Les fenêtres à double vitrage pour le toit son idéales pour la bonne isolation de la maison et le passage de la lumière.
Le coût moyen des fenêtres fixes à double vitrage pour toit
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Largeur et hauteur de la fenêtre |
Prix approximatif |
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60 cm sur 60 cm |
250 € |
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1 m sur 1,50 m |
450 € |
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Carrelage en ciment |
370 € |
Si l’on demande l’avis d’un spécialiste de l’isolation thermique des bâtiments et s’il pense que la fenêtre doit être équipée d’un triple vitrage compte tenu de la rigueur du climat hivernal de la commune, la différence de prix à payer s’élèvera à un montant compris entre 30 et 35 % des prix mentionnés ci-dessus.
Il faut par ailleurs éviter à tout prix de se contenter d’une fenêtre à simple vitrage, car elle ne procurerait qu’une médiocre protection contre le froid en hiver et contre la canicule en été.
D’autre part, si l’on se demande comment il convient de choisir le matériau et la couleur de la fenêtre fixe, un architecte d’intérieur peut procurer une aide précieuse, car il pourra dire comment il faut procéder pour que la fenêtre procure une ambiance agréable tout en améliorant la luminosité de la pièce.
En ce qui concerne le prix des matériaux, le bois est le matériau le plus cher, mais il est apprécié en raison de sa noblesse et de l’ambiance chaleureuse qu’il peut donner à la pièce.
Toutefois, une personne dont le budget est limité peut faire une économie en choisissant une fenêtre ayant un châssis en aluminium ou en PVC.
Si une fenêtre en bois fixe ayant un double vitrage est proposée pour un prix de 600 € une fenêtre en aluminium ou en PVC ayant les mêmes caractéristiques peut être achetée pour les prix suivants :
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Catégorie de carrelage |
Prix moyen de la pose |
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Carrelage cérame |
30 € par mètre carré |
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Carrelage en terre cuite |
30 € par mètre carré |
Il convient de préciser par ailleurs que compte tenu du fait qu’un châssis en aluminium est plus fin qu’un châssis en bois ou en PVC, une fenêtre en aluminium apporte une meilleure clarté à la pièce.
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Les démarches obligatoires
Si le logement fait partie d’une copropriété, la pose d’une fenêtre ne peut être faite qu’après l’accord de l’assemblée générale des copropriétaires.
D’autre part, si l’occupant du logement est locataire, il n’a le droit de faire poser une fenêtre supplémentaire sur le toit qu’avec l’accord exprès du bailleur.
En outre, quel que soit le statut du logement, la fenêtre ne peut être posée que dans les conditions prévues par le règlement d’urbanisme de la commune et par le Code civil.
En vertu de ce code, la pose de la fenêtre fixe sur le toit n’est possible que si le règlement de la commune n’empêche pas de faire en sorte qu’elle soit placée au moins à 1,90 m de la clôture du jardin voisin.
Le dépôt d’une déclaration préalable de travaux est obligatoire et la fenêtre ne doit être commandée qu’après l’accord de la mairie.
La commande et l’installation de la fenêtre
Après l’accomplissement des formalités décrites ci-dessus, il convient de comparer les modèles de fenêtres fixes pour toit proposées aux particuliers en commençant par éliminer ceux qui ne sont pas adaptés au climat de la commune ou au règlement local.
Il faut notamment être particulièrement attentif aux caractéristiques des vitrages de ses modèles en éliminant tous ceux qui ne sont pas conformes à l’avis du spécialiste de l’isolation.
Le prix approximatif de l’installation s’élève à 600 € en moyenne par fenêtre.
Mais ceci ne dispense pas de comparer les tarifs proposés par les magasins de vente des fenêtres avec ceux qui sont demandés par les artisans pour le même travail.
Il convient par conséquent de demander aux services compétents des magasins et aux artisans qualifiés de faire des devis indiquant le montant qui sera demandé pour la pose de la fenêtre en vue de choisir la formule la plus économique.
En effet, cette démarche permet souvent d’économiser plusieurs dizaines d’euros.