettement préférable de l’utiliser que de se rendre dans un centre d’esthétique proposant du blanchiment dentaire.

En effet, les dirigeants et les salariés de ces centres n’ont pas le niveau de compétence d’un dentiste. De plus, les séances peuvent coûter jusqu’à 500 € sans que la qualité soit forcément au rendez-vous.

Blanchiment dentaire en Pharmacie : Ce qu’on peut trouver ?

Les spécificités des produits de blanchiment vendus dans les pharmacies

Pour les personnes qui recherchent des méthodes de blanchiment moins contraignantes et moins onéreuses que les traitements proposés par les dentistes, les produits vendus dans les pharmacies peuvent constituer des solutions appropriées.

En effet, les pharmaciens doivent respecter une déontologie qui les oblige à ne vendre des produits en vente libre que si ces produits ne présentent aucun risque pour les consommateurs.

Toutefois, si ces produits sont sûrs, ils risquent d’être moins performants que ceux qui sont prescrits par les dentistes.

Cela signifie que le résultat peut être moins rapide et que la teinte des dents peut être améliorée, mais qu’une blancheur éclatante n’est pas forcement garantie.

 

Les catégories de produits vendus par les pharmaciens

Le client peut trouver en premier lieu des dentifrices ayant des propriétés blanchissantes. Ces dentifrices s’utilisent lors des brossages de dents quotidiens, ce qui constitue la solution la plus simple.

D’autre part, les pharmaciens proposent des kits de blanchiment. Ces kits contiennent notamment des gels qui permettent de raviver la couleur de l’émail des dents.

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Ces gels contiennent souvent du peroxyde d’hydrogène dans une proportion moins importante que celle des gels utilisés aux prescrits par les dentistes.

L’emballage contient également le matériel nécessaire pour l’application de gels, à savoir : des pinceaux, des gouttières jetables, des bandes ou des stylets.

La durée du résultat obtenu dépend des caractéristiques du produit acheté.

Un bon produit peut être appliqué en une demi-heure en se conformant à la notice sans risque d’irritation pour les gencives ni pour les dents et il peut permettre de gagner trois teintes de blanc.

En outre, le kit peut contenir un nuancier qui permet d’améliorer la couleur.

Certains kits de blanchiment contiennent des bandes autocollantes transparentes que l’utilisateur fixe sur ses dents et qui libèrent le produit blanchissant. Dans ce cas, plusieurs séances peuvent être nécessaires, mais le résultat peut être bon.

Le consommateur peut également trouver des stylos de blanchiment qui permettent d’éliminer les taches qui figurent sur l’émail.

L’utilisateur doit simplement appliquer le gel avec le stylo et le laisser agir pendant 15 minutes. Un bon résultat peut être obtenu en quelques jours de traitement.

Ces kits constituent donc une solution économique tout en offrant une sécurité nettement meilleure que celle des soins de blanchiment proposé dans certains centres d’esthétique auxquels il ne faut recourir que si le dentiste indique les coordonnées d’un centre fiable.

Il convient de rappeler qu’un blanchiment dentaire qui n’est pas effectué par le consommateur avec un kit acheté en pharmacie ne devrait être fait que par un dentiste.

 

Les aspects essentiels à ne pas oublier

Avant d’acheter le produit, il faut toujours demander au pharmacien dans quelles conditions il peut être utilisé.

Si le pharmacien recommande aux consommateurs de consulter son dentiste, cette démarche s’impose, car certains produits ne peuvent être utilisés que sur des dents parfaitement saines.

En effet, le peroxyde peut être dangereux pour des dents cariées ou mal obturées, même s’il est faiblement concentré.

Par ailleurs, il faut toujours protéger l’émail de ces dons contre tout ce qui peut le salir.

En conséquence, les fumeurs doivent cesser de fumer en suivant éventuellement un traitement proposé par un médecin spécialisé dans le sevrage tabagique.

En outre, il est essentiel de demander au pharmacien ou à son dentiste quelles sont les solutions permettant de remédier aux taches laissées sur l’émail des dents, notamment par le café, le vin rouge, le thé ou certains fruits.

Blanchiment dentaire avec gouttière : Comment cela marche ?

L’étape préalable

Comme c’est le cas pour toute personne qui souhaite donner un nouvel éclat à ses dents, le patient intéressé par un blanchiment effectué avec des gouttières, doit commencer par subir un examen approfondi de ses dents.

Cet examen permet au dentiste de traiter toute carie ou toute obturation défectueuse qui contre-indiquerait le blanchiment compte tenu des risques qui résultent d’une éventuelle pénétration du gel de blanchiment dans l’ivoire de la dent.

Il en est de même si l’émail d’une dent est fragile ou s’il présente des signes d’usure. En outre, le dentiste peut faire un détartrage et évaluer la sensibilité des gencives.

Ceci lui permet de proposer au patient les soins complémentaires qui permettent notamment d’éviter toute douleur lors des séances de blanchiment que le patient fera à son domicile.

Il peut être conduit à proposer du paracétamol ou de l’ibuprofène à avaler ou l’application d’un gel spécial sur les gencives.

D’autre part, après l’examen, le patient choisit la teinte qui conviendra le mieux à ses dents.

Il faut tenir compte du fait que les prothèses ne peuvent pas être blanchies et que cet élément doit être pris en compte pour que les mâchoires soient harmonieuses.

 

Le déroulement des soins

Le dentiste commence par prendre des empreintes des deux mâchoires du patient. Ceci lui permet de confectionner des gouttières qui épouseront avec une précision maximale la forme des dents, ce qui optimise le confort et l’efficacité des soins. Ensuite, il lui remet les instruments nécessaires pour les opérations de blanchiment.

À son domicile, le patient doit commencer par se brosser les dents avec soin avant de faire le blanchiment. D’autre part, il ne doit pas oublier de prendre les remèdes prescrits pour éviter toute souffrance.

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Le soin consiste à appliquer le gel dans les gouttières. Ensuite, il faut placer les gouttières sur les mâchoires et les conserver dans la bouche pendant la durée indiquée par le dentiste.

Ces gestes doivent souvent être répétés pendant plusieurs jours conformément aux indications données par le dentiste et à celles qui figurent sur la notice du gel.

Pour se débarrasser des bulles d’air qui se glissent entre la mâchoire et le gel, il faut exercer une légère pression sur le gouttière. Par ailleurs, il faut éliminer soigneusement tout excès de gel présent sur les gencives.

En outre, il faut éviter de parler, de manger ou de boire pendant que les gouttières sont dans la bouche. En conséquence, il est préférable de réaliser les soins la nuit si cela est possible.

Une fois la séance terminée, le patient doit retirer les gouttières et les rincer dans l’eau. Il doit aussi rincer ses mâchoires avec soin et ranger les gouttières dans leur boîte.

Par ailleurs, les seringues servant à appliquer le gel doivent être rangées dans le bac à légumes d’un réfrigérateur.

 

Les aliments qui risquent de perturber le traitement

Il s’agit des aliments et des boissons qui peuvent tacher l’émail, à savoir le vin rouge, le café, le thé, les carottes râpées, les betteraves rouges, les fruits rouges ainsi que les épices.

En conséquence, il faut bien se rincer la bouche après avoir consommé l’une de ces substances. Si ce n’est pas possible, il est judicieux de prendre un chewing-gum sans sucre.

Par ailleurs, il est recommandé d’éviter de fumer pour ne pas compromettre le succès des soins, car le tabac altère la couleur des dents.

En conséquence, les gros fumeurs doivent consulter un médecin spécialisé dans le sevrage tabagique avant de commencer un protocole de blanchiment des dents avec des gouttières.   

Blanchiment Dentaire Avant/Après : Quels effets ?

L’essentiel de ce qu’il faut savoir au sujet de ce que l’on peut attendre des techniques de blanchiment dentaire

Toute personne qui a compris l’importance du sourire dans la vie sociale et qui pense que l’éclat de ses dents doit être amélioré est incitée à recourir à des soins de blanchiment dentaire. Elle doit savoir que les résultats obtenus dépendent entièrement des soins réalisés et qu’il est possible de réaliser un blanchiment sans faire une dépense excessive, mais que le résultat risque d’être moins rapide dans ce cas.

 

Les blanchiments effectués par le dentiste avec un laser

Cette méthode n’est pas la moins chère, mais elle a l’avantage de procurer souvent des résultats rapides.

Le traitement est réalisé par le dentiste qui après avoir préparé les mâchoires applique le produit blanchissant et accélère son action au moyen d’une lampe à laser.

Si le patient n’a pas de dents grises, il a le plaisir de constater la blancheur impeccable de ses dents dès la fin de la séance.

 

Les traitements prescrits par les dentistes et réalisés au domicile du patient.

Ces traitements commencent par la réalisation de gouttières par le dentiste après une prise d’empreinte des mâchoires du patient.

Cette prise d’empreinte permet de réaliser des gouttières qui s’adaptent parfaitement à la forme des dents du patient, ce qui permet à celui-ci de blanchir ses dents dans des conditions confortables sans risquer d’irriter ces gencives.

Cependant, à chaque séance faite chez lui, le patient doit conserver des gouttières imprégnées de gel blanchissant sur ses mâchoires pendant une durée qui peut atteindre quatre heures et le traitement doit être répété pendant plusieurs jours.

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Ce procédé est donc nettement plus contraignant que le traitement au laser. Toutefois, les résultats sont le plus souvent très satisfaisants.

 

Les traitements vendus en pharmacie

Pour un patient dont le budget est limité, les kits vendus en pharmacie peuvent constituer des solutions économiques tout en procurant des résultats corrects.

Ainsi, l’utilisateur peut faire gagner trois teintes de blanc à ses dents tout en ne dépensant que quelques dizaines d’euros et en consacrant moins d’une heure chaque jour à son traitement qui doit toutefois souvent être suivi pendant plusieurs jours d’affilée.

 

Les “bars à sourire”

Il s’agit de centres de soins esthétiques dans lesquels des blanchiments dentaires sont proposés aux clients. Il convient de se méfier de ces centres qui n’offrent pas le niveau de compétence d’un dentiste et qui peuvent proposer des solutions médiocres voire dangereuses.

Il est donc essentiel d’éviter de se rendre dans un bar à sourire sans avoir préalablement demandé l’avis de son dentiste sur cet établissement et sur les méthodes qu’il utilise.

De plus, certains centres peuvent faire preuve de malhonnêteté en trompant leurs clients sur la qualité de leurs prestations.

 

Ce qu’il faut faire pour réussir le traitement et pour conserver les résultats

Il est recommandé de commencer par consulter son dentiste pour que celui-ci puisse dire dans quelle mesure le traitement peut être réalisé et que sont les solutions qui semblent les plus appropriées compte tenu du budget du patient, des caractéristiques de ses mâchoires et de son passé médical.

D’autre part, il est essentiel de cesser de fumer si l’on est fumeur. En effet, le tabac jaunit l’émail des dents et cet inconvénient risque de réduire à néant les effets d’un produit blanchissant appliqué.

En outre, il faut demander en dentiste ce qui peut être fait pour éviter de compromettre le traitement après avoir bu du vin rouge, du café ou du thé où après avoir dégusté des fruits rouges ou des betteraves.

Dans ce cas, le dentiste recommande au patient de se brosser les dents après chaque repas ou de mâcher un chewing-gum sans sucre s’il ne peut pas se laver les dents après le déjeuner.

Blanchiment Dentaire au Maroc : Comprendre en 5 min

Les risques liés au recours à un professionnel marocain

Toute personne qui souhaite bénéficier d’un blanchiment dentaire de haute qualité, mais qui n’a que des moyens limités peut être attirée par les tarifs pratiqués par les dentistes marocains dans la mesure où ceux-ci sont sensiblement inférieurs aux sommes réclamées par les praticiens français.

Cependant, comme c’est le cas dans de nombreuses professions, il y a au Maroc des individus sans scrupules qui exercent la profession de dentiste sans en avoir le droit, car ils n’ont jamais suivi la formation exigée.

Il en résulte qu’un patient qui fait confiance à l’un de ces charlatans risque d’avoir de graves complications qui peuvent menacer sa vie, car ces individus ne sont guère soucieux de l’hygiène.

De plus, les soins brillent surtout par leur médiocrité.

Or, un blanchiment dentaire exige un haut niveau de technicité pour donner un bon résultat. En effet, pour que le patient ne prenne aucun risque, toute carie doit être traitée et le dentiste doit vérifier si les plombages du patient empêcheront tout passage du produit blanchissant.

En outre, pour répondre à toutes les attentes du patient, le dentiste doit parfaitement connaître les avantages et les faiblesses de chaque méthode de traitement et les soins complémentaires à réaliser pour éviter tout désagrément.

Il faut également éviter de se rendre dans un centre d’esthétique marocain qui proposerait des soins de blanchiment dentaire, car un tel centre (qui est parfois appelé “bar à sourire” en France) n’offre aucune garantie de compétence. Le travail risque d’être défectueux et la facture peut être très élevée.

Les précautions à prendre et les démarches à effectuer

Il est judicieux de commencer par demander au consulat du Maroc le plus proche de chez soi quelles sont les coordonnées de l’ordre professionnel des dentistes marocains et de demander à cet organisme d’indiquer les noms et les adresses des praticiens autorisés à faire du blanchiment de dents.

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Cette démarche préalable permet d’éliminer les individus indésirables.

Ensuite, la personne qui désire faire blanchir ses dents a intérêt à consulter un dentiste français et à lui demander quelles sont les solutions qui pourraient lui convenir.

Le dentiste pourra lui dire si un traitement alternatif simple et économique pourrait procurer un bon résultat sans qu’un voyage au Maroc soit nécessaire. 

S’il semble qu’un voyage au Maroc serait rentable, il faut contacter plusieurs dentistes marocains et demander à chacun d’eux de faire un devis.

Enfin, le patient doit comparer les devis et sélectionner l’offre la plus avantageuse dans la mesure où les frais de voyage et de séjour au Maroc sont compensés par l’économie qui sera réalisée s’il fait blanchir ses dents dans ce pays.

Il y a lieu de tenir compte du fait qu’un ou même plusieurs autres voyages au Maroc peuvent être nécessaires pour le suivi du traitement et les éventuelles modifications.

Il semble donc qu’il faut trouver un dentiste marocain dont la prestation offrira un excellent rapport qualité-prix pour que la solution consistant à se rendre au Maroc soit vraiment avantageuse.

Le cas particulier des femmes enceintes

Une femme enceinte ou une jeune mère qui souhaite allaiter son bébé a intérêt à éviter de faire blanchir ses dents si le dentiste ne peut pas lui garantir formellement que le traitement ne présente aucun risque pour le bébé.

Un éventuel voyage au Maroc ne peut donc être programmé qu’après la naissance de l’enfant ou après la période d’allaitement.

Blanchiment dentaire au laser : ce qu’il faut savoir ?

Les caractéristiques de cette technique

En premier lieu, seul un dentiste peut utiliser un laser destiné au blanchiment des dents. Ce procédé est apprécié par des patients surtout en raison du fait qu’il permet d’obtenir un résultat plus rapide qu’avec d’autres méthodes.

Le dentiste commence par examiner les majors du patient pour vérifier si le traitement au laser est indiqué dans son cas.

Si cela est possible, le dentiste applique un gel à base de peroxyde d’hydrogène dont il accélère l’insertion dans l’émail des dents au moyen d’une lampe à laser qui agrandit légèrement les pores de l’émail des dents.

De plus, le dentiste à la compétence nécessaire pour utiliser un produit plus concentré. En conséquence, le patient profite de la performance du laser et de l’efficacité du produit.

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La préparation du traitement

Il faut que le dentiste commence par vérifier dans quelle mesure le traitement peut être commencé.

Il doit notamment obturer les éventuelles caries et refaire les obturations qui ne seraient pas suffisamment étanches, car le gel blanchissant ne doit en aucun cas pouvoir toucher l’ivoire des dents.

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Après avoir réalisé ces soins s’ils sont nécessaires, le dentiste fait un détartrage et il applique une crème destinée à protéger les muqueuses ainsi que la peau du visage.

Il peut aussi faire cette protection en fixant des compresses autour de la bouche. Le collet des dents et les gencives doivent aussi être préservés.

 

Le déroulement du traitement

Le dentiste applique le gel blanchissant sur les dents. Ensuite, il active des produits contenus dans ce gel avec le laser pendant une quinzaine de minutes.

Il peut être amené à répéter l’opération si cela est nécessaire. Ainsi si les dents sont jaunes, la séance dure entre 15 minutes et une demi-heure. Si elles sont grises, il faut prévoir une durée de trois quarts d’heure.

Il en est de même si elles ont une coloration marquée. Dans ce cas, le dentiste peut prescrire des sons complémentaires à faire à domicile.

 

Les avantages spécifiques de cette méthode

Lorsque le patient exécute lui-même à son domicile les soins de blanchiment proposés par le dentiste, il doit remplir les gouttières avec du gel et conserver les gouttières sur ses mâchoires pendant une durée pouvant aller jusqu’à quatre heures par jour. De plus, ce soin peut devoir être répété pendant plusieurs jours pour obtenir un résultat satisfaisant.

Le recours au laser est moins contraignant et il donne un résultat plus rapide. En effet, après la séance, le patient a le plus souvent le plaisir de constater que ses dents ont une parfaite couleur blanche.

De plus, le traitement étant biocompatible, il ne présente aucun risque si le dentiste est un bon professionnel.

Cependant, pour que le résultat soit conservé, une bonne hygiène est indispensable.

Il faut notamment cesser de fumer si l’on est fumeur et demander au dentiste ce qu’il faut faire pour ne pas risquer d’avoir l’émail des dents taché par du café, par du thé, par du vin rouge ou par des fruits rouges.

Le dentiste recommandera au moins un rinçage soigneux des mâchoires si l’on a consommé l’un de ses produits alimentaires ou l’une de ces boissons. Il proposera aussi des solutions pour les cas où ce rinçage n’est pas possible.

 

Le budget à prévoir pour un blanchiment des dents au laser

Le plus souvent, une séance de blanchiment effectué avec cette méthode coûte au moins 200 € et le prix peut grimper jusqu’à 500 € si le patient a des exigences spécifiques ou s’il faut utiliser des procédés coûteux.

Blanchiment dentaire américain : Ce qu’il faut savoir ?

Le sourire à l’américaine

Nombreuses sont les Françaises que le sourire des ravissantes jeunes femmes américaines fait rêver.

Ceci résulte en premier lieu du fait que les Américains sont plus attentifs à l’hygiène dentaire que les Français et qu’is consomment moins de tabac, de café noir ou de vin rouge que nos compatriotes.

Or, ces substances altèrent la coloration de l’émail des dents, ce qui ne facilite pas la conservation de la teinte naturelle de ce tissu.

 

Les démarches à effectuer avant tout traitement de blanchiment des dents

Toute personne qui souhaite améliorer l’éclat de son sourire doit commencer par consulter son dentiste pour que celui-ci vérifie si un traitement de blanchiment des dents est possible.

Il faut notamment vérifier si aucune dent n’est cariée et si les éventuelles obturations sont suffisamment étanches pour éviter toute pénétration d’un produit de blanchiment à l’intérieur des dents.

En effet, une telle pénétration risque d’avoir des conséquences qui pourraient nécessiter un traitement coûteux.

Après l’examen, le dentiste peut dire à son patient quelles sont les solutions qui semblent les plus appropriées dans son cas.

Il pourra également indiquer ce qu’il faut faire pour éviter toute douleur si le patient a des dents ou des gencives sensibles et quelles sont les précautions à prendre si les dents du patient sont fragiles ou si ses muqueuses s’irritent facilement.

 

Les kits blancheur conçus aux États-Unis

Il s’agit de produits éléborés aux États-Unis et qui ont fait leur entrée sur le marché français.

Ces produits permettent d’entretenir son sourire en fixant des bandelettes sur ses dents ou en appliquant des gels spéciaux. Les gouttières peuvent être utilisées pour maintenir le produit sur les dents.

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L’ingrédient principal de ces produits est l’eau oxygénée. Le dentiste utilise ce type de substance lorsqu’il pense qu’elle peut convenir à son patient. Celui-ci peut continuer le traitement à son domicile avec un produit nettement moins concentré.

Pour un patient qui a les dents jaunies, certains kits contenant une lampe spéciale, un dentier, un produit à appliquer et des lingettes qui peuvent être utilisés chez soi.

Les lingettes permettent de bien nettoyer les dents avant d’appliquer le produit que l’on fait tenir au moyen du dentier.

Toutefois, celui-ci doit être placé correctement pour ne pas être douloureux. Enfin, la lampe accélère l’action du produit. Cependant, il peut être nécessaire de conserver le produit dans sa bouche pendant plusieurs minutes.

D’autre produits contiennent des bandes à placer sur les dents. Après leur mise en place, les bandes doivent être conservées sur les dents pendant une demi-heure et le traitement doit souvent être répété plusieurs jours d’affilée pour que le résultat soit durable.

Enfin, certains kits contiennent des nuanciers qui permettent à l’utilisateur de choisir la couleur qu’il souhaite pour ses dents. 

En outre, il est astucieux de choisir des kits ayant une gouttière en silicone dont la souplesse permet une adaptation à l’anatomie des dents à blanchir.   

Ce qu’il faut faire pour conserver la blancheur des dents

Une hygiène dentaire rigoureuse doit être observée et il faut la compléter en se rinçant soigneusement la bouche après avoir bu du vin rouge ou du café.

D’autre part, il faut faire un bain de bouche chaque soir et consulter périodiquement son dentiste qui pourra proposer toutes les solutions qui permettront de maintenir l’éclat des dents.

Par ailleurs, il faut bannir le tabac en ayant éventuellement recours à un médecin tabacologue qui pourra prescrire un traitement qui facilitera le sevrage.

Blanchiment dentaire et Mutuelle : Quelles prises en charge?

Les remboursements de la sécurité sociale

Le seul soin est destiné à améliorer l’éclat des dents qui est pris en charge par la sécurité sociale est le détartrage.

Il s’agit d’un soin d’entretien qui améliore l’aspect des dents, mais qui n’est pas toujours suffisant pour que le patient puisse avoir le sourire dont il rêve.

En conséquence, il faut choisir une mutuelle proposant une bonne prise en charge des soins de blanchiment.

 

Le choix de la mutuelle

À l’heure actuelle en France, les mutuelles acceptant de prendre en charge les soins de blanchiment des dents semblent encore minoritaires.

Par ailleurs, les remboursements proposés pour ce type de soins par chaque mutuelle ne doivent pas constituer le seul critère de choix d’un organisme d’assurance complémentaire santé.

Il faut également tenir compte des autres besoins médicaux de sa famille des risques résultant de sa profession ou de ses loisirs.

Ainsi, les personnes qui adorent pratiquer un sport présentant des risques de blessures doivent tenir compte de la prise en charge proposée pour ce type de pathologie par chacune des mutuelles dont elles examinent les offres.

Le plus souvent, les mutuelles qui  proposent une prise en charge des soins de blanchiment des dents proposent un montant forfaitaire annuel.

Il résulte que si le montant des honoraires payés au dentiste pour le blanchiment des dents dépasse ce forfait, le montant du dépassement sera à la charge du client.

Pour faire un choix judicieux, il peut être astucieux de commencer par faire effectuer un examen approfondi de ses mâchoires par son dentiste qui pourra expliquer les différentes solutions envisageables ainsi que leur coût.

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Les indications données par le dentiste pourront être prises en compte pour la sélection d’une mutuelle offrant une prise en charge adaptée.

Il faut par ailleurs noter qu’une mutuelle ne prendra en charge que les soins réalisés ou prescrits par un dentiste.

Il semble donc tout à fait inutile de rechercher une mutuelle remboursant des soins réalisés dans un centre de blanchiment communément appelé “bar à sourire”.

De plus, ces centres n’offrent pas forcément de bonnes garanties et les soins qui y sont réalisés peuvent présenter des risques. Enfin, le rapport qualité-prix de ces soins n’est pas forcément bon.

En effet, il n’est pas exclu qu’un centre demande le même montant qu’un dentiste alors que sa prestation n’aura pas le même niveau technique.

 

Comment limiter les coûts du blanchiment des dents

Même si l’on trouve une mutuelle offrant un bon niveau de prise en charge, il faut commencer par éviter les dentistes malhonnêtes ou incompétents.

En conséquence, une personne qui n’a pas encore de dentiste doit commencer par demander à son médecin traitant s’il peut lui indiquer les coordonnées d’un dentiste qui répondra à toutes ses attentes moyennant des honoraires raisonnables.

D’autre part, pour ne pas devoir faire faire des séances de blanchiment trop souvent et pour obtenir un résultat durable, il faut éviter de fumer et se rincer soigneusement la bouche après avoir bu du café ou du vin.

En effet, le tabac, le vin, le thé et le café altèrent la coloration des dents et peuvent compromettre le résultat d’un blanchiment même si celui-ci a été réalisé avec soin.

En conséquence, un gros fumeur doit consulter un médecin spécialisé dans le sevrage tabagique pour entreprendre un traitement qui l’aidera à se libérer du tabac avant d’envisager de se faire blanchir les dents, car s’il continue à fumer après le traitement, celui-ci échouera. Il aura donc fait une dépense tout à fait inutile.

Prothèse Dentaire Fixe : Combien ça coûte ?

Les éléments pris en compte pour le calcul du prix d’une prothèse dentaire fixe

Lorsque le dentiste constate que son patient a besoin d’une prothèse dentaire fixe et qu’il peut se l’offrir, il commence par faire un devis détaillé en tenant compte des éléments suivants :

– Le nombre de dents devant être réparées ainsi que leur nature ;

– Les antécédents médicaux et dentaires du patient. En effet, ces antécédents doivent être pris en compte pour l’élaboration du protocole des anesthésies locales et éventuellement pour les précautions destinées à éviter les risques d’infection.

– Les souhaits spécifiques du patient.

 

Le tarif moyen d’une fausse couronne dentaire

Le dentiste peut proposer la mise en place d’une couronne artificielle si le patient a une dent cassée à cause d’un chute ou d’une agression ou s’il a une carie imposant une dévitalisation.

En effet, une dent dévitalisée est moins résistante et la pose d’une couronne permet de remédier à ce problème.

Si le patient peut se contenter d’une couronne en métal (c’est notamment s’il doit faire restaurer une molaire), le budget à prévoir se situe approximativement 500 € en moyenne.

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Mais s’il faut restaurer une incisive ou une canine, l’exigence esthétique nécessite la mise en place d’une couronne en céramique dont le prix s’élève en moyenne à 900 €.

 

La dépense à prévoir pour un inlay core

Dans certains cas la pose d’un inlay core peut être appropriée pour servir de support à une couronne. Ce peut être le cas si la dent concernée est trop abîmée pour recevoir la couronne.

Le dentiste propose alors l’insertion d’un inlay core qui est une pièce en métal prévue pour être insérée dans la racine. Le support sera constitué par la partie supérieure de l’inlay core. Un inlay core coûte en moyenne 200 €.

 

Le prix moyen d’un bridge

Le dentiste est conduit à proposer la pose d’un bridge à son patient dans les cas suivants :

– si une seule dent doit être restaurée, mais si elle ne peut pas être préparée pour  qu’une couronne puisse être placée dessus ;

– si le patient a plusieurs dents devant être réparées et si ces dents sont voisines les unes des autres.

Un bridge en céramique prévu pour remédier à l’absence d’une ou deux dents coûte en moyenne entre 2000 € et 2500 €. Il faut prévoir un coût moyen de 800 € pour chaque dent supplémentaire à remplacer.

 

Le tarif à prévoir pour une prothèse fixée sur un implant

Dans certains cas, il est possible de fixer un bridge ou une couronne sur un ou plusieurs implants. Un implant est une vis spécialement élaborée pour pouvoir être placée dans l’os de la gencive, ce qui permet notamment d’éviter de tailler des dents saines.

Ce type d’intervention coûte en moyenne 1800 € pour une couronne.

En outre, l’intervention est plus lourde que la mise en place d’une prothèse sur une ou plusieurs dents préalablement taillées. Des séances étalées sur plusieurs semaines sont nécessaires.

 

La dépense à prévoir pour un onlay

Si le patient a une dent dont le sommet ou la pointe a été brisé, le dentiste peut dans certains cas proposer une intervention simple qui consiste à reconstruire la dent en passant un onlay.

Pour un onlay en composite, il faut prévoir un prix moyen de 350 €. Pour un onlay en céramique, il faut compter en moyenne 600 €.

  

Prothèse Dentaire Prix : Combien faut-il prévoir ?

Les facteurs dont dépend le prix d’une prothèse dentaire

Le prix d’une prothèse dentaire dépend de la nature de la prothèse dont la pose est envisagée, du nombre de dents à remplacer et éventuellement des soins complémentaires nécessités par l’état du patient.

 

Le prix à prévoir pour une couronne dentaire artificielle

La pose d’une couronne est proposée par le dentiste lorsqu’il faut restaurer une dent gravement abîmée à cause d’un traumatisme ou d’une carie profonde et dans la mesure où cette dent peut être taillée pour servir de socle.

Elle peut être réalisée avec de la céramique ou du métal ou avec une combinaison de ces deux matériaux.

Le prix moyen d’une couronne en métal se situe autour de 500 €.

Plus économique qu’une couronne en céramique, elle peut convenir pour la restauration d’une dent peu visible, mais son aspect esthétique la rend peu appropriée si la dent à soigner est située sur le devant de la mâchoire.

Dans ce cas, le dentiste peut proposer une couronne en céramique dont le prix moyen se situe autour de 900 € ou une couronne fabriquée avec de la céramique et du métal dont le prix peut être légèrement inférieur.

 

Le prix à prévoir pour un bridge

Un bridge est une prothèse fixe qui peut être proposée par le dentiste si le patient a plusieurs dents devant être restaurées ou si la dent à soigner ne peut pas être préparée pour recevoir une couronne.

Dans ce cas, le dentiste lime deux dents saines sur lesquelles le bridge sera fixé et il fait confectionner un bridge qui aura l’aspect des dents naturelles à remplacer s’il est en céramique.

Il peut aussi proposer au patient de fixer le bridge sur des implants si cela est possible.

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Pour un bridge destiné à remplacer une ou deux dents manquantes, il faut prévoir un prix moyen compris entre 2000 et 2500 € si l’on souhaite bénéficier d’un travail de bonne qualité.

 

Le prix d’une prothèse montée sur un implant

Lorsque cela est possible, le dentiste peut proposer à son patient de fixer la couronne sur un ou plusieurs implants. Ce procédé permet d’éviter de limer des dents saines, mais il faut prévoir un prix se situant en moyenne à 1800 €.

 

Les prix à prévoir pour des prothèses dentaires amovibles

Lorsqu’un patient a une mâchoire totalement ou partiellement édentée et lorsque ses ressources financières ne lui permettent pas de s’offrir une ou plusieurs prothèses fixes, l’on peut envisager la réalisation d’une prothèse amovible.

Ce type de prothèse que l’on appelle couramment un dentier peut être placé sur la mâchoire d’une manière stable et les techniques modernes permettent aux patients de bénéficier d’un bon résultat esthétique et d’une bonne fonctionnalité pour la mastication des aliments.

Les prix moyens des prothèses dentaires amovibles sont les suivants :

– Pour le remplacement d’une, de deux ou de trois dents : 450 €

– Pour le remplacement de quatre ou cinq dents : 550 à 600 €

– Pour le remplacement de  six dents : 700 

– Pour le remplacement de  sept, huit ou neuf dents : 800 

– Pour le remplacement de dix ou onze dents : 900 

– Pour le remplacement de douze dents : 1200 €

Enfin, si la mâchoire du patient est totalement édentée, il faut confectionner une prothèse complète dont le prix moyen se situe autour de 1900 €.

Dans tous les cas, il faut demander au dentiste de faire un devis détaillé afin d’éviter toute mauvaise surprise.

Prothèse Dentaire Fixe : De quoi s’agit-il ?

Les caractéristiques générales d’une prothèse dentaire fixe

Une prothèse dentaire fixe est destinée à être fixée en permanence dans la mâchoire du patient contrairement à une prothèse amovible qui peut être retirée notamment pour être nettoyée.

Plus coûteuse qu’une prothèse amovible, elle offre toutefois d’excellentes fonctionnalités pour la mastication et un avantage esthétique lorsqu’elle réalisée avec de la céramique.

Elle peut être confectionnée avec du métal, ce qui constitue une solution économique, mais dont le résultat esthétique est médiocre.

Ceci peut donc convenir pour remplacer une molaire gravement cariée, mais pas pour traiter des dents se trouvant sur le devant de la mâchoire.

Dans ce cas, si les moyens du patient le permettent, il faut envisager la création d’une prothèse en céramique qui a le même aspect esthétique qu’une dent naturelle.

En outre, la biocompatibilité de ce type de matériau assure un excellent confort au patient.

Les couronnes

Une couronne est destinée à restituer son aspect normal à une dent délabrée dans la mesure où cette dent peut être taillée en vue de servir de pilier à la future couronne ou s’il est possible de mettre en place un inlay-core qui permettra l’ancrage.

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Les bridges

Un bridge peut être proposé au patient s’il faut remplacer plusieurs dents voisines les unes des autres ou si la mise en place d’une couronne ne veut pas être envisagée.

Le bridge est une prothèse fixe qui est fixée sur les dents saines qui ont été préalablement taillées au moyen de la fraise du dentiste et qui joueront le rôle de piliers. 

 

Les implants

il s’agit de vis insérées dans l’os de la mâchoire et sur lesquelles une prothèse fixe peut être montée. Ces vis sont le plus souvent confectionnées avec du titane qui est biocompatible et qui garantit une bonne longévité à la prothèse.

En outre, il n’est pas forcément nécessaire de mettre un implant pour chaque dent à remplacer.

 

Les différentes étapes de la mise en place d’une prothèse fixe

Après avoir examiné les mâchoires du patient et éventuellement taillé les dents qui serviront de support, le dentiste réalise une empreinte qui permettra de réaliser une prothèse parfaitement adaptée à l’anatomie de la mâchoire du patient.

Si un délai est nécessaire pour la pose de la prothèse définitive (et notamment s’il faut attendre la cicatrisation d’une éventuelle extraction), le dentiste propose la mise en place d’une prothèse provisoire qui permet au patient de mastiquer correctement les aliments.

La prothèse définitive est posée dès que cela est possible.

Prothèse Dentaire Partielle : quel est le prix ?

L’objectif de la mise en place d’une prothèse dentaire partielle

Si le patient n’a plus les dents qui se trouvaient sur une partie de l’une de ses mâchoires et si la réalisation d’une ou de plusieurs prothèses fixes n’est pas possible, le chirurgien-dentiste peut proposer la confection d’une prothèse dentaire partielle. Cette prothèse pourra offrir la même fonctionnalité  que des dents naturelles.

Elle pourra être fixée sur les dents adjacentes de la partie la mâchoire édentée au moyen de crochets en métal qui garantissent une très bonne stabilité.

Si cette partie de mâchoire doit être préparée et notamment si le dentiste doit extraire des dents, le patient doit attendre que sa gencive soit prête, ce qui peut durer un mois.

 

Le prix moyen d’une prothèse dentaire partielle

Ce prix dépend notamment du nombre de dents à remplacer. Il faut prévoir un budgett s’élevant en moyenne entre 400 et 500 € s’il ne manque pas plus de trois dents.

S’il faut remplacer quatre ou cinq dents, la dépense s’élève en moyenne à 600 €. Pour remplacer entre six et neuf dents, il faut s’attendre à une dépense moyenne comprise entre 700 et 800 €.

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Toutefois, ces prix sont nettement inférieurs à ceux d’une série de couronnes ou d’un bridge en céramique.

De plus, s’il peut remplacer des dents situées sur le devant de la mâchoire, le patient peut bénéficier d’un résultat esthétique nettement meilleur que celui qui résulterait de la mise en place de prothèses fixes en métal.

 

Le remboursement d’une prothèse dentaire partielle

La sécurité sociale prend mal en charge les frais de prothèses dentaires. Ainsi, pour une prothèse amovible concernant trois dents, le remboursement est limité à un peu plus de 45 €.

Il faut par conséquent demander au dentiste de faire un devis et se renseigner auprès de sa mutuelle pour savoir quel est le niveau de prise en charge qui sera accordé.

Toutefois, les bénéficiaires de la couverture maladie universelle complémentaire peuvent bénéficier d’une meilleure prise en charge sous certaines conditions

Par ailleurs, si le patient a besoin d’une prothèse, parce que ses dents ont été brisées par un agresseur ayant toutes les chances d’être insolvable, il peut bénéficier d’un dédommagement versé par la commission d’indemnisation des victimes d’infractions.

Ce dédommagement peut lui permettre de bénéficier de soins de qualité. En conséquence, il a intérêt à contacter une association d’aide aux victimes d’actes de violence après avoir déposé plainte.

Prothèse Dentaire Provisoire : de quoi s’agit-il ?

Les cas dans lesquels cette solution peut être proposée

La pose d’une prothèse dentaire définitive fixe ou mobile peut nécessiter plusieurs séances de soins et un délai de plusieurs semaines.

Ainsi, si des dents ont été extraites, il faut attendre la cicatrisation totale des extractions pour que la gencive soit prête à recevoir la prothèse définitive.

Par ailleurs, il faut tenir compte du délai nécessaire pour la confection de la prothèse si celle-ci ne peut pas être confectionnée en quelques heures au moyen d’un scanner en 3D. 

En conséquence, le dentiste propose à son patient la mise en place d’une prothèse provisoire qui lui permet de croquer des aliments dans les mêmes conditions qu’avec des dents naturelles.

 

Les catégories de prothèse provisoire

Un bridge provisoire peut être posé à l’avant de la mâchoire après la taille des dents qui serviront de pilier pour remplacer temporairement une incisive ou une canine manquante.

En ce qui concerne une couronne, une prorhèse provisoire peut être mise dans l’attente de la pose d’une couronne définitive après la taille de la dent qui servira de pilier.

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Si le patient a choisi une prothèse mobile en accord avec son dentiste, celui-ci peut aussi lui installer un dentier provisoire qui lui permettra de croquer ses aliments dans des conditions correctes.

Dans ce cas, la prothèse provisoire qui peut être totale ou partielle comporte des fausses dents en résine acrylique qui sont tout à fait similaires à des dents naturelles.

Le support est réalisé avec une matière rose ou transparente. D’autre part, il est possible de choisir une prothèse provisoire fabriquée avec une résine dure qui est conseillée si la personne est totalement édentée.

Pour une personne qui a encore des dents naturelles sur lesquelles le dentier pourra être fixé, le dentiste pourra proposer une prothèse provisoire flexible ayant un support en nylon thermoplastique.

Elle offrira un bon confort au patient.

 

L’entretien des prothèses provisoires mobiles

Le patient doit enlever sa prothèse après chaque repas et la nettoyer avec soin en utilisant de l’eau tiède pour éliminer tous les débris de nourriture. En effet, une eau très chaude risque de déformer la prothèse.

Par ailleurs, le patient doit penser à mouiller sa prothèse avant de la remettre dans sa bouche et il a intérêt à utiliser un miroir pour positionner sa prothèse correctement sur sa mâchoire.

Il est également conseillé d’éviter de croquer des aliments trop durs, car une prothèse provisoire n’est pas très solide.

Prothèse Dentaire Stellite : De quoi s’agit-il ?

La spécificité d’une prothèse dentaire en stellite

Une prothèse dentaire en stellite est une prothèse amovible partielle pouvant être proposée à un patient auquel il manque plusieurs dents sur l’une de ses mâchoires et pour lequel cette solution semble appropriée notamment en raison du fait que ses revenus ne lui permettent pas de payer une prothèse fixe.

Sa base contient une plaque réalisée en alliage de cobalt et de chrome.

Ce matériau a l’avantage d’être utilisable pour la réalisation de prothèse en raison de sa biocompatibilité et de bien résistait à la corrosion.

En outre, la prothèse se maintient avec stabilité sur la mâchoire du patient et elle est plus légère qu’un dentier dont la base ne contient que de la résine. 

Par ailleurs, elle occupe moins de place dans la bouche et le patient a moins de difficultés pour parler qu’avec une prothèse en résine simple.

D’autre part, si elle doit être placée sur le devant de mâchoires, il est parfois possible de la fixer plus discrètement qu’avec des crochets qui risquent d’être visibles lorsque le patient sourit.

Enfin, elle est plus solide qu’une prothèse réalisée uniquement avec de la résine qui a le défaut de se briser facilement.

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La réalisation d’une prothèse en stellite

La première phase est constituée par un bilan complet au cabinet dentaire.

Le dentiste examine la partie de la mâchoire sur laquelle la prothèse devra être posée et il suggère au patient de mordre dans une pâte spéciale en vue de réaliser une empreinte grâce à laquelle un moulage pourra être réalisé pour préparer la prothèse.

Il propose au patient de lui préparer un dentier provisoire pour éviter l’inconfort de l’absence totale de dents et il l’invite à choisir la couleur des dents artificielles qui seront fixées sur le dentier en stellite.

Ensuite, l’empreinte est envoyée au laboratoire de prothèse dentaire qui prépare le dentier en se conformant scrupuleusement au moulage préalablement effectué.

Le patient peut donc être certain que le dentier sera parfaitement adapté à l’anatomie de sa mâchoire.

Le technicien de laboratoire commence par faire une maquette qui est retournée au dentiste et que le patient peut essayer au cabinet pour vérifier si elle lui va bien. Le dentiste note les éventuelles retouches qui sont souhaitées par le patient.

Une fois que la prothèse est prête, le dentiste la place sur la mâchoire du patient dans la mesure où l’état de celle-ci le permet. En effet, si le dentiste a dû arracher des dents, il faut attendre que la gencive soit totalement cicatrisée. 

 

Les dispositions à prendre après la mise en place de la prothèse

Le patient doit se brosser régulièrement les dents et entretenir soigneusement sa prothèse au moyen d’un produit de nettoyage vendu en pharmacie.

D’autre part, il doit tenir compte du fait que la surface sur laquelle la prothèse est posée risque de se modifier en raison de la résorption des crêtes osseuses.

En conséquence, il doit consulter régulièrement son dentiste pour que celui-ci puisse adapter la surface de la prothèse à l’évolution de celle de la gencive.

Le dentiste peut notamment faire un rebasage ou ajouter de la résine pour que la prothèse reste ajustée à la morphologie de la mâchoire du patient.   

Cette réadaptation qui doit être faite au moins tous les trois ans est importante, car l’évolution des crêtes osseuses provoque des tensions sur les dents naturelles, ce qui peut provoquer des troubles.

En suivant ces recommandations, le patient profitera pleinement des avantages de sa prothèse en stellite et notamment de sa longévité.

Prothèse Dentaire Stellite ou Résineuse : Que choisir ?

Les caractéristiques des prothèses amovibles en stellite ou en résine

Un dentier en résine est constitué d’une base en résine sur laquelle sont fixées des dents artificielles. Il est muni de crochets destinés à être fixés sur les dents saines sur lesquels la prothèse prendra appui.

Un dentier en stellite est constitué d’une base métallique réduite et d’une partie en résine sur laquelle les fausses dents sont fixées.

Ayant un poids inférieur à celui d’un dentier en résine, il est fabriqué avec un alliage contenant du cobalt et du chrome. Parfaitement biocompatible, il résiste bien à la corrosion.

De plus, le patient bénéficie d’une grande stabilité et d’une bonne intégration de la prothèse dans la mâchoire.

Ses crochets sont mieux conçus que ceux d’une prothèse en résine et ils peuvent parfois être remplacés par des fixations plus discrètes telles que des glissières ou des taquets.

 

Les critères à retenir pour le choix

Les dentistes considèrent qu’un dentier en résine peut être mis en place qu’à titre provisoire pour permettre aux patients de croquer facilement ses aliments en attendant la mise en place de la prothèse définitive.

En effet, les crochets d’un dentier en résine risquent d’abîmer les dents sur lesquelles ils sont fixés et la plaque exerce une forte pression sur la gencive, ce qui peut créer un inconfort désagréable sur une longue période.

De plus, un dentier en stellite est beaucoup moins gênant lorsque le patient parle avec ses proches et il stabilise les dents sur lesquelles il est fixé.

Il semble donc tout à fait clair qu’en principe la confection d’un dentier en stellite constitue une solution appropriée pour le patient qui souhaite obtenir un résultat satisfaisant et durable.

C’est surtout le cas si le patient ne peut pas payer la réalisation d’une ou de plusieurs prothèses fixes ou si ces prothèses ne sont pas indiquées dans son cas sur le plan médical.

 

La réalisation d’une prothèse en stellite

Après avoir examiné la partie de la mâchoire sur laquelle des dents doivent être remplacées, le dentiste fait une prise d’empreinte.

Ce soin est réalisé dans le but de faire un moulage permettant de réexaminer la dentition du patient ainsi que de son occlusion après la séance au cabinet dentaire.

Pour l’exécuter, le dentiste invite le patient à mordre dans le produit d’empreinte et à patienter pendant le temps nécessaire à une bonne impression de l’empreinte. Ensuite, un moulage est réalisé pour la préparation de la prothèse amovible.

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L’étape suivante consiste à choisir la teinte des dents artificielles avec l’accord du patient.

Il est fait en sorte que cette teinte soit aussi proche que possible de la couleur naturelle des dents du patient pour que celui-ci ait un sourire harmonieux.

Le dentiste propose habituellement un dentier provisoire en résine au patient.

Après l’envoi de l’empreinte de laboratoire, la prothèse définitive est préparée en vue d’offrir le maximum d’avantages au patient.

Le technicien chargé de concevoir cette prothèse veillera notamment à ce qu’elle offre un excellent niveau de stabilité et de fonctionnalité pour la mastication.

À la séance suivante, le patient essaie la maquette de la prothèse et peut évaluer le résultat esthétique au moyen d’un miroir. Ensuite, la maquette est retournée au laboratoire en vue d’être transformée pour la réalisation de la prothèse définitive.

Celle-ci est mise en place une fois qu’elle est confectionnée et que la gencive peut la recevoir (il faut notamment que les éventuelles extractions soient entièrement cicatrisées).       

Prothèse Dentaire et Remboursement : Ce qui est pris en charge ?

Les remboursements accordés par l’assurance-maladie pour les prothèses fixes

Pour une couronne, la base du tarif de remboursement est fixée à 107,50 €. La sécurité sociale rembourse en principe 70 % de ce montant, soit 75,25 €.

De plus, la couronne doit être constituée de métal au moins partiellement, car l’assurance-maladie ne prend pas en charge les couronnes entièrement constituées de céramiques.

En ce qui concerne les bridges qui sont proposés si plusieurs dents doivent être traitées ou si la dent à réparer ne peut pas être taillée pour recevoir une couronne, le remboursement s’élève en principe à 195,65 € si les dents servant de support sont délabrées. Le redressement est calculé sur la base de 279,50 €.

Enfin pour un inlay core, la base de calcul du remboursement s’élève à 122,55 € pour un inlay normal et à 144,05 € pour un inlay claveté. L’assurance-maladie rembourse 70 % de ces montants.

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Les remboursements prévus pour des prothèses dentaires amovibles

La sécurité sociale rembourse en principe 70 % d’un montant forfaitaire qui s’élève à 64,50 € pour un dentier destiné à remplacer jusqu’à trois dents.

Si le patient doit se faire faire un dentier complet, car l’une de ses mâchoires est totalement édentée, il perçoit 127,75 €, ce qui représente 70 % du tarif de remboursement conventionnel qui est de 182,50 €.   

 

Le cas des patients bénéficiant d’une couverture maladie universelle complémentaire

Si le patient a simplement besoin d’une prothèse fixe destinée à réparer une dent peu visible, le montant de remboursement s’élève à 250 €.

En effet, la couverture maladie universelle complémentaire donne droit à un complément de 174,75 € par rapport au tarif de remboursement normal.

S’il doit faire traiter une dent située à l’avant de sa mâchoire, il bénéficie d’un remboursement de 410 € pour une prothèse en céramique et en métal.

Pour un dentier à châssis métallique destiné à combler l’absence de quatre dents, le remboursement de l’assurance maladie obligatoire et de la couverture maladie universelle complémentaire s’élève à un total de 715 €.

Le remboursement est le même s’il faut remplacer cinq ou six dents.

Si le patient bénéficiant de cette couverture spécifique a une mâchoire totalement édentée, il peut toucher un remboursement total de 1056,64 € pour une prothèse définitive amovible à châssis métallique.

Le remboursement s’élève à 2113,28 € s’il faut faire confectionner ce type de prothèse pour les deux mâchoires.

Prothèse Dentaire Haut Sans Palais : Ce qu’il faut savoir ?

L’originalité de ce type de prothèse

Cette catégorie de prothèse peut convenir à des patients qui ont besoin de se faire faire un dentier pour leur mâchoire supérieure, mais qui tiennent à pouvoir continuer à apprécier le goût des aliments.

En effet, elle est caractérisée par le fait qu’elle n’a pas de faux palais. Fabriquée avec de la résine flexible, elle peut offrir une très bonne solidité.

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Les situations dans lesquelles la création d’un dentier haut peut être envisagée

Si un patient a la mâchoire supérieure totalement édentée, et s’il ne peut pas bénéficier de la pose de plusieurs prothèses fixes sur des implants pour des raisons médicales financières, le dentiste pour proposer la création d’un dentier destiné à être passé sur les gencives du maxillaire concerné.   

 

Les cas dans lesquels il est possible de bénéficier d’un dentier supérieur sans faux palais

En principe, le faux palais fait partie de la prothèse mobile supérieure qui est également constituée des fausses gencives et des fausses dents.

Il assure une bonne adhérence de la prothèse, car il prend appui sur le palais du patient. Celui-ci peut donc être dispensé d’utiliser une colle spéciale pour éviter un risque de perte de son dentier.

En conséquence, un dentiste peut déconseiller la mise en place d’une dentier sans faux palais si le patient n’a jamais porté ce type de prothèse auparavant et s’il n’est pas possible de fixer le dentier sur des implants.

Si le dentier peut être fixé sur des implants, le dentiste peut proposer une intervention consistant à placer quatre implants sur lesquels une barre de rétention est vissée.

La prothèse peut ensuite être placée sur cette barre et être retirée très facilement. Le patient bénéficie donc d’une prothèse à la fois confortable, stable et commode à utiliser.

De plus, ce type de protocole offre un avantage esthétique incontestable et il permet de bien maintenir la prothèse en place sans devoir utiliser de la colle.

La procédure de mise en place d’une prothèse mobile sans palais

Le dentiste commence par procéder à un examen approfondi de la mâchoire supérieure du client et par étudier avec celui-ci les différentes solutions possibles.

Si des dents doivent être arrachées, le dentiste procède aux extractions et il propose au patient la création d’un dentier provisoire pour la période de cicatrisation.

Après cette période, la prothèse sans palais est mise en place si elle est appropriée.

Toutefois, elle devra être lavée régulièrement avec du dentifrice. La barre de rétention doit également être entretenue avec soin.

Prothèse Dentaire Complète : Ce qu’il faut savoir ?

Les caractères spécifiques d’une prothèse dentaire complète

Une prothèse dentaire complète qui est également appelée “dentier” dans le langage courant est proposée s’il faut remplacer toutes les dents de la mâchoire supérieure ou de la mâchoire inférieure.

Elle est confectionnée en vue de s’appuyer sur la majeure partie de la surface de la gencive.

Elle peut être proposée par le dentiste si le patient n’a pas des ressources financières suffisantes pour payer une prothèse fixe ou s’il a un problème de santé constituant une contre-indication à cette solution.

Elle est fabriquée au moyen d’un appareil spécial qui reproduit les mouvements que l’être humain doit faire pour croquer ses aliments, ce qui garantit une bonne fonctionnalité au patient.

Celui-ci peut choisir en premier lieu une prothèse de précision qui est fabriquée avec un appareil qui simule les mouvements latéraux et les mouvements vers l’avant de la mâchoire inférieure.

Dans ce cas, le patient profite d’une très bonne fonctionnalité pour la mastication et la prothèse est très stable.

Le patient peut aussi se contenter de choisir une prothèse centrique. Cette dernière est fabriquée avec un occluseur qui imite les mouvements effectués pour ouvrir ou pour fermer la bouche.

Mais les mouvements effectués pour faire bouger le menton vers l’avant ou de gauche à droite ne sont pas reproduits.

Il en résulte que cette solution qui est plus économique est utilisée surtout pour les patients ayant des gencives dont l’état permet une bonne stabilité de la prothèse.

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La prothèse dentaire complète à base molle

Elle peut convenir à un patient qui ne peut pas bénéficier de la mise en place d’un dentier fixé sur des implants et qui a besoin d’une autre solution pour limiter les conséquences de la résorption de l’os de sa mâchoire.

En effet, une base molle est constituée d’une couche de silicone qui adhère bien à la gencive. Il en résulte une amélioration de la stabilité du dentier et du confort.   

Cependant, ce type de prothèse exige des retouches périodiques et une hygiène rigoureuse.

 

La voûte métallique

Lorsque la prothèse complète doit être confectionnée pour la mâchoire supérieure du patient, le dentiste peut proposer une prothèse à voûte métallique qui est plus résistante et plus confortable qu’une voûte en acrylique.

Toutefois, elle ne peut pas faire l’objet d’un regarnissage ou d’un rebasage si le contact avec les muqueuses devient insuffisant.

Prothèse Amovible Partielle Supérieure : Ce qu’il faut savoir ?

Les caractéristiques générales d’une prothèse dentaire amovible supérieure

Une prothèse dentaire amovible supérieure peut être placée sur la mâchoire supérieure d’un être humain pour remplacer des dents manquantes.

Elle peut être partielle si le patient n’a perdu qu’une partie des dents qu’il possédait sur cette mâchoire. Si la mâchoire est totalement édentée, il est possible de confectionner et de placer une prothèse dentaire amovible totale.

Cette solution peut convenir à un patient chez lequel la pose d’une prothèse fixée n’est pas indiquée pour des raisons médicales.

Il en est de même s’il n’a pas les moyens de s’offrir ce type de soin qui est très mal pris en charge par l’assurance maladie obligatoire.

En effet, une prothèse amovible supérieure bien conçue peut offrir un bon confort lors de la mastication et parfois un bon résultat esthétique.

 

Les étapes de la réalisation d’une prothèse dentaire amovible supérieure

La première étape consiste à demander à son dentiste de procéder à un examen approfondi de la dentition.

Le dentiste examine notamment la partie édentée de la mâchoire pour pouvoir dire à son patient quelles sont les solutions possibles pour remédier à la perte de ses dents.

Ensuite, il procède aux extractions qui sont nécessaires et il examine la gencive pour savoir comment la prothèse devra être confectionnée.

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Le cas particulier d’une prothèse partielle

Si le patient a encore des dents saines sur lesquelles il est possible de fixer une prothèse partielle, le dentiste lui propose cette solution.

Elle consiste à élaborer une prothèse qui sera fixée sur les dents saines au moyen de crochets qui lui permettront d’être tout à fait stable. Cette solution offre un bon confort et une bonne fonctionnalité.

Cependant, si la prothèse dentaire doit être placée sur le devant de la mâchoire, les crochets seront visibles ce qui pose un problème esthétique.

 

La prothèse dentaire supérieure totale

il s’agit d’une solution qui peut être indiquée si le patient n’a plus de dents sur sa mâchoire supérieure, car ce type de prothèse remplace toutes les dents.

Toutefois, une prothèse supérieure totale doit souvent avoir un faux palais pour mieux adhérer sans que le patient doive appliquer une colle prévue à cet effet.

Mais le faux palais peut-être évité si aucune contre-indication n’interdit la mise en place d’implants sur lesquels la prothèse sera placée d’une manière stable.   

Prothèse Dentaire Amovible Partielle : Ce qu’il faut savoir ?

Les caractéristiques d’une prothèse dentaire amovible partielle

Ce type de prothèse est destiné à remédier à l’absence d’une ou de plusieurs dents sur une mâchoire qui n’est pas totalement édentée lorsque le patient ne peut pas bénéficier de la mise en place d’un bridge ou d’une série de prothèses fixes en raison d’un manque de moyens ou d’une contre-indication.

La prothèse est constituée d’une fausse gencive sur laquelle des dents artificielles sont fixées et de crochets en métal qui permettront de fixer solidement le dentier aux dents voisines.

 

Les prothèses amovibles partielles en résine

Ces prothèses sont constituées de dents artificielles placées sur un support en résine acrylique qui est en contact avec la gencive.

Elles sont fixées au moyen de crochets métalliques sur les dents voisines.

 

Les prothèses amovibles partielles en métal

Elles sont caractérisées par le fait que la plaque qui recouvre la gencive est fabriquée avec un alliage métallique. Ce matériau qui est plus résistant permet de réaliser des prothèses plus fines, ce qui peut améliorer le confort du patient.

De plus, la stabilité de ces prothèses est améliorée par la présence de taquets qui empêchent la prothèse de s’insérer dans la gencive.

Le métal est par ailleurs recouvert d’une couche d’acrylique rose qui évite toute irritation des muqueuses.

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La réalisation de ce type de prothèse

Un bilan complet de l’état des mâchoires du patient est toujours effectué en premier lieu. Ensuite, le dentiste doit extraire des dents si cela s’impose.

Si les dents à extraire se trouvent sur la partie de la mâchoire qui va recevoir le dentier, il faut patienter environ un mois pour la cicatrisation.

Dans ce cas, la mise en place d’un dentier provisoire peut être proposée si elle n’est pas contre-indiquée.

D’autre part, le dentiste vérifie si les dents sur lesquelles la prothèse va être fixée sont parfaitement saines. Ensuite, il explique à son patient quelles sont les solutions possibles.

Le patient choisit la mise en place d’une prothèse amovible partielle s’il pense que cela lui convient et la prothèse est fabriquée par un laboratoire spécialisé avant d’être placé sur la mâchoire du patient. 

Par la suite, celui-ci devra entretenir soigneusement ses dents et consulter régulièrement son dentiste pour que celui-ci puisse vérifier l’état de sa prothèse et de ses mâchoires.

Prothèse Dentaire Amovible en Résine : Ce qu’il faut savoir ?

Les indications de la mise en place d’une prothèse dentaire amovible

Une prothèse dentaire amovible constitue une solution qui peut être proposée à un patient qui a perdu une partie ou la totalité de ses dents. Elle lui permet de sourire et de mastiquer ses aliments dans de bonnes conditions.

Ce type de prothèse qui est couramment appelée dentier peut être partielle si le patient ne doit faire remplacer une partie des dents se trouvant sur l’une de ses mâchoires.

Si la mâchoire est totalement édentée, il faut envisager la mise en place d’une prothèse amovible totale si le patient ne peut pas payer une prothèse fixe ou si cette solution est contre-indiquée.

La prothèse amovible en résine

Lorsque le dentier définitif ne peut pas être mis en place immédiatement (c’est le cas notamment s’il faut attendre la cicatrisation des extractions ayant dû être pratiquées), le dentiste peut proposer une prothèse provisoire en résine.

Une prothèse fabriquée uniquement avec de la résine risque d’être fragile et ne peut par conséquent constituer qu’une solution d’attente.

Ceci s’explique par le fait que la résine est un matériau souple qui doit être constamment humide pour pouvoir s’adapter à l’anatomie de la mâchoire du patient.

Si la prothèse s’assèche en raison d’un contact insuffisant avec la salive à cause de la présence de débris d’aliments, elle risque de se casser.

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La prothèse définitive

Un dentier définitif est fabriqué avec de la résine contenant du métal, ce qui le rend nettement plus solide. Il en résulte qu’il dure le plus longtemps.

Par ailleurs, il peut faire l’objet d’une retouche s’il devient inadapté aux caractéristiques de la mâchoire du patient.

L’intervention consiste à remettre la résine pour adapter à nouveau le dentier à la morphologie de la mâchoire du patient en vue d’éviter à celui-ci des douleurs localisées ou d’autres désagréments.     

L’utilisation et l’entretien d’une prothèse amovible en résine

Pour éviter le risque de perte du dentier, le dentiste peut suggérer à son patient d’appliquer chaque jour sur le dentier une colle spéciale qui garantit un maintien stable de la prothèse sur la gencive.

Par ailleurs, le patient doit se brosser les dents avec soin après chaque repas.

D’autre part, il doit retirer son dentier avant de se coucher et le laisser tremper toute la nuit dans un verre contenant de l’eau ou un produit de nettoyage non toxique. Ce type de produit peut être acheté dans les pharmacies.

Prothèse Dentaire en Céramique : Ce Qu’il Faut Savoir ?

Les spécificités d’une prothèse dentaire en céramique

Une prothèse dentaire en céramique peut être fabriquée uniquement avec de la céramique ou être constituée de céramique et de métal.

En fonction de l’état de la mâchoire du patient, le dentiste peut proposer une céramique alumineuse plus résistante, mais moins jolie ou une céramique réalisée avec du feldspath qui est une matière minérale faisant partie du groupe des tectosilicates.

Si ce matériau est choisi, le résultat esthétique est excellent, mais la résistance risque d’être moindre.

 

Les catégories de prothèses fixes en céramique

Si l’état de la dent qui doit être restaurée en raison d’une carie grave ou d’un accident permet de tailler un pilier, le dentiste peut proposer la confection d’une couronne en céramique qui sera indépendante des dents voisines.

Si la dent restaurée ne peut pas être taillée ou s’il faut traiter plusieurs dents voisines, la confection d’un bridge peut constituer une solution appropriée.

Dans ce cas, le dentiste taille des piliers sur les deux dents adjacentes des dents manquantes et le bridge est confectionné. Il offre au patient les mêmes fonctionnalités que des dents naturelles.

Enfin, une prothèse dentaire en  céramique peut être fixée sur un implant qui est une vis qui est destinée à être placée dans l’os de la mâchoire en vue de servir de support à la prothèse.

Les implants modernes ont l’avantage d’être biocompatibles, ce qui leur permet de bien s’intégrer dans l’os et d’offrir un bon confort au patient.

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Les avantages d’une prothèse en céramique

Quel que soit le matériau choisi, une prothèse en céramique a un aspect esthétique nettement meilleur qu’une prothèse en métal.

Il en résulte que ce matériau convient au patient qui doit faire restaurer des dents situées à l’avant de ses mâchoires alors qu’une prothèse en métal peut à la rigueur convenir pour des molaires.

Cet aspect esthétique ne doit pas être sous-estimé en raison de l’importance du sourire dans la vie sociale. De plus, les céramiques ont une bonne biocompatibilité.

 

L’inconvénient d’une prothèse en céramique

Malheureusement, une prothèse en céramique est nettement plus coûteuse qu’une prothèse en métal.

Cependant, un patient qui bénéficie de la couverture universelle maladie complémentaire a droit à une prise en charge de ce type de prothèse pour les dents les plus visibles.

En outre, un patient victime d’une agression qui a causé la facture de l’une de ses dents de bénéficier d’une prise en charge versée par la commission d’indemnisation des victimes d’infractions.

ledabelle