Prix fenêtre PVC double vitrage oscillo-battant : Comment payer moins cher ?

Les possibilités sont nombreuses pour choisir la fenêtre PVC, mais les financements sont aussi là pour soulager le budget.

 

Les prix moyens à prévoir pour des fenêtres oscillo-battantes en PVC à double vitrage

Dimensions de la fenêtre

Prix moyen approximatif

1 m de large sur 1,20 m de haut

580 €

1 m de large sur 1,30 m de haut

600 €

1 m de large sur 1,40 m de haut

620 €

1 m de large sur 1,50 m de haut

650 €

Le PVC est le matériau le moins cher.

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Les éléments à prendre en compte pour choisir judicieusement les fenêtres

Il convient de rappeler en premier lieu qu’une déclaration préalable de travaux doit être déposée auprès de la mairie si l’on envisage de remplacer des fenêtres en bois par des fenêtres en PVC et que la mairie n’autorisera les travaux que si les règlements d’urbanisme n’interdisent pas le choix du PVC.

Si l’on fait construire une maison et si l’on souhaite faire poser des fenêtres en PVC, il faut indiquer le choix de ce matériau dans la demande de permis de construire.

Si ce matériau est autorisé, il est judicieux de demander l’avis d’un spécialiste de l’isolation pour savoir comment le vitrage de chacune des fenêtres doit être choisi.

En effet, il est possible de choisir entre plusieurs catégories de doubles vitrages ayant des performances qui peuvent varier en fonction de l’épaisseur des vitres et de la couche de gaz.

Le spécialiste de l’isolation pourra indiquer quel est le type de double vitrage qui conviendra le mieux compte tenu du climat auquel la commune est soumise et de la capacité d’isolation acoustique qui est nécessaire.

Ainsi, il pourra dire si des fenêtres ayant des doubles vitrages à isolation renforcée doivent être mises en place ou s’il est possible de se contenter de fenêtres ayant un double vitrage classique.

Cette démarche est capitale, car les futures économies d’énergie dépendront des performances offertes par les doubles vitrages des fenêtres qui doivent par conséquent avoir des caractéristiques adaptées au contexte local.

 

Les possibilités de diminution de la dépense

Si le propriétaire de la maison n’envisage pas de demander une subvention à l’Agence nationale de l’habitat, il peut acheter lui-même ses fenêtres en PVC chez un commerçant spécialisé, ce qui lui permet de ne pas payer la somme que les artisans réclament souvent à leurs clients lorsque ceux-ci leur demandent d’acheter des matériaux.

D’autre part, il faut toujours comparer les caractéristiques et les prix des modèles de fenêtres proposés dans les magasins et demander des devis à plusieurs artisans différents pour la pose.

En effet, une personne qui peut comparer plusieurs devis constate souvent que la prestation proposée par un artisan peut être nettement plus avantageuse que celle que propose son concurrent.

 

Les possibilités d’aide financière

Si les travaux sont confiés à une entreprise ayant le statut de garante de l’environnement et si le propriétaire de la maison accepte de confier l’achat des matériaux à cette entreprise, il peut bénéficier de deux principaux types d’aides financière.

 

Les subventions versées par l’Agence nationale de l’habitat

Cette administration peut aider les foyers dont les ressources sont peu élevées à financer des travaux ayant pour but une amélioration des performances énergétiques de leur logement.

Les plafonds de ressources appliqués dépendent du lieu où le demandeur est domicilié et de la composition de son foyer fiscal.

D’autre part, pour avoir de meilleures chances d’obtenir l’aide demandée, il est conseillé de faire examiner la maison par un spécialiste de l’isolation thermique pour que celui-ci atteste que la pose de fenêtres à double vitrage constitue une solution tout à fait appropriée pour que les dépenses de chauffage puissent être réduites.

 

L’éco-prêt à taux zéro

Il s’agit d’un crédit qui peut être accordé, quel que soit le montant des ressources du demandeur.

Le montant de ce type de crédit peut atteindre 30 000 € et la durée de remboursement maximale est de 15 ans.

Toutefois, les travaux financés doivent permettre au logement concerné d’atteindre un niveau minimal de performance énergétique.

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