Implant dentaire : Tout comprendre

Implant dentaire : ce dont il s’agit

L’originalité d’un implant dentaire résulte du fait qu’il s’agit d’une prothèse totalement indépendante des dents voisines, car elle est fixée sur un pilier qui est lui-même solidaire d’une vis en titane que le dentiste a placée dans l’os de la mâchoire du patient.

Cette solution peut donc être intéressante si le patient a une dent qui ne peut pas ¨être taillée pour recevoir une couronne, car elle est trop abîmée et si les deux dents voisines sont saines.

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Or, en principe l’assurance maladie ne rembourse pas les poses d’implants dentaires sauf dans le cas des patients victimes d’un cancer nécessitant une chimiothérapie ayant provoqué un déchaussement des dents ou si le patient a été victime d’une agénésie dentaire résultant d’une cause génétique.

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La pose d’un implant dentaire : son déroulement et ses suites

Avant le début du protocole, un examen minutieux des mâchoires du patient est effectué par le dentiste qui s’assure du fait que la mise en place d’un implant est adaptée à la pathologie à traiter.

En effet, certaines maladies cardiaques et certaines pathologies des os ainsi que le sida peuvent contre-indiquer formellement cette solution.

En outre, le traitement ne peut débuter qu’une fois que les problèmes buccaux qui peuvent compromettre son bon déroulement ont été traités.

Si l’intérêt de ce traitement pour le patient est réel, la première étape est toujours constituée par une anesthésie locale.

Si le patient doit se faire faire d’autres poses d’implants ou d’autres soins au cours de la même séance, il peut faire effectuer l’intervention dans une clinique.

Dans ce cas, l’équipe médicale peut améliorer son confort en complétant les anesthésies locales par une sédation analgésique administrée par voie intraveineuse.

Ensuite, le dentiste procède à un forage de l’os pour créer l’espace dans lequel la vis en titane sera insérée et il confectionne une prothèse provisoire pour le patient.

Ce soin est indispensable, car la prothèse définitive ne pourra être mise en place qu’après la cicatrisation totale de l’opération. Or, cette cicatrisation dure plusieurs semaines.

Pendant ce délai et compte tenu de la fragilité de la prothèse provisoire, le patient doit ne mâcher que des produits alimentaires relativement mous et éviter d’exercer des pressions trop fortes sur ladite prothèse.

En outre, il doit cesser toute consommation de tabac pour éviter toute apparition d’une pathologie de nature à compromettre le bon déroulement de la cicatrisation.

S’il est fumeur, il a donc intérêt à consulter un médecin capable de lui prescrire un traitement d’aide au sevrage tabagique.

Une fois que le dentiste a constaté que la cicatrisation est achevée et que la vis en titane s’est bien intégrée dans la mâchoire, la prothèse définitive peut être posée. Le patient doit continuer à entretenir régulièrement ses dents en les brossant au moins deux fois par jour.

 

Les possibilités de remboursement d’un implant

Le plus souvent, il faut avoir choisi une mutuelle offrant un niveau élevé de remboursement des prothèses dentaires et des implants pour ne pas se retrouver avec une grosse dépense à sa charge le jour où cette intervention est nécessaire.

Une personne avisée doit donc anticiper ce problème en choisissant sa mutuelle avec soin.

Il faut comparer plusieurs offres en examinant de près le niveau de prise en charge proposée pour les prothèses dentaires ainsi que pour les autres traitements coûteux et mal pris en charge par l’assurance-maladie.

Un implant dentaire peut-il tomber ?

La pose d’un implant dentaire

Le dentiste propose à son patient la pose  d’un implant dentaire dans la mesure où il pense que cette solution est la plus appropriée.

L’intervention consiste à causer un peu l’os de la mâchoire où se trouve la dent à soigner et à insérer dans cet os une vis en titane sur laquelle sont fixés le pilier et la couronne.

Celle-ci est fixée après la cicatrisation totale de l’endroit où la vis a été insérée.

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Dans la mesure où le dentiste a fait un excellent travail, où les contre-indications ont été respectées et où le patient est non-fumeur, les problèmes ne se produisent que très rarement. Mais un risque de chute ne peut pas être totalement exclu.

 

Le risque de chute de l’implant dentaire

Dans l’année qui suit sa mise en place, l’implant peut bouger et tomber s’il ne s’est pas bien inséré dans l’os.

Ce problème peut être provoqué par l’une des causes suivantes :

1/ Une mauvaise évaluation de l’échauffement de l’os lors de la préparation de l’espace destiné à recevoir la vis. Ceci résulte d’une erreur d’appréciation du risque de coagulation des cellules osseuses par le dentiste.

2/ Une masse osseuse manquant d’épaisseur ou de densité ;

3/ Un positionnement de l’implant mal effectué ;

4/ Un défaut de cicatrisation qui peut résulter notamment par une maladie de la gencive provoquée par la consommation de tabac.

Si le patient constate que son implant n’est pas parfaitement immobile, il doit consulter d’urgence son dentiste pour que celui-ci évalue la situation et pour qu’il propose des soins appropriés.   

Par ailleurs, si le cas du patient est complexe, le dentiste peut lui suggérer de consulter un praticien spécialisé dans l’implantologie pour accroître les chances de succès de l’intervention.

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Le dentiste spécialisé dans l’implantologie maîtrise mieux les problèmes qui peuvent se poser pour la pose de l’implant. Il peut donc proposer un protocole plus personnalisé.

 

Les précautions qui permettent de réduire le risque de chute de l’implant

Il faut en premier lieu éviter de fumer, entretenir ses dents avec soin et bien choisir son dentiste.

Pour obtenir des indications qui permettront de trouver un excellent dentiste, il est judicieux de demander l’avis de son médecin traitant, de son médecin du travail ou de son pharmacien habituel.

En effet, les membres des professions médicales et paramédicales sont bien placés pour évaluer les qualités des dentistes qu’ils ont choisis.

D’autre part, ils connaissent les jugements portés par leurs clients sur les dentistes choisis par ces derniers.

Si le patient a réussi à collecter des renseignements très favorables au sujet d’un dentiste et s’il constate lors du premier rendez-vous que ce dentiste semble digne de confiance, il peut lui confier la pose si celle-ci n’est pas contre-indiquée.

Cependant, une fois que cette pose a été réalisée, il faut bien suivre les prescriptions du dentiste.

Celui-ci propose souvent un traitement à base d’antibiotiques pour éviter tout risque d’infection ainsi que l’utilisation d’une brosse à dents à poils très souples pour le brossage de la zone d’insertion de l’implant pendant quelques jours.

Ensuite, il faut se laver les dents au moins deux fois par jour et se faire faire un examen par son dentiste deux fois par an.

Si toutes ces recommandations sont suivies, le patient a toutes les chances de faire partie de l’immense majorité de personnes qui sont pleinement satisfaites de leur implant.

Un implant dentaire peut-il bouger ?

Les caractéristiques d’un implant dentaire

Un implant dentaire est une prothèse fixée sur un pilier qui est lui-même vissé sur une vis en titane qui est insérée dans l’os de la mâchoire. Dans plus de 95 % des cas, la pose d’un implant dentaire donne d’excellents résultats et le patient n’a aucun souci à se faire.

Il est posé par le dentiste sous anesthésie locale et la prothèse est mise en place après la cicatrisation de l’intervention.

 

Les avantages des implants dentaires

Même si le patient doit payer un supplément s’élevant en moyenne à 1000 € pour la pose de la vis et du pilier sur lequel la couronne sera fixée et s’il doit souvent attendre plusieurs semaines pour la mise en place de la prothèse définitive, il bénéficie de beaucoup d’avantages.

En premier lieu, un implant lui évite la résorption osseuse qui pourrait résulter de l’absence d’une dent.

D’autre part, une prothèse dentaire fixée sur un implant est totalement indépendante des dents voisines et le dentiste n’a pas besoin de tailler celles-ci contrairement à ce qui se passe s’il faut mettre un bridge.

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De plus, un implant ne provoque aucune douleur et aucune gêne, car il est totalement biocompatible. Enfin, il peut durer toute une vie.

 

Les risques de la pose d’un implant dentaire

Les risques d’infection sont très faibles dans la mesure où le dentiste est particulièrement attentif au respect des règles d’asepsie. Le dentiste est tenu d’utiliser des instruments à usage unique quand cela est possible ou de stériliser chaque instrument après chaque intervention.

S’il ne s’acquitte pas de cette obligation, il faut s’en séparer immédiatement. En outre, il prescrit des antibiotiques que le patient doit prendre après l’intervention.    

D’autre part, il n’est pas possible d’exclure totalement le risque résultant d’une mauvaise intégration de l’implant dans l’os.

Ceci peut résulter de l’une des causes suivantes :

1/ Un échauffement excessif de l’os entraînant une coagulation des cellules lorsque le dentiste creuse l’os pour pouvoir insérer la vis ;

2/ Une insuffisance de la densité, de l’épaisseur ou de la hauteur de l’os ;

3/ Une erreur de positionnement de l’implant, une erreur d’occlusion ou une surcharge de la prothèse ;

4/ Une cicatrisation défectueuse. Ceci peut résulter notamment de la consommation de tabac. Le tabac peut provoquer une baisse de 50 % des champs de succès de la pose d’un implant, car il provoque des pathologies de la muqueuse buccale et il accroît les risques d’une inflammation de la gencive.

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Ces phénomènes sont rares et ils se produisent le plus souvent dans l’année qui suit la pose de l’implant.

Dans ces cas, l’implant peut bouger, mais ceci n’entraîne pas de complications.

Le patient doit simplement prendre un nouveau rendez-vous avec le dentiste qui proposera la solution la plus appropriée.

Mais si le patient est fumeur, il doit arrêter la consommation de tabac. S’il a beaucoup fumé, il peut bénéficier d’une aide efficace en consultant un médecin spécialisé dans le sevrage tabagique. 

Le traitement est généralement simple si la masse osseuse est suffisante. Cependant, le patient doit se brosser les dents au mois deux fois par jour avec soin pour réduire la formation de la plaque dentaire.

En outre, pendant les quelques jours qui suivent la mise en place de l’implant, il est recommandé d’utiliser une brosse à dents spéciale dont les poils sont particulièrement souples pour brosser la zone où l’implant a été placé.

Les autres dents peuvent être brossées avec la brosse habituellement utilisée par le patient.

D’autre part, un examen semestriel des dents par le dentiste est recommandé. Par ailleurs, il est capital de bien choisir son dentiste pour réduire les risques au maximum.

Implant Dentaire : Comment est-ce remboursé?

Le principe de l’absence de prise en charge des implants par l’assurance-maladie

La pose d’un implant dentaire n’étant pas inscrite sur la nomenclature des actes médicaux remboursés par la sécurité sociale, sa prise en charge est en principe refusée par le régime obligatoire d’assurance maladie.

 

Les cas où l’assurance-maladie accorde la prise en charge d’un implant

La sécurité sociale accepte de rembourser la mise en place d’un implant dentaire si certaines dents du patient n’ont pas poussé à cause d’une anomalie génétique ou si le patient doit suivre un traitement ayant entraîné le déchaussement de ses dents.

Le défaut d’apparition d’une ou de plusieurs dents pendant la croissance est appelé anégésie.

Il s’agit d’une anomalie rare, mais très gênante pour les patients qui sont confrontés à un grave problème esthétique lorsqu’il leur manque des incisives ou des canines et aux risques qui résultent de l’absence de dents.

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Toutefois, pour un enfant ou un adolescent qui n’a pas encore fini de grandir, la mise en place d’un ou de plusieurs implants est contre-indiquée et le dentiste doit proposer d’autres solutions.

Après la croissance, des poses d’implants sont en principe possibles et elles sont prises en charge après l’accord de la caisse d’assurance-maladie.

Le patient qui se trouve dans l’une des situations indiquées ci-dessus doit par conséquent prendre rendez-vous avec son dentiste pour que celui-ci constate les problèmes de sa dentition.

Il a intérêt à lui communiquer les documents attestant la cause de la perte de ses dents si celle-ci est consécutive aux effets secondaires d’un traitement médical.

Le dentiste se charge de compléter un imprimé et de l’adresser au service médical de la caisse d’assurance-maladie en joignant une radio panoramique dentaire ainsi qu’une radiographie du poignet de patient qui permet d’établir l’âge de celui-ci.

Le cas échéant, des documents médicaux attestant qu’un traitement a causé le déchaussement des dents du patient sont joints au dossier.

Le patient reçoit ultérieurement un courrier lui indiquant l’accord ou le refus de la prise en charge des implants.

 

Les solutions possibles pour les personnes n’ayant pas droit à une prise en charge de leurs implants dentaires

En France, ces personnes ne peuvent bénéficier d’un remboursement de leur pose d’implants que si elles ont une mutuelle accordant cette prestation.

Il en résulte que toute personne raisonnable doit anticiper ses futurs problèmes dentaires en choisissant une mutuelle offrant un bon niveau de remboursement des implants et des prothèses dentaires.

Pour faire un choix judicieux, il faut tenir compte du fait qu’en France, il faut dépenser une somme comprise entre 2000 et 2500 € pour la mise en place de la vis en titane, du pilier et de la prothèse.

Le consommateur doit aussi tenir compte des risques d’accident pouvant résulter de la pratique de son sport favori ou de ses loisirs.

Il peut obtenir les coordonnées d’une mutuelle offrant une couverture spécifique en contactant sa fédération sportive s’il est passionné par le rugby.

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Par ailleurs, il est possible de faire des économies en recherchant une mutuelle offrant un bon niveau de remboursement pour des poses d’implants réalisés dans un pays dans lequel les dentistes pratiquent des tarifs sensiblement inférieurs à ceux d’un dentiste français.

En effet, le patient qui réussit à entrer en contact avec un excellent dentiste exerçant son activité en Hongrie, en Roumanie ou en Tunisie peut se faire placer un implant pour un prix égal au tiers ou à la moitié de ce qu’il aurait dû payer en France.

D’autre part, la qualité de la pose peut être égale à celle d’une intervention de même nature pratiquée en France si le dentiste est choisi judicieusement.

Compte tenu de la différence entre les prix à payer en France et ceux qui sont demandés en Hongrie, en Tunisie ou en Roumanie, une mutuelle qui accorde un remboursement des poses d’implants effectuées dans ces pays peut demander des cotisations plus basses ou accorder des garanties plus élevées.

Implant Dentaire et Greffe Osseuse : Combien ça coûte? Est-ce douloureux ?

Les conditions que doit remplir la structure osseuse pour la réussite de la pose de l’implant

L’implant comportant une vis en titane que le dentiste doit insérer dans l’os de la mâchoire. Le diamètre de cette vis est au moins égal à 2 mm et sa longueur doit être d’au moins 6 mm pour qu’il soit suffisamment résistant pour pouvoir supporter une prothèse dentaire. Mais le dentiste peut devoir insérer une vis ayant un diamètre de 3,5 millimètres et une longueur atteignant au moins 8 mm.

Il faut par conséquent que l’os ait une longueur au moins égale à celle de la vis et que sa largeur soit suffisante. Si ce n’est pas le cas, la vis ne pourra pas s’insérer correctement.

Il est de même s’il manque du tissu osseux sur l’une des faces de la mâchoire.

L’état et la consistance de l’os de la mâchoire sont évalués grâce à un scanner et à une radio panoramique en trois dimensions.

 

La greffe de l’os

Si la hauteur et l’épaisseur de l’os de la mâchoire du patient sont trop faibles, le dentiste peut proposer la réalisation d’une greffe pour remédier à ces insuffisances.

L’intervention consiste en premier lieu à prélever un fragment d’os à un autre endroit du corps du patient.

Si la quantité de matière osseuse à prélever est faible, le dentiste peut faire le prélèvement au niveau du menton ou de la branche de la mandibule qui se trouve derrière la dernière molaire du bas.

Mais s’il faut prélever un fragment de tissu osseux plus important, le prélèvement est réalisé dans une clinique au niveau du tibia ou de l’os de la hanche.

Dans ce cas, la procédure commence toujours par la consultation d’un médecin anesthésiste et par un bilan de santé complet, car le protocole de l’anesthésie inclut l’administration de médicaments par voie intraveineuse.

L’autogreffe procure à chaque patient des avantages importants, car étant donné que l’os est une matière vivante, la cicatrisation est plus rapide et la résistance aux infections est meilleure.

De plus, l’intégration se réalise le plus souvent d’une manière totale et définitive.

Conformément à l’obligation imposée par le Code de la santé publique, l’équipe médicale doit prescrire des remèdes destinés à prévenir les douleurs postopératoires.

Le prélèvement est lui-même réalisé dans une salle d’opération. En outre, un traitement destiné à accélérer la cicatrisation de la muqueuse et de l’os est proposé au patient.

Toutefois, si l’intervention est réalisée au niveau de l’eau de la hanche, elle laisse une petite cicatrice et le patient risque d’être gêné pour la marche et pour certaines activités pendant une quinzaine de jours.

Il faut par conséquent programmer un arrêt de l’activité professionnelle.    

Ensuite, le greffon prélevé est placé à l’endroit où la vis en titane devra être insérée.  Parfois, le dentiste peut compléter le greffon avec un biomatériau.

La muqueuse cicatrise au bout d’un délai compris entre 8 et 15 jours.

Pendant ce délai, le patient constate souvent une réduction de la capacité d’ouverture de sa mâchoire ainsi que la présence d’un œdème sur son visage.

Il doit par ailleurs réaliser les bains de bouche prescrits par le dentiste et brosser ses dents ainsi que ses gencives avec une brosse extrêmement souple. Il doit également se contenter d’une alimentation molle et tiède ou fraîche. 

Par ailleurs, la greffe réalisée peut être une greffe de comblement pratiquée au niveau des sinus maxillaires.

Le dentiste choisit de faire cette greffe s’il faut insérer un implant ayant une longueur comprise entre 10 et 12 millimètres.

Une greffe d’apposition est pratiquée au niveau de la mandibule ou du maxillaire s’il faut faire en sorte que l’os puisse recevoir un implant ayant un diamètre important.    

Il faut parfois attendre au moins quatre mois pour que le greffon osseux soit bien fixé au niveau de la mâchoire pour que la vie en titane puisse être insérée dans des conditions satisfaisantes.

C’est le cas si l’insuffisance de la masse osseuse a nécessité la greffe d’un fragment d’os relativement volumineux.

 

L’arrêt de la consommation de tabac

Un patient fumeur doit impérativement éviter de fumer avant l’intervention et après celle-ci.

Implant dentaire à l’étranger: Est-ce douloureux ? Combien ça coûte ?

Les protocoles visant à éviter toute douleur pendant la pose de l’implant

Tout dentiste sérieux réalise au moins une anesthésie locale avant de commencer les soins de pose de l’implant. Le médicament est choisi en tenant compte des antécédents médicaux du patient et de ses éventuelles allergies. Il en résulte que l’intervention est totalement indolore.

L’injection elle-même n’est pas douloureuse, car elle est toujours faite avec une aiguille à usage unique et le dentiste la réalise lentement.

Cependant, le patient ressent fréquemment une impression d’engourdissement au niveau de la mâchoire qui a été soignée.

En outre, il est fatigué après l’intervention et il doit s’abstenir de conduire sa voiture, car ses réflexes risquent d’être ralentis.

Il est donc recommandé de se rendre au cabinet et de rentrer chez soi en empruntant les transports en commun.

Si l’intervention programmée est plus lourde (et notamment s’il est envisagé de poser plusieurs implants au cours d’une même séance), un protocole d’anesthésie différent peut être proposé.

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Il est notamment possible de compléter les anesthésies locales par une sédation par voie intraveineuse. Mais, dans ce cas l’intervention doit se dérouler dans un hôpital ou dans une clinique.

En outre, le patient doit consulter préalablement un médecin anesthésiste et bénéficier d’un bilan médical complet avant l’intervention.

Après l’intervention, il doit se reposer et se faire accompagner chez lui par une autre personne. Toutefois, ce protocole est toujours personnalisé et il  garantit un confort total.

 

Les suites de l’intervention

Afin que le patient puisse continuer à se restaurer en attendant la pose de la prothèse définitive, le dentiste met toujours en place une prothèse provisoire.

Cette prothèse est confectionnée au cabinet et le dentiste fait toujours en sorte qu’elle ne provoque ni gêne ni douleur.

En outre, le dentiste prescrit toujours des médicaments antalgiques et des antibiotiques pour éviter tout risque d’infection.

Il en résulte que si la prescription est appropriée et si elle est bien suivie par le patient, les douleurs sont faibles.

D’autre part, des saignements modérés peuvent se produire pendant les jours qui suivent l’intervention. Ce phénomène est normal et il ne doit pas inquiéter le patient.

Il suffit à celui-ci de demander à son dentiste quels sont les soins qu’il conviendrait de réaliser dans ce cas.

Il peut aussi constater l’apparition d’une légère enflure au niveau de lieu où l’intervention a été faite. Dans ce cas, le dentiste suggère d’appliquer une poche de glace.

Des ecchymoses peuvent apparaître le plus souvent trois jours après l’intervention.

Le soin qui doit être réalisé pour les atténuer est très simple, car il consiste à appliquer une compresse chaude pour activer la circulation du sang.

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Il est toutefois conseillé d’attendre la disparition de ces ecchymoses pour pratiquer un effort physique ou toute autre activité accroissant la pression sanguine. 

Il faut bien entendu suivre toutes les recommandations du dentiste. Si celui-ci a prescrit des bains de bouche, il faut les faire régulièrement après avoir éventuellement dilué le produit dans de l’eau pour éviter toute sensation de brûlure.

De plus, pour réduire le plus possible les risques de douleur, les pressions au niveau de l’endroit opéré doivent être limitées.

 

L’arrêt du tabac

Si le patient est fumeur, il doit savoir que l’arrêt du tabac est indispensable notamment pour que la cicatrisation se déroule bien et pour que la vis en titane s’intègre bien dans l’os de sa mâchoire.

La poursuite de la consommation de tabac peut entraîner des pathologies douloureuses et réduire sensiblement les chances de succès de l’intervention.

Implant dentaire et douleur: Est-ce douloureux ? Comment éviter les douleurs?

La prévention de la douleur pendant le déroulement des soins

Si l’intervention est limitée à la pose d’un implant unique, elle est réalisée au cabinet dentaire après une anesthésie locale. Le produit administré est choisi en fonction des spécificités de l’intervention et des éventuelles contre-indications.

Grâce à la qualité du matériel utilisé, à l’habileté du dentiste et à l’efficacité du produit, l’injection et la mise en place de l’implant sont tout à fait indolores.

Si l’intervention est plus lourde et si le patient souhaite bénéficier d’une sédation qui complète le confort procuré par les anesthésies locales, la pose d’implants se déroule dans le service de chirurgie dentaire ou de stomatologie d’une clinique ou d’un hôpital.

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Le patient doit consulter le médecin anesthésiste quelques jours avant l’intervention.

Des examens complémentaires peuvent être prescrits pour accroître la sécurité du patient ou pour mieux personnaliser les soins.

Enfin, si une greffe osseuse est nécessaire pour la pose de l’implant et si le  greffon doit être prélevé par exemple sur l’os de la hanche, une anesthésie générale est nécessaire.

L’intervention est précédée d’une consultation anesthésique comme c’est le cas pour une sédation intraveineuse.

Le patient doit toujours être à jeun pour l’intervention. Il doit par ailleurs choisir une clinique ayant une salle de réveil.

Il est par ailleurs judicieux de choisir une clinique proposant une intervention en ambulatoire, car ceci permet au patient de retourner chez lui le jour de l’intervention s’il peut être raccompagné.

 

La prévention des douleurs postopératoires

Si l’intervention est réalisée au cabinet du dentiste, celui-ci prescrit toujours un remède antalgique pour éviter au patient de souffrir lorsque le produit anesthésique ne fait plus d’effet.

D’autre part, le patient est invité à prendre des antibiotiques pour éviter une infection qui risque d’être douloureuse.

Le plus souvent, les suites opératoires sont bénignes et le dentiste indique toujours les soins que le patient peut réaliser pour traiter ces suites.

Le patient peut par exemple être confronté à des saignements modérés ou à un gonflement au niveau de l’endroit où la vis en titane a été insérée et parfois à des ecchymoses.

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Un gonflement peut être traité en appliquant une poche de glace. En ce qui concerne les ecchymoses, le patient peut les traiter en appliquant une compresse chaude qui aide le sang à mieux circuler.

Le dentiste peut par ailleurs conseiller d’éviter les activités physiques trop intenses pendant les jours qui suivent l’intervention.

Si le dentiste prescrit des bains de bouche, il peut conseiller de diluer le produit dans de l’eau pour éviter les éventuelles sensations de brûlure.

Enfin, il recommande toujours au patient d’éviter d’appuyer fortement sur l’endroit où l’intervention a été effectuée.

 

Le cas d’une greffe réalisée avec un fragment prélevé sur un os non situé dans la cavité buccale

Une greffe osseuse peut être nécessaire si l’os de la mâchoire n’a pas suffisamment de longueur ou de largeur pour permettre une bonne insertion de la vis en titane.

Dans ce cas, le dentiste peut proposer une greffe osseuse qui doit se dérouler dans un bloc opératoire si le greffon doit être prélevé par exemple sur l’os de la hanche ou sur le tibia du patient.

Si cette intervention a lieu, le patient doit savoir que le code de la santé publique oblige l’équipe médicale à prévenir et à traiter les douleurs, quelle que soit leur origine.

En conséquence, le médecin anesthésiste prescrit des médicaments qui sont administrés dès le réveil et que le patient continue à prendre une fois qu’il est rentré chez lui.

Implant dentaire en Tunisie: Quel prix? Les meilleures cliniques dentaires?

Les avantages d’un implant dentaire et le coût de sa mise en place en France

Si un patient doit se faire couronner une dent et si la pose d’un implant est possible dans son cas, il peut profiter en premier lieu du fait que les dents voisines de la dent à soigner seront conservées, alors qu’il aurait fallu les tailler pour poser un bridge.

Mais ce type d’intervention est très onéreux en France, car il faut prévoir un prix total au moins égal à 2000 € pour chaque dent remplacée par une prothèse en céramique fixée sur un implant.

Il en résulte que la dépense peut être très lourde si plusieurs prothèses doivent être faites.

De plus, si le patient ne bénéficie pas de la couverture maladie universelle complémentaire, sa caisse d’assurance-maladie ne lui rembourse qu’un montant à peine supérieur à 70 € pour la couronne.

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Elle ne verse en principe aucun remboursement pour la pose de l’implant, car ce type d’intervention n’est pas prévu dans la nomenclature des actes pris en charge.

 

Les soins dentaires en Tunisie

Depuis plus de 20 ans, la Tunisie est une référence pour la chirurgie esthétique et pour le tourisme médical. Elle est également appréciée pour la qualité des soins réalisés par ses meilleurs dentistes.

 

Les démarches que le patient doit effectuer

Avant d’entrer en contact avec un dentiste tunisien, il faut toujours commencer par consulter son dentiste français pour que celui-ci effectue un bilan complet de l’état des mâchoires.

D’autre part, il peut donner des indications précieuses au sujet de l’intérêt d’une pose d’implant.

En effet, cette solution permet notamment d’éviter la mutilation des dents voisines de celle qui doit être couronnée.

Mais elle n’est pas possible notamment si le patient a le sida, s’il a souffert récemment d’un infarctus du myocarde ou de certaines autres maladies cardiaques ou s’il est atteint de certaines maladies des os.

En effet, l’os de la mâchoire concernée doit être suffisamment solide et consistant pour que la vis en titane puisse bien s’insérer.

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D’autre part, il faut soigner toute pathologie qui contre-indiquerait temporairement la mise en place de l’implant.

C’est notamment le cas de certaines pathologies buccales ou de certaines affections provoquées par le tabac.

En effet, ces maladies peuvent nuire à la cicatrisation de l’intervention et réduire nettement les chances de réussite.

 

La recherche du dentiste en Tunisie

Une démarche judicieuse consiste à contacter une société qui met en relation des patients intéressés par le tourisme dentaire et des dentistes tunisiens.

En effet, si une telle société est soucieuse de sa réputation, elle commence par procéder à une sélection rigoureuse des dentistes qui seront mis en contact avec ses clients.

Il faut adresser à cette société le compte rendu de l’examen réalisé par le dentiste français ainsi qu’une radio panoramique dentaire.

Un patient qui a été soigné pour des maladies sérieuses ou qui doit soigner une maladie chronique doit également donner toutes les indications concernant ses maladies et ses traitements.

Il doit aussi signaler ses éventuelles allergies et passer un scanner si on le lui demande.

Le prix total de l’intervention du dentiste tunisien pour la pose de l’implant et de la couronne varie entre 600 et 900 €.

En conséquence, si la société peut mettre le  patient en contact avec un excellent dentiste tunisien, le patient peut réaliser une bonne affaire, surtout s’il doit se faire poser plusieurs implants.

Si le patient n’arrive pas à entrer en contact avec un dentiste tunisien en passant par une société spécialisée dans le tourisme dentaire, il doit rechercher le dentiste lui-même.

Dans ce cas, il doit faire preuve de beaucoup de prudence et commencer par éliminer toute personne qui se prétend dentiste et qui n’est pas inscrite à l’ordre professionnel des dentistes tunisiens ou qui fait de la publicité mensongère sur son site Internet.

Il est possible de se renseigner au sujet de la réputation des centres dentaires situés à Tunis en contactant les pharmacies et éventuellement les cabinets médicaux qui se trouvent dans leur voisinage.

Cette démarche peut permettre notamment d’éliminer les dentistes qui ont fait des soins ayant entraîné des complications qui ont nécessité des achats de médicaments dans les pharmacies.

Par ailleurs, les pharmaciens connaissent les jugements portés par les patients au sujet de leur dentiste.

 

Les contraintes du traitement

Toutefois, l’intervention complète ne peut pas être réalisée en une seule séance, car il faut attendre plusieurs semaines pour laisser à la mâchoire le temps de se cicatriser.

En conséquence, le dentiste doit placer une prothèse provisoire dans la mâchoire du patient après avoir inséré la vis en titane et le patient doit retourner ultérieurement en Tunisie pour la mise en place de la prothèse définitive.   

Implants Dentaires en Roumanie : Avantages et inconvénients ? quel prix ? quelles démarches ?

Les raisons pour lesquelles des personnes se rendent en Roumanie pour des implants ou des prothèses dentaires

En France, la pose d’un implant est une intervention coûteuse, car il faut dépenser en moyenne 1000 € pour l’insertion de la vis en titane dans l’os de la mâchoire et une somme à peu près égale pour la confection d’une jolie couronne en céramique.

Il en résulte que de nombreux patients français qui n’ont pas la chance d’avoir une mutuelle offrant un bon remboursement des implants dentaires réalisés en France n’hésitent pas à se rendre en Roumanie pour se faire faire cette intervention. 

 

La prise en charge des prothèses et des implants par l’assurance-maladie en France

Si le patient ne bénéficie pas de la couverture maladie universelle complémentaire, la sécurité sociale ne rembourse qu’un montant très faible pour une prothèse ou pour un bridge.

D’autre part, elle ne prend pas en charge le remboursement des implants sauf si le patient souffre d’une absence de dents due à une cause génétique ou résultant d’une chimiothérapie nécessitée par un cancer.   

Il en résulte qu’en principe, un patient qui doit se faire faire une couronne et qui souhaite qu’elle soit fixée sur un implant doit faire face à une dépense pouvant atteindre 2000 €.

La somme remboursée par la mutuelle doit être déduite de ce montant, mais le patient risque souvent de devoir dépenser un montant élevé compte tenu de ses ressources.

 

Le prix d’un implant dentaire réalisé en Roumanie

En comparant avec soin  les devis établis par les dentistes présélectionnés, le patient peut se faire faire une couronne céramo-métallique fixée sur un implant pour un montant total compris entre 700 et 1000 €.

Il en résulte que la dépense est nettement inférieure à ce qu’il faudrait payer en France pour un travail de qualité égale.

Ceci s’explique notamment par le fait que les dentistes qui travaillent en Roumanie ont des dépenses d’exploitation nettement plus basses que ceux qui travaillent en France.

 

Les avantages d’une intervention réalisée en Roumanie

L’intérêt financier d’une intervention réalisée en Roumanie est incontestable.

Toutefois, il faut tenir compte du prix du voyage aller-retour entre la France et Bucarest et des frais à payer à l’hôtel pendant le séjour.

Mais ces frais peuvent être rentabilisés facilement si le patient doit se faire faire plusieurs implants.

Toutefois compte tenu du fait qu’il faut attendre que la vis en titane soit bien intégrée dans l’os de la mâchoire  et que la cicatrisation soit terminée, le patient doit se contenter d’une prothèse provisoire et retourner en Roumanie plusieurs semaines après la première séance pour se faire placer la prothèse définitive.

Par ailleurs, il peut être astucieux de rechercher une mutuelle offrant une prise en charge des implants et prothèses réalisées en Roumanie.

Si une mutuelle offre ce type de garantie, ceci peut permettre au patient de n’avoir aucune somme à sa charge. 

 

Les démarches qu’il faut effectuer avant de partir pour la Roumanie

Le patient doit tenir compte du fait que la pose d’un implant est une intervention délicate qui exige un haut niveau de savoir-faire.

D’autre part, elle peut être contre-indiquée notamment s’il est atteint du SIDA s’il a été soigné récemment pour un infarctus, si les os de ses mâchoires ne sont pas suffisamment solides et denses ou s’il a une pathologie des valves cardiaques.

Une forte consommation de tabac pose également des problèmes, car elle provoque des pathologies buccales qui peuvent gêner la cicatrisation.

En conséquence, le patient a intérêt à consulter un dentiste français pour évaluer la pertinence d’une pose d’implant dans son cas.

Par ailleurs, les enfants dont la croissance n’est pas achevée ne peuvent pas se faire poser un implant. En conséquence, il est inutile de les conduire en Roumanie pour ce type d’intervention.

Si un patient adulte a de bonnes raisons qu’une pose d’implant lui conviendra, il doit commencer par demander à sa mutuelle dans quelle mesure elle peut prendre en charge une intervention réalisée en Roumanie.

 

Comment réussir le choix du dentiste roumain?

Il est possible de contacter l’ordre professionnel des dentistes roumains pour avoir les coordonnées de ceux qui parlent couramment français et qui ont une qualification en implantologie équivalente à celle des spécialistes français.

Cet organisme peut également dire si les déclarations mentionnées sur les sites Internet des cabinets dentaires de Bucarest sont sincères.

Bien entendu, il faut éviter soigneusement les dentistes qui mentent au sujet de leurs compétences.

Après avoir fait une sélection préalable, il convient d’adresser une demande de devis à chacun des dentistes retenus.

Il y a lieu de joindre à chaque demande de devis des documents relatifs à l’examen dentaire effectué par le dentiste français et aux éventuels antécédents médicaux.

Pour prendre la décision finale, il est possible de se renseigner auprès des cabinets médicaux ou des pharmacies proches du cabinet dentaire que l’on envisage de choisir en se faisant aider par une personne qui parle bien la langue roumaine.

Implant dentaire en Hongrie : Pourquoi choisir ou pas cette option?

Le prix de la réalisation d’une couronne sur implant en France et sa prise en charge par l’assurance-maladie

Pour faire confectionner une jolie couronne en céramique et pour la poser sur un implant préalablement inséré dans l’os de la mâchoire, un dentiste qui travaille en France demande un prix généralement compris entre 2 000 et 2 500 €.

Or, pour les patients qui n’ont pas droit à la couverture maladie universelle complémentaire, la sécurité sociale ne rembourse qu’une somme inférieure à 100 €.

Par ailleurs, elle ne rembourse pas les poses d’implants sauf si elles sont nécessitées par une perte de dents provoquée par une chimiothérapie prescrite en raison d’un cancer.

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En conséquence, un patient qui n’a pas la chance de bénéficier d’une mutuelle offrant un haut niveau de prise en charge d’une pose d’implant est incité à prendre connaissance des sommes demandées par les dentistes étrangers pour ce type de soins.

Or, il est possible de trouver en Hongrie un dentiste capable d’offrir des soins ayant la même qualité qu’en France.

 

Les prix moyens des couronnes montées sur des implants en Hongrie

En Hongrie, la mise en place de l’implant et du pilier coûte entre 500 et 600 €. Il faut ajouter un peu plus de 200 € pour une couronne céramo-métallique ou 350 € pour une couronne en zircone.

S’il faut réaliser une greffe osseuse, le coût supplémentaire s’élève au moins à 400 €. Mais si ce n’est pas le cas, la dépense peut ne pas dépasser 1000 € pour une prothèse montée sur un implant.

Il en résulte que le patient qui se fait faire son implant et sa couronne en Hongrie peut faire une bonne affaire s’il réussit à trouver un excellent dentiste.

 

Les démarches préalables

Le patient a intérêt à commencer par consulter son dentiste français pour s’assurer de l’intérêt de la pose d’un implant dans son cas.

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En effet, un implant permet notamment d’éviter de tailler des dents saines et il peut procurer un meilleur aspect à la prothèse.

Mais la procédure plus longue que pour un bridge et certaines pathologies peuvent contre-indiquer ce type d’intervention.

C’est notamment le cas en ce qui concerne certaines maladies cardiaques, certaines pathologies des os ou le SIDA. Toutefois, si la pose d’un implant n’est pas possible, un bon dentiste hongrois peut aussi réaliser un beau bridge.

 

La recherche du dentiste hongrois

Après avoir recherché la solution la plus appropriée, il est possible de contacter une société spécialisée dans l’aide aux personnes qui cherchent à faire du tourisme médical ou dentaire en vue de profiter de conditions avantageuses.

Pour vérifier la fiabilité de cette société, il est possible de se renseigner auprès des autorités sanitaires ou des ordres professionnels des dentistes français et hongrois.

S’il a réussi à trouver une société digne de confiance, le patient a intérêt à lui transmettre les résultats de l’examen effectué par le dentiste français et une radio panoramique ainsi que des indications relatives à son passé médical et aux maladies pour lesquelles il doit se soigner.

Ces informations sont nécessaires pour l’élaboration des devis et du protocole de traitement.

Ensuite, la société se charge de contacter les dentistes hongrois et de demander à chacun d’eux de soumettre un devis détaillé.

Chaque dentiste contacté est invité à donner des indications très précises sur le coût de chacun des soins ainsi que sur les matériaux et les techniques qu’il envisage d’utiliser.

Ceci permet au patient de s’assurer de la qualité des soins dont il va bénéficier. Le patient peut par ailleurs compléter sa recherche en consultant le site Internet du dentiste qui est indiqué par la société et contrôler la publicité figurant sur ce site en se renseignant auprès de l’ordre professionnel des dentistes hongrois.

Il convient par ailleurs de demander à la société de transmettre le dossier à des dentistes hongrois parlants couramment français.



Le déroulement de la pose d’un implant par un dentiste hongrois

Si le dentiste hongrois applique le même protocole qu’un dentiste français, son intervention commence par une anesthésie de l’ensemble de la zone où l’implant va être posé.

Ensuite, il creuse un peu l’os de la gencive pour pouvoir insérer la vis en titane et propose au patient la mise en place d’une prothèse provisoire.

Cette prothèse provisoire est conservée pendant le délai nécessaire pour la cicatrisation de l’intervention.

Cette période dure plusieurs semaines pendant lesquelles le patient peut mastiquer des aliments dans la mesure où ceux-ci ne sont pas trop durs.

À l’expiration du délai, le patient retourne voir le dentiste hongrois pour que celui-ci lui mette la prothèse définitive. Il faut donc prévoir au moins deux séjours en Hongrie pour une intervention complète.    

Implant dentaire et CMU : Quelle prise en charge ? Comment ça fonctionne?

La prise en charge des implants par la sécurité sociale

La pose d’un implant dentaire ne fait pas partie des actes qui figurent sur la nomenclature de la sécurité sociale. Il en résulte qu’en principe, même si le patient a droit à la couverture maladie universelle complémentaire, il ne peut pas bénéficier de la prise en charge d’un implant.

La sécurité sociale ne prend en charge ce type d’intervention que s’il faut remédier à l’absence d’une ou de plusieurs dents et si cette absence résulte d’une anégésie dentaire causée par des problèmes génétiques ou si le patient subit une chimiothérapie entraînant un déchaussement de ses dents.

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Par ailleurs, un enfant dont la croissance n’est pas terminée ne peut pas bénéficier de la pose d’un implant.

Mais le dentiste peut proposer la pose d’un bridge ou une autre solution.

En ce qui concerne un adulte ayant perdu ses dents à cause d’une chimiothérapie, la mise en place d’un implant est possible si elle n’est pas contre-indiquée.

 

La procédure d’octroi de la prise en charge d’un implant

Si un adulte est victime de l’un des problèmes indiqués ci-dessus, il doit commencer par consulter son dentiste pour que celui-ci prépare une demande de prise en charge de l’implant par la sécurité sociale.

Cette demande doit contenir au moins les résultats de l’examen qu’il a effectué ainsi qu’une radio du poignet permettant d’établir l’âge du patient et une radio panoramique dentaire.

Il est judicieux de joindre des documents attestant l’origine de l’absence des dents pour démontrer que le patient est en droit d’exiger la prise en charge de l’intervention dont il a besoin.

Ainsi, il a intérêt à remettre à son dentiste les documents attestant qu’il suit un traitement de chimiothérapie si ce traitement est la cause du déchaussement de ses dents.

La demande est adressée au médecin-conseil de la caisse d’assurance-maladie. Le médecin-conseil émet un avis concernant la suite à donner à la demande.

Ensuite, la caisse d’assurance-maladie envoie un courrier au patient pour lui notifier l’accord ou le refus de prise en charge.

En cas de refus, un recours auprès de la commission amiable de la caisse d’assurance-maladie ou de l’autorité judiciaire est possible.

 

Les solutions prévues pour un bénéficiaire de la CMUC ne pouvant bénéficier du remboursement d’une pose d’implants

Un arrêté ministériel prévoit pour cette catégorie de patients la possibilité d’une prise en charge intégrale de la confection d’une couronne dentaire ou d’un bridge.

Si la prothèse doit être placée sur des dents visibles lorsque le patient sourit, la couverture maladie universelle complémentaire ouvre droit à la prise en charge d’une prothèse céramo-métallique.

Si elle doit être posée sur des molaires, l’assurance-maladie prend en charge la confection d’une couronne ou d’un bridge en métal.

Le patient doit choisir un dentiste qui applique un tarif conforme au barème fixé par l’arrêté.

Il peut demander au centre de santé de sa commune si un dentiste travaillant dans ce centre pourra réaliser cette prothèse en se conformant à cette condition.

Si ce n’est pas le cas, il doit se renseigner auprès de sa caisse d’assurance-maladie.     

Par ailleurs, s’il a été victime d’une agression ayant causé des traumatismes dentaires, il doit porter plainte et contacter une association d’aide aux victimes d’actes de violence pour savoir comment il peut bénéficier d’un dédommagement versé par la commission d’indemnisation des victimes d’infractions.

 

Implant dentaire et sécurité sociale : Quelle prise en charge ? Quel rôle pour la mutuelle ?

La prise en charge des implants par l’assurance-maladie

En principe, la sécurité sociale ne rembourse pas les poses d’implants. Toutefois, une caisse peut rembourser ce type de soins dans certains cas après avoir demandé l’avis de son médecin-conseil.. Il en est ainsi notamment en cas d’agénésie dentaire.

L’agénésie dentaire est caractérisée par le fait que des dents de lait ou des dents définitives n’ont pas poussé à cause d’une anomalie de la croissance.

Cette pathologie est appelée hypodontie s’il ne manque pas plus de six dents. Il est fréquent que la seconde prémolaire de la mâchoire du bas et qu’une incisive latérale de la mâchoire du haut soient absentes.

L’oligodontie est caractérisée par le fait qu’il manque plus de six dents et qu’il y a d’autres problèmes. Enfin, un enfant peut souffrir d’une absence totale de dents. Mais ces deux pathologies sont très rares.

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S’il s’agit d’incisives ou de canines, l’enfant souffre d’un problème esthétique évident et la croissance de ses mâchoires peut être perturbée.

Ces maladies peuvent résulter de causes génétiques ou d’une chimiothérapie administrée lors d’un cancer.

Si la croissance de l’enfant n’est pas achevée, le dentiste  propose la mise en place d’un bridge, car il faut attendre que la croissance soit achevée pour qu’un implant puisse être posé.

Chez un adulte, l’implant peut être mis en place s’il n’y a pas de contre-indication.

 

Les démarches à effectuer pour bénéficier de la prise en charge de l’implant par la sécurité sociale

Il faut d’abord demander au dentiste de compléter un document dans lequel sont indiqués les constatations et le diagnostic qu’il a effectués. Il doit indiquer également le traitement qui lui semble plus approprié.

Par ailleurs, le dossier doit aussi contenir une radio panoramique dentaire ainsi qu’une radiographie de poignet pour que la sécurité sociale puisse s’assurer de l’âge du patient.

Le dentiste adresse la demande de prise en charge au service médical de la caisse d’assurance-maladie. Celle-ci prend sa décision et la fait parvenir au patient. En cas de refus, celui-ci peut exercer un recours.

 

Les cas où la sécurité sociale ne rembourse pas les implants

Dans ces cas, le patient peut bénéficier d’une prise en charge au moins partielle de la pose d’un implant s’il a une mutuelle qui prévoit cette garantie.

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Lorsqu’une personne choisit une mutuelle, elle a donc intérêt à tenir compte du niveau de remboursement offert pour des prothèses dentaires et pour des implants.

Si le consommateur est salarié et si son employeur n’a pas choisi une mutuelle offrant un beau remboursement des prothèses dentaires, il faut choisir une mutuelle complémentaire après avoir comparé les offres de différents organismes.

Il faut effectuer cette comparaison en retenant le fait qu’un implant coûte en moyenne 1000 € et qu’il faut dépenser approximativement la même somme pour se faire faire une couronne en céramique en France.

D’autre part, le consommateur doit vérifier si les garanties sont adaptées aux besoins qui résultent de son passé dentaire et de ses loisirs favoris.

Ainsi, s’il adore faire du rugby ou du squash, il doit choisir une mutuelle garantissant une protection renforcée en cas de traumatisme dentaire résultant de la pratique de ces sports.

Il est possible de bénéficier de conditions avantageuses si l’on se fait faire des implants ou des prothèses dans un centre dentaire géré par une mutuelle.

En conséquence, si une mutuelle propose cet avantage, il faut le prendre en compte.

 

La possibilité d’une pose d’implant à l’étranger

Pour un patient n’ayant pas une mutuelle qui rembourse bien les poses d’implants réalisés en France et qui n’a pas suffisamment de ressources pour payer le montant qui est à sa charge, le recours à un dentiste travaillant en Espagne ou en Hongrie peut être judicieux.

Cependant, il faut prendre le temps de choisir un dentiste qui fera un travail excellent. Une personne qui est domiciliée près de la frontière espagnole peut traverser la frontière et demander à un médecin ou à un pharmacien travaillant en Espagne s’il peut lui indiquer un dentiste qui fera une pose d’implants tout à fait irréprochable.

Toutefois, le patient doit demander au dentiste espagnol ou hongrois de faire un devis détaillé et lui donner toutes les informations concernant ses antécédents médicaux.

En effet, le dentiste doit connaître les maladies qui peuvent contre-indiquer temporairement ou définitivement la pose d’un implant.

Si cette intervention est possible et si le patient a réussi à trouver un dentiste méritant une confiance totale, il peut économiser plusieurs centaines d’euros.

Implant dentaire : jusqu’à quel âge peut-on en faire ?

Le cas dans lequel l’âge du patient rend impossible la pose d’un implant

Un implant ne peut être posé que sur une mâchoire dont la croissance est terminée. En conséquence, un enfant qui n’a pas fini de grandir ne peut pas bénéficier de la pose d’un implant.  Ceci s’explique par le fait que l’implant est fixé sur une vis en titane que le dentiste doit insérer dans l’os de la mâchoire.

En conséquence, l’insertion de la vis dans cet os risque de ne pas être satisfaisante si la croissance de la mâchoire n’est pas achevée. 

La pose d’un implant chez un adulte

En principe, un adulte qui doit se faire confectionner une prothèse dentaire peut bénéficier de la pose d’un implant quelque soit son âge dans la mesure où aucune pathologie ne contre-indique cette intervention.

En conséquence, le dentiste ne propose pas la pose dans les cas suivants :

1/ SIDA diagnostiqué chez le patient ;

2/ Autres maladies du système immunitaire ou fragilité résultant d’un traitement immunosuppresseur

3/ Cas où la masse osseuse est trop faible : maladie de Paget ou manque de solidité des os ;

4/ Cas où le patient est soigné au moyen de biphospnonates en raison d’un cancer ou d’une ostéoporose ;

5/ Cas où il a bénéficié d’un traitement de ce type dans le passé ;

6/ Cas où il fait l’objet d’un traitement de radiothérapie concernant ses mâchoires ;

7/ Infarctus du myocarde soigné récemment ;

8/ Pathologies psychiatriques.

Dans d’autres cas, le patient peut avoir intérêt à consulter un dentiste spécialisé en implantologie. Il en est ainsi notamment s’il est diabétique, s’il a attrapé une angine de poitrine ou s’il a fait faire un test HIV dont le résultat a été positif.

Par ailleurs, la consommation de tabac peut poser un problème pour la pose d’un implant, car la cicatrisation de l’intervention peut être compromise à cause des maladies de la gencive ou de la muqueuse buccale qui sont provoquées par le tabac.

Dans ce cas, la pose d’un bridge peut être préférable. Enfin, un défaut d’occlusion entre les mâchoires du patient, un bruxisme sérieux, une sinusite sérieuse, des infections présentes dans la bouche ou un déchaussement des dents doivent être traités avant la mise en place de l’implant.

 

Le cas particulier des patients âgés

Dans la mesure où un patient âgé n’a pas de contre-indication à la pose d’un implant, cette intervention est souvent indiquée.

En effet, l’Implant lui procure un bon niveau de confort, même si des prothèses mobiles ont été choisies pour remédier à une dotation partielle ou totale.

Si c’est le cas, le dentiste peut placer sur les implants une pièce sur laquelle le patient peut fixer son dentier et apprécier la parfaite stabilité de celui-ci.

Il en résulte que l’implant procure au patient un bénéfice incontestable en facilitant leur mastication, ce qui constitue un avantage important pour leur état de santé.

Cependant, le dentiste peut être amené à recommander une vérification préalable de solidité des os du patient pour que l’implant ne pose aucun problème.

Après l’accord du patient, le dentiste creuse l’os de la gencive pour que celui-ci puisse recevoir la vis en titane.

Ensuite, il propose une prothèse provisoire, car la prothèse définitive ne peut être placée qu’une fois que la cicatrisation est achevée et que l’insertion de la vis dans l’os s’est bien déroulée.

Ces conditions se remplissent tout à fait normalement si la pose a été bien faite. Mais le patient doit attendre plusieurs semaines.

Implant dentaire ou Bridge : Comment choisir ? Quels sont les prix ?

Les spécificités des bridges et des implants

Un bridge est une prothèse qui couvre au moins trois dents. En principe, il est fixé une fois que le dentiste a taillé au moins deux dents qui serviront de piliers. Cette méthode nécessite de dévitaliser et de meuler des dents qui peuvent être saines, mais elle permet au patient de bénéficier d’un délai plus court que celui qui est nécessité par la pose d’un implant pour la mise en place de la prothèse définitive.

Un implant est fixé sur une vis en titane que le dentiste a insérée dans l’os de la mâchoire. Dans ce cas, les dents voisines sont préservées, mais l’intervention est plus lourde.

Dans tous les cas, le patient profite de la parfaite biocompatibilité du bridge ou de l’implant.

Les cas dans lesquels la pose d’un implant n’est pas possible

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La mise en place d’un implant est contre-indiquée dans les cas suivants :

1/ Maladie des valves cardiaques ;

2/ Infarctus du myocarde soigné récemment ;

3/ Insuffisances cardiaques graves ;

4/ Ostéoporose ou cancer soigné avec des biphosphonates ;

5/ Autres pathologies de l’os : ostéomalacie, maladie des “os de verre” ;

6/ Cas où le patient a bénéficié d’une radiothérapie et où les mâchoires ont reçu des doses de rayons importantes ;

7/ Pathologie immunologique (dans certains cas) ;

8/ SIDA ou cancer en cours d’évolution ;

9/ Cas où le patient a moins de 18 ans et où la croissance de ses mâchoires n’est pas achevée ;

 

D’autre part, il faut évaluer avec soin la pertinence de la pose d’un implant dans les cas suivants :

1/ Cas où le patient est séropositif ;

2/ Grossesse ;

3/ Cas où le patient est fumeur. En effet, une consommation importante de tabac est à l’origine d’inflammations de la gencive ou de maladies de la muqueuse buccale et elle peut réduire sensiblement les champs de succès de l’intervention en compromettant la cicatrisation.

4/ Cas où le patient bénéficie d’une radiothérapie pour un cancer cervico-facial ;

5/ Diabète ;

6/ Maladie auto-immune ;

7/ Angine de poitrine ;

8/ Maladies psychiatriques (dans certains cas) :

9/ Insuffisance de la quantité d’os ;

Si le patient a l’un de ces problèmes, il a intérêt à consulter un dentiste spécialisé en implantologie. 

En outre, le dentiste peut devoir commencer par traiter certaines maladies de la bouche des dents : déchaussement dentaire,  bruxisme des dents ou problèmes d’occlusion infection ayant atteint les dents voisines.

 

La possibilité de choisir entre un implant et un bridge

Si le patient n’a aucune des contre-indications indiquées ci-dessus, le dentiste lui explique les avantages et les inconvénients respectifs de l’implant ou du bridge et il peut choisir la solution que lui semble plus la plus appropriée.

S’il doit faire restaurer deux dents voisines l’une de l’autre et si le dentiste peut tailler au moins deux dents pour qu’un puisse être fixé, la pose du bridge peut être nettement plus économique, car le dentiste doit demander un supplément de 1000 € pour la pose d’un implant.

De plus, il faut attendre la cicatrisation totale du lieu d’insertion de la vis pour la mise en place de la prothèse définitive.

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Le patient doit donc conserver une prothèse provisoire pendant plusieurs semaines, ce qui l’oblige à ne mastiquer que des aliments dure en raison de la fragilité de la prothèse provisoire.

Toutefois, un implant peut durer plus longtemps qu’un bridge, ce qui peut constituer un avantage important.

Mais si le patient n’a pas des ressources très élevées, il doit aussi tenir compte de la prise en charge qui sera accordée par sa mutuelle pour prendre sa décision.

 

L’importance du choix d’un bon dentiste

Quelle que soit l’option choisie, le respect des bonnes pratiques et des règles d’hygiène ainsi que l’habileté du dentiste ont une influence capitale sur le résultat de l’intervention.

En conséquence, si le patient n’a pas encore de dentiste, il a intérêt à demander à son médecin traitant habituel quel est le dentiste que celui-ci a choisi.

En effet, un médecin est  tout à fait qualifié pour porter une appréciation juste sur un dentiste. De plus, s’il a lui-même bénéficié de la pose d’un bridge ou d’un implant, il pourra exprimer à son patient la satisfaction que cette intervention lui a apportée.

S’il a dû soigner d’autres patients en raison de soins dentaires défectueux, il pourra dire quels sont les dentistes qu’il vaut mieux ne pas consulter.

Par ailleurs, si le patient n’a pas suffisamment d’argent pour se faire faire un bridge ou un implant en France, il peut rechercher un excellent dentiste travaillant en Hongrie ou en Espagne.

Cette démarche peut permettre de réaliser une économie importante.

Implant dentaire prix: Combien coûte un implant dentaire ?

Le prix de la pose d’un implant dentaire

En France, un patient qui tient à se faire faire un implant dentaire doit dépenser en moyenne une somme comprise entre 2 000 et 2 500 € pour la préparation de l’os de la mâchoire ainsi que pour la mise en place de la vis en titane, du pilier et de la prothèse. L’intervention peut donc être très coûteuse si plusieurs implants doivent être posés.

Toutefois, la facture peut être réduite si l’intervention se déroule dans un pays étranger dans lequel des dentistes peuvent faire un excellent travail tout en ne demandant qu’une somme nettement inférieure au montant à payer en France.

Ainsi, si le patient trouve un excellent dentiste travaillant en Hongrie, le prix total de l’implant et de la prothèse peut être limité à 1000 € si une greffe osseuse n’est pas nécessaire.

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Si l’intervention se déroule en Tunisie; le prix sera compris entre 600 et 900 €. Enfin, une pose d’implant réalisée en Roumanie peut coûter entre 700 et 1000 euros.

Les prix pour des implants dentaires:

Pays

Prix moyen pour un implant

France

2 000 à 5 000 €

Hongrie

400 à 1 000 €

Tunisie

600 à 900 €

Roumanie

700 à 1 000 €

 

La prise en charge d’un implant par l’assurance-maladie

En France, la sécurité sociale ne rembourse pas une pose d’implants sauf si cette intervention est nécessitée par une absence de poussée normale des dents du patient résultant d’une anomalie génétique ou si le patient doit suivre un traitement ayant entraîné un déchaussement de ses dents.

Dans ce cas, il faut que le dentiste adresse à la caisse de sécurité sociale du patient une demande contenant les résultats de l’examen dentaire qu’il a effectué, une radio panoramique dentaire et une radio du poignet du patient pour que la sécurité sociale puisse s’assurer de son âge.

Il convient de joindre également les documents médicaux qui attestent la cause du fait que certaines dents sont absentes des mâchoires du patient.

 

Les autres solutions possibles

Tout patient qui n’a pas droit au remboursement d’une pose d’implant doit rechercher une solution.

La démarche la plus judicieuse consiste à souscrire une mutuelle qui garantit un bon niveau de remboursement pour les soins de ce type.

Ainsi, si la mutuelle choisie par l’employeur de la personne ne répond pas  à cette exigence, il faut choisir une mutuelle complémentaire.

Compte tenu de la dépense qu’il devrait faire s’il avait besoin d’un implant, le consommateur doit comparer avec soin les offres de plusieurs mutuelles en vérifiant notamment dans quelle mesure il percevrait un montant suffisant dans ce cas.

Il doit également tenir compte de la fragilité de ses dents, des risques d’accident qui peuvent résulter de ses activités sportives ainsi que de celles de son conjoint ou de ses enfants.

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Il est possible de réduire les cotisations à payer ou de bénéficier de meilleures garanties en profitant de l’une des deux solutions suivantes :

1/ La souscription d’une mutuelle offrant à ses adhérents la possibilité de soins dans les centres dentaires mutualistes situés en France. En effet, cette démarche peut permettre de bénéficier d’une excellente qualité de soins tout en profitant de conditions avantageuses. Il peut donc être astucieux de choisir une mutuelle qui rembourse bien des mises en place d’implants réalisés dans l’un de ces centres. En principe, ce type d’établissement s’est engagé à répondre à des critères rigoureux concernant la qualité de l’accueil et des soins. 

2/ Le choix d’une mutuelle qui accepte de rembourser des soins réalisés ailleurs qu’en France. En effet, ceci peut permettre de profiter de conditions très avantageuses compte tenu des tarifs mentionnés ci-dessus. Dans ce cas, le consommateur a intérêt à se renseigner auprès de chaque mutuelle offrant ce type de garantie pour savoir dans quelle mesure elle pourrait l’aider à trouver un dentiste qui garantit un excellent travail.

 

Le cas particulier des bénéficiaires de la couverture maladie universelle complémentaire

Une personne qui a droit à cette prestation spécifique, mais qui ne se trouve pas dans cette situation lui permettant de bénéficier de la prise en charge d’un implant peut se faire faire des prothèses dentaires entièrement financées par la sécurité sociale.

Elle doit simplement rechercher un dentiste qui accepte de respecter les tarifs fixés par l’arrêté qui prévoit cet avantage. Elle peut trouver ce dentiste en s’adressant au service social de sa mairie ou à sa caisse d’assurance-maladie.

Celle-ci lui accordera la prise en charge intégrale de la confection et de la pose d’une prothèse en métal si les dents à soigner sont des molaires.

S’il s’agit de dents situées à l’avant de la mâchoire du haut ou de celle du bas, l’assurance-maladie prend en charge une prothèse céramo-métallique qui a un bien meilleur aspect esthétique. 

ledabelle